En cmp, nous n'avons pas non plus trouver une aide majeure.
Concernant notre garçon (10 ans) Jusqu'à il a 2 ans, 2 ans et demi, il piquait de longues colères, énormes. Plus accentuées encore quand il avait l'âge du tien, car on a trouvé nos astuces au fur et à mesure. Au CMP, on me parlais d'enfant roi. Je culpabilisais, je pensais nulle.
Depuis maintenant un an, il est suivi par une psy cognitive. Dans le passé, j'avais une mauvaise image des cognitifs, car je les voyais comme des espèces de coach fantaisistes. En effet, c'est un peu comme ça que ça nous était présenté.
Force est de constater que depuis un an, il a fait du chemin, même si rien de miraculeux, c'est un travail dans la durée.
Ici, ce qui marche : c'est de l'envoyer s'isoler et réfléchir au calme dans sa chambre, même si il s'y énerve 5 minutes. Tant pis pour les voisins.
S'il devient écarlate, à en respirer mal (on a quand même eu des malaises vagaux suite à des colères

), je lui passe (doucement, et calmement), un gant de toilette humide et un peu frais sur le visage. (c'est arrivé qu'il le fasse de lui même).
ça sert à rien d'essayer de s'expliquer plus quand il s'énerve. Faut attendre, comme tu le fais que ça soit redescendu pour être dans des explications plus calme.
Peut être essayer de voir ce qui déclenche.
Avant, j'avais tendance à crier (ça m'arrive encore quand je suis exténuée, fatiguée) et parfois, dans le passé, j'ai même eu des propos blessants. C'est pour ça que à mon avis, il est plus judicieux que chacun ce calme dans son coin.
Après, c'est ce qui marche chez nous, mais j'ai bien conscience que ce ne sont que des déductions de nos observations à la maison. Et va savoir s'il s'est calmé parce qu'il a grandit et muri et si c'est consécutif au suivi et à nos changement dans la façon de nous comporter avec?
J'espère que ça te donne des pistes, mais je pense que vous allez trouver en avançant.