difficile contact avec l'autre
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difficile contact avec l'autre
Je déplace ma réponse dans la présentation de Clovis dans ce nouveau sujet parce que c'est important et que je pense que ça peut apporter des choses positives.
C'est infernal. Quasiment tout implique un contact avec l'autre. Trouver du travail dans ces conditions c'est super compliqué. Même les démarches administratives me font peur. Suivre une formation, quelques quelle soit, ça tient du rêve... etc.
Même faire du sport ou faire ses courses implique un contact avec l'autre.
Je fais absolument tout mon possible pour que ce soit aussi peu fréquent et désagréable que possible mais pas évident.
À deux c'est plus simple parce qu'on peut laisser l'autre faire certaines choses par exemple quand on fait les courses avec plantigrade, je le laisse se charger du contact avec l'hôtesse de caisse à la caisse . Pareil quand quelqu'un doit venir, sa présence permet "d'arrondir les angles".
En fait maintenant que j'ai mon amoureux j'ai tendance à rester un peu trop collée à lui. J'ai du apprendre à trouver un équilibre. Quand on a vécu seul depuis toujours avec ses difficultés, trouver une épaule sur laquelle s'appuyer c'est très agréable, et du coup on se relache un peu trop
Sinon Je fais du sport seule, du jogging ou de l'exercice chez moi individuellement. Je prend le métro à la place du bus essentiellement parce que dans le bus il y a un contact avec l'autre plus fort que dans le métro. Pour les démarches administratives j'en fais un maximum par internet et un minimum par téléphone. Quand vraiment j'ai pas le choix, je vais sur place, pour que les choses se règlent aussi vite que possible et donc avec un minimum de contact paradoxalement
Je fréquentai un club de sport avant mais j'ai du vite arrêter à cause du contact avec les autres qui me stressait beaucoup trop. Quel dommage
ça a aussi une incidence importante sur mon travail. Je suis obligée d'affronter à chaque mon stress lié au contact avec l'autre, pour faire en sorte que ça se passe bien sans que ça devienne ingérable.
à la rentrée je vais voir pour avoir l'aide d'une aide sociale pour les démarches administratives. Les courriers, les lettres, les coups de téléphone... ça va faire du bien
Mais sinon, c'est carrément le désert :S
C'est infernal. Quasiment tout implique un contact avec l'autre. Trouver du travail dans ces conditions c'est super compliqué. Même les démarches administratives me font peur. Suivre une formation, quelques quelle soit, ça tient du rêve... etc.
Même faire du sport ou faire ses courses implique un contact avec l'autre.
Je fais absolument tout mon possible pour que ce soit aussi peu fréquent et désagréable que possible mais pas évident.
À deux c'est plus simple parce qu'on peut laisser l'autre faire certaines choses par exemple quand on fait les courses avec plantigrade, je le laisse se charger du contact avec l'hôtesse de caisse à la caisse . Pareil quand quelqu'un doit venir, sa présence permet "d'arrondir les angles".
En fait maintenant que j'ai mon amoureux j'ai tendance à rester un peu trop collée à lui. J'ai du apprendre à trouver un équilibre. Quand on a vécu seul depuis toujours avec ses difficultés, trouver une épaule sur laquelle s'appuyer c'est très agréable, et du coup on se relache un peu trop
Sinon Je fais du sport seule, du jogging ou de l'exercice chez moi individuellement. Je prend le métro à la place du bus essentiellement parce que dans le bus il y a un contact avec l'autre plus fort que dans le métro. Pour les démarches administratives j'en fais un maximum par internet et un minimum par téléphone. Quand vraiment j'ai pas le choix, je vais sur place, pour que les choses se règlent aussi vite que possible et donc avec un minimum de contact paradoxalement
Je fréquentai un club de sport avant mais j'ai du vite arrêter à cause du contact avec les autres qui me stressait beaucoup trop. Quel dommage
ça a aussi une incidence importante sur mon travail. Je suis obligée d'affronter à chaque mon stress lié au contact avec l'autre, pour faire en sorte que ça se passe bien sans que ça devienne ingérable.
à la rentrée je vais voir pour avoir l'aide d'une aide sociale pour les démarches administratives. Les courriers, les lettres, les coups de téléphone... ça va faire du bien
Mais sinon, c'est carrément le désert :S
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Je ne pourrais pas donner de conseils, mais j'ai remarqué une chose évidente : Florent accorde beaucoup d'importance aux personnes qu'il croise. Par exemple, si on fait la queue dans un super marché, il va choisir une caissière qui a l'air sympa. Si nous sommes derrière un guichet, il va remarquer comment la personne est habillé ou si elle a l'air gentil ou pas. Si cette personne n'est pas particulièrement aimable, cela va vraiment le contrarier.
Par contre, quand je fais mes courses, j'accorde très peu d'importance aux gens. Je reste aimable, mais me fiche si la personne est grosse, petite, maquillée ou non. Et si elle n'est pas aimable, ce n'est pas si grave que ça. Ce n' est pas important. Pour Florent, si.
Peut-être que les personnes autistes détaillent trop les gens qui sont autour d'eux, et font attention à trop de détails, et c'est pour cela qu'elles sont perturbées à ce point. Je ne sais pas si c''est aussi ton cas, Laura.
Par contre, le téléphone reste un problème pour Florent : il arrive qu'il ne veuille pas rester seul à la maison au cas où le téléphone sonnerait. En fait, il ne décroche que quand il croit savoir qui est à l'autre bout du fil.
Par contre, quand je fais mes courses, j'accorde très peu d'importance aux gens. Je reste aimable, mais me fiche si la personne est grosse, petite, maquillée ou non. Et si elle n'est pas aimable, ce n'est pas si grave que ça. Ce n' est pas important. Pour Florent, si.
Peut-être que les personnes autistes détaillent trop les gens qui sont autour d'eux, et font attention à trop de détails, et c'est pour cela qu'elles sont perturbées à ce point. Je ne sais pas si c''est aussi ton cas, Laura.
Par contre, le téléphone reste un problème pour Florent : il arrive qu'il ne veuille pas rester seul à la maison au cas où le téléphone sonnerait. En fait, il ne décroche que quand il croit savoir qui est à l'autre bout du fil.
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Oui, je suis très observatrice par nature. Pour compenser mon manque naturel de tact et de décodage social.
Un exemple qui peut sembler farfelu et pourtant.... Quand je regarde une personne en général je regarde surtout ses chaussures. Les chaussures en disent long sur les gens. Et pour moi les chaussures en disent même plus long que le visage des gens ça fait peur
J'ai appris à en apprendre énormément sur les gens en les observant pour éviter d'être dans le chaos permanent. je regarde essentiellement leurs vêtements, et leurs objets.
ça n'empêche pas que c'est fatiguant et stressant :/
Un exemple qui peut sembler farfelu et pourtant.... Quand je regarde une personne en général je regarde surtout ses chaussures. Les chaussures en disent long sur les gens. Et pour moi les chaussures en disent même plus long que le visage des gens ça fait peur
J'ai appris à en apprendre énormément sur les gens en les observant pour éviter d'être dans le chaos permanent. je regarde essentiellement leurs vêtements, et leurs objets.
ça n'empêche pas que c'est fatiguant et stressant :/
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sinon, pour le téléphone j'ai du trouver une astuce pour pouvoir quand même répondre même en ne sachant pas qui est au bout du fil. je laisse mon interlocuteur prendre la parole en premier. j'attends que ce soit lui qui dise bonjour ou "allo", comme ça je le laisse diriger la conversation et vu qu'il intervient avant je ne risque pas de me tromper dans ma façon de parler.
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Brigitte a écrit :Bon, si un jour on a l'occasion de se rencontrer, je choisirais avec soin mes chaussures !
oui mais, si on fait si attention aux détails c'est pour compenser. Si on se passe de cette attention constante aux détails c'est encore pire : on ne comprend plus rien à ce qui se passe, on est complètement bloqué et on fait bourde sur bourde. C'est encore un autre exemple de compensation.Brigitte a écrit :Je te comprends. Et je pense que le problème vient de là : vous faites trop attention aux détails .... qui pour nous, n'ont pas tant d'importance...
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Je suis bien d'accord pour dire que c'est un exploit !Brigitte a écrit :Flo a toujours peur de tomber sur quelqu'un qu'il ne connait pas. Pourtant, il lui arrive parfois de répondre ( très rarement ), mais alors, il tient cela comme un exploit de sa part !
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Les contacts sociaux sont constants. Les plus délicats pour ma part concernent les artisans et commerçants, et peuvent avoir des enjeux importants quand il s'agit de montants financiers importants (Achat de véhicule, travaux importants).
Pour essayer de combattre ces difficultés avec les autres, j'ai trouvé une astuce mettant en jeu mon intérêt restreint pour la chanson française et le disque vinyl. Je parcours des que je peux les brocantes et vide-greniers. Ce n'est pas toujours simple, mais ça me permet d'avoir des échanges (parfois tres enrichissants). Il m'arrive toujours de ne pas pouvoir entamer le dialogue, même parfois si l'enjeu est un disque que je convoite....
Dans les marchés spécialisés, la population est restreinte et depuis 20 ans que je fréquente les lieux, je me suis peu à peu fait une place. Maintenant les contacts sont plus faciles avec les marchands et les autres collectionneurs. Ca été difficile parfois d'entamer un dialogue avec des personnes ayant des goûts, comportements et attitudes différents des miens. Mais des qu'on aborde les intérêts restreints, c'est déjà beaucoup plus facile et il m'arrive souvent que l'on me demande des renseignements pointus (comme à un spécialiste...). Maintenant quand même dans ce milieu je me sens bien. Par contre je n'ose pas franchir le cap et installer un stand pour vendre mes doubles et autres. Je ne l'ai fait qu'une fois, car j'avais trouvé un copain qui a partagé quelques temps cette passion. Seul, je ne l'aurais jamais fait.
Actuellement des que c'est possible, je chine. Depuis 2/3 ans, les habitués me reconnaissent. Je crois que c'est aussi lié à ma façon parfois négligée de me vêtir. Récemment à un monsieur agé qui me reconnaissait, je lui dit que souvent l'on me reconnait, il me réponds un peu gêné, OH Ouiiii!!!....
Pour essayer de combattre ces difficultés avec les autres, j'ai trouvé une astuce mettant en jeu mon intérêt restreint pour la chanson française et le disque vinyl. Je parcours des que je peux les brocantes et vide-greniers. Ce n'est pas toujours simple, mais ça me permet d'avoir des échanges (parfois tres enrichissants). Il m'arrive toujours de ne pas pouvoir entamer le dialogue, même parfois si l'enjeu est un disque que je convoite....
Dans les marchés spécialisés, la population est restreinte et depuis 20 ans que je fréquente les lieux, je me suis peu à peu fait une place. Maintenant les contacts sont plus faciles avec les marchands et les autres collectionneurs. Ca été difficile parfois d'entamer un dialogue avec des personnes ayant des goûts, comportements et attitudes différents des miens. Mais des qu'on aborde les intérêts restreints, c'est déjà beaucoup plus facile et il m'arrive souvent que l'on me demande des renseignements pointus (comme à un spécialiste...). Maintenant quand même dans ce milieu je me sens bien. Par contre je n'ose pas franchir le cap et installer un stand pour vendre mes doubles et autres. Je ne l'ai fait qu'une fois, car j'avais trouvé un copain qui a partagé quelques temps cette passion. Seul, je ne l'aurais jamais fait.
Actuellement des que c'est possible, je chine. Depuis 2/3 ans, les habitués me reconnaissent. Je crois que c'est aussi lié à ma façon parfois négligée de me vêtir. Récemment à un monsieur agé qui me reconnaissait, je lui dit que souvent l'on me reconnait, il me réponds un peu gêné, OH Ouiiii!!!....
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oh oui! peut-être... mais quelque chose me dit qu'on t'apprécie...
... c'est ce qu'on appelle "du charisme à ta manière"... c'est quand même rassurant de ne pas être transparent.
... c'est ce qu'on appelle "du charisme à ta manière"... c'est quand même rassurant de ne pas être transparent.
"petits bouts par petits bouts... les bouts étant mis bout à bout."
"en chacun de nous sommeille un dragon... il faut y croire." (devise "bat-toi florent")
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Forcément je me retrouve dans toutes les choses qui ont été écrites...
Je me suis énormément interrogé sur mes difficultés dans les relations humaines, ma conclusion la plus commune a été que j'avais peur du jugement, que je manquais de confiance en moi.
Mais c'est sans doute plus compliqué que ça. Comme toujours j'ai cherché des explications purement psychologiques aux choses : si je n'aime pas communiquer avec les autres c'est que je ne dois rien avoir à leur dire, je ne dois pas être intéressant, si je suis mal à l'aise avec les autres c'est que je dois me sentir coupable de quelque chose, si les situations ou je dois interagir avec eux tendent à me terrorise c'est que je dois avoir peur du regard des autres...
Je me suis énormément interrogé sur mes difficultés dans les relations humaines, ma conclusion la plus commune a été que j'avais peur du jugement, que je manquais de confiance en moi.
Mais c'est sans doute plus compliqué que ça. Comme toujours j'ai cherché des explications purement psychologiques aux choses : si je n'aime pas communiquer avec les autres c'est que je ne dois rien avoir à leur dire, je ne dois pas être intéressant, si je suis mal à l'aise avec les autres c'est que je dois me sentir coupable de quelque chose, si les situations ou je dois interagir avec eux tendent à me terrorise c'est que je dois avoir peur du regard des autres...
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J'ai eu des phobies sociales très longtemps, je repoussais à l'extrême n'importe quelle démarche, persuadée que mes interlocuteurs étaient hostiles, ça s'est améliorée en veillissant, de ce côté, je parle de l'administration.
J'avais commencé à faire du sport, de l'aquagym, en collectif mais finalement, je me suis vite aperçue que les contacts avec les autres dans MA psicine LOL me dérangeaient, ce qui fait que maintenant je vais toujours au club de gym, faire mes mouvements aquatiques, quand il n'y a pas cours.
D'un côté, j'ai envie du contact avec les gens (mais les conversations sont souvent "bateaux") et d'un autre, "non merci". Je sais, c'est paradoxal.
Quand je travaillais à la crèche, j'avais un mal fou avec les collègues, les relations etc... même si elles me trouvaient sympatique et efficace, entre ça à gèrer, le bruits et les petits, je rentrais claquée (même si je trouvais les enfants fascinants). Les filles s'organisaient des repas entre elles en dehors du boulot, mais je sais que même si elles m'avaient invitée, ne seraitce qu'une fois, je m'y serai ennuyée. D'ailleurs, dans la salle de repos où l'on prenait habituellement nos repas, j'étais à un bout et elles à l'autre, et franchement, ça m'allait parfaitement. Ce n'était pas mon monde et je n'avais pas envie de faire semblant.
En ce moment, j'essaie de voir si je peux monter mon propre service d'aide à la personne, en garde de chats, je gère mieux avec les animaux. Si ça marche, ça + le RSA, ça me permettrait de ne pas sombrer et même de voir venir. J'ai un mal fou, peut-être passagé, à m'imaginer de nouveau avec des collègues de travail avec lesquelles je devrai faire semblant de m'interesser à "Plus belle la vie" (désolée si vous aimez mais moi ça me passe par-dessus la tête) ou "Le mechoui du 14 juillet" .
J'avais commencé à faire du sport, de l'aquagym, en collectif mais finalement, je me suis vite aperçue que les contacts avec les autres dans MA psicine LOL me dérangeaient, ce qui fait que maintenant je vais toujours au club de gym, faire mes mouvements aquatiques, quand il n'y a pas cours.
D'un côté, j'ai envie du contact avec les gens (mais les conversations sont souvent "bateaux") et d'un autre, "non merci". Je sais, c'est paradoxal.
Quand je travaillais à la crèche, j'avais un mal fou avec les collègues, les relations etc... même si elles me trouvaient sympatique et efficace, entre ça à gèrer, le bruits et les petits, je rentrais claquée (même si je trouvais les enfants fascinants). Les filles s'organisaient des repas entre elles en dehors du boulot, mais je sais que même si elles m'avaient invitée, ne seraitce qu'une fois, je m'y serai ennuyée. D'ailleurs, dans la salle de repos où l'on prenait habituellement nos repas, j'étais à un bout et elles à l'autre, et franchement, ça m'allait parfaitement. Ce n'était pas mon monde et je n'avais pas envie de faire semblant.
En ce moment, j'essaie de voir si je peux monter mon propre service d'aide à la personne, en garde de chats, je gère mieux avec les animaux. Si ça marche, ça + le RSA, ça me permettrait de ne pas sombrer et même de voir venir. J'ai un mal fou, peut-être passagé, à m'imaginer de nouveau avec des collègues de travail avec lesquelles je devrai faire semblant de m'interesser à "Plus belle la vie" (désolée si vous aimez mais moi ça me passe par-dessus la tête) ou "Le mechoui du 14 juillet" .
Luna TMG
http://www.flickr.com/photos/lunatmg/?details=1 / détails
https://www.flickr.com/photos/lunatmg// vue d'ensemble
"Dans la photographie, il y a une réalité si subtile qu'elle devient plus vraie que la réalité" - Alfred Stieglitz
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Je dois être à la phobie sociale ce que la maison-témoin est au promoteur immobilier...
Si j'allais voir un psy il n'y a guère de doute qu'il me collerait un diagnostic de phobie sociale et pourquoi pas une personnalité évitante. Voilà qui m'avancerait beaucoup...
Ce que j'aimerais comprendre c'est - principalement - pourquoi je n'ai pas souvenir d'une seule période de ma vie dénuée d'angoisses pas plus que je ne peux me rappeler avoir été tout à fait à mon aise mais en insécurité avec autrui.
Si j'allais voir un psy il n'y a guère de doute qu'il me collerait un diagnostic de phobie sociale et pourquoi pas une personnalité évitante. Voilà qui m'avancerait beaucoup...
Ce que j'aimerais comprendre c'est - principalement - pourquoi je n'ai pas souvenir d'une seule période de ma vie dénuée d'angoisses pas plus que je ne peux me rappeler avoir été tout à fait à mon aise mais en insécurité avec autrui.
Je viens d'avoir une impression de déjà lu.faire semblant de m'interesser à "Plus belle la vie" (désolée si vous aimez mais moi ça me passe par-dessus la tête)