Interactions physiques
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Re: Interactions physiques
Ce grumpy cat
Les bébés pas trop non plus, mais les animaux en règle générale oui (plus il y a de poils, mieux c'est)
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Re: Interactions physiques
Moi, j en suis convaincu!!!Mars a écrit :Je ne suis pas sûre que cette méthode soit efficace.Je pense que les mamans voyant leur enfant repoussés par ce contacte devrais plutot les y habitué en douceur au lieu d y renoncer.
J'ai habitué ma fille à faire une bise pour dire bonjour et j'ai toujours constaté une grande gaucherie dans sa façon de faire. Il lui est arrivé de me prendre dans ses bras (lors du décès de mes parents, par ex.) pour me témoigner son soutien et j'ai constaté qu'elle est toujours aussi gauche. Je pense que c'est sa façon d'être : aucun de ses gestes ne semble fluide.
Quand elle était petite, elle gigotait comme une anguille lors des câlins, il m'a semblé normal de ne pas les lui imposer, ça aurait eu l'effet contraire à celui qui était recherché.
C est comme sa que ma mère s y est prise pour me faire apprécier le contacte physiques au moins avec elle(sa ne s applique pas a mon père même si je les aimes autant) ^^'
Mais après tout dépend de la manière que tu utilise pour l inciter a le faire
Je pense que ma répulsion aux contactes physique est nettement inférieure a la moyenne des asperger grâce a ça.
Quand j ai vraiment envie de câliner je passe mon humeur sur mon chat!!!
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Re: Interactions physiques
Disons que cette technique peut se tenter.
Mais que ce n'est pas forcément gagné ...
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TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Interactions physiques
Quelqu'un de ma promo m'a fait le pari (un dessin) de me faire câlin d'ici la fin de l'année que j'accepterais volontiers (et sans me raidir ou me crisper)...
J'avoue être sceptique!
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30 ans, autiste cru 2013, trans (il/lui), Brest. Ex AVS, artiste, diplômé en Art. Propriétaire d'un Loup intérieur et dérapeur de réalité. ⚥
"Sire, sire, on en a gros!"
En bordure du bout du monde + La manufacture des loups + BANG! + Ouroboros
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Re: Interactions physiques
Vieille ruse de drague
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Re: Interactions physiques
C'est une fille et elle est déjà en couple!
Nan, elle était surtout un peu bourrée...
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Re: Interactions physiques
*S'immisce dans la conversation."
Les contacts physiques c'est toujours galère. Laisser quelqu'un nous toucher c'est le laisser entrer dans la zone de sécurité. Faire un pas dans cette zone c'est prendre le risque de se prendre une balle dans la tête pour avoir commis une maladresse. Quelque part c'est s'exposer à une forme de faiblesse, même si c'est socialement reconnu qu'il faut en avoir (personnellement je suis contre, j'embrasse pas les inconnus ma maman m'a toujours dis de les fuir ><).
Peut être que ça dépend aussi de la personne qu'on a en face. Personnellement je sais que je sursaute dès qu'on me touche, et dans le pire des cas une tête rencontre un mur avec ma main pour intermédiaire
Je reste persuadée que souvent les gens ne font pas attention, parce qu'ils s'en fichent, ou tout simplement parce qu'ils ne prennent pas en compte d'autres façons de réagir que les leurs. Quand on prend le temps d'observer un peu, on se rend vite compte de ce qu'il faut faire, ne pas faire, et on trouve un autre moyen de se saluer sans forcément se toucher. Et les contacts physiques, si on veut qu'il y en ait, on apprend à les amener petit à petit sans faire peur ni mettre mal à l'aise. Pis quand vraiment on aime pas ça bin on le dit. Normalement en face ça devrait bien comprendre et surtout le garder en mémoire. Théoriquement.
Bon je dis ça, mais au quotidien c'est difficile à gérer. Rien qu'au boulot ça doit être infernal (et là je me dis que si je dois faire la bise à tous mes futurs collègues .... Mouai non, un signe de tête suffira).
Les free hugs c'est marrant en convention ! Faire un câlin à Pikachu ou à un superbe cosplay de Khal Drogo aux pectoraux à tomber par terre, ça n'a pas de prix xD Mais c'est une ambiance particulière qui s'y prête facilement. On va là bas pour être avec des gens qui ont les mêmes passions, et qui sont très sympas, donc ça passe mieux. Et pourtant je suis pas câline avec les inconnus.
Les contacts physiques c'est toujours galère. Laisser quelqu'un nous toucher c'est le laisser entrer dans la zone de sécurité. Faire un pas dans cette zone c'est prendre le risque de se prendre une balle dans la tête pour avoir commis une maladresse. Quelque part c'est s'exposer à une forme de faiblesse, même si c'est socialement reconnu qu'il faut en avoir (personnellement je suis contre, j'embrasse pas les inconnus ma maman m'a toujours dis de les fuir ><).
Peut être que ça dépend aussi de la personne qu'on a en face. Personnellement je sais que je sursaute dès qu'on me touche, et dans le pire des cas une tête rencontre un mur avec ma main pour intermédiaire
Quand elle est menée de main de maître, la ruse de dragon fonctionne toujours. En vacances depuis vendredi (youhou !) j'ai obtenu un câlin de mon ami asperger sans que cela ne lui pose de souci ("t'es sûr ça te gêne pas ?" "non non" "t'es certain ?" "mais oui te dis-je" "non parce que je te lâche hein sinon tu me dis" "mais non c'est bon vas-y" *chieuse power*). Un petit pas pour l'Homme, une grande victoire pour tata dragonVieille ruse de drague
Je reste persuadée que souvent les gens ne font pas attention, parce qu'ils s'en fichent, ou tout simplement parce qu'ils ne prennent pas en compte d'autres façons de réagir que les leurs. Quand on prend le temps d'observer un peu, on se rend vite compte de ce qu'il faut faire, ne pas faire, et on trouve un autre moyen de se saluer sans forcément se toucher. Et les contacts physiques, si on veut qu'il y en ait, on apprend à les amener petit à petit sans faire peur ni mettre mal à l'aise. Pis quand vraiment on aime pas ça bin on le dit. Normalement en face ça devrait bien comprendre et surtout le garder en mémoire. Théoriquement.
Bon je dis ça, mais au quotidien c'est difficile à gérer. Rien qu'au boulot ça doit être infernal (et là je me dis que si je dois faire la bise à tous mes futurs collègues .... Mouai non, un signe de tête suffira).
Les free hugs c'est marrant en convention ! Faire un câlin à Pikachu ou à un superbe cosplay de Khal Drogo aux pectoraux à tomber par terre, ça n'a pas de prix xD Mais c'est une ambiance particulière qui s'y prête facilement. On va là bas pour être avec des gens qui ont les mêmes passions, et qui sont très sympas, donc ça passe mieux. Et pourtant je suis pas câline avec les inconnus.
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Re: Interactions physiques
Sinon, pour un contact physique, il suffit de légèrement bousculer la personne, prétextant le manque d'espace, le passage étroit.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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Re: Interactions physiques
C'est une technique de sioux ça
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Re: Interactions physiques
Je repasse par ici car en cette fin d'année dans ma nouvelle école, j'ai pu tester le contact physique proogressif. J'ai refusé de faire la bise systématiquement dès le début de l'année, car j'en avais marre de faire un truc inutile, qui me faisait mal et qui me lançait dans une analyse en boucle de comment, dans quel sens, à quel distance, quel intensité (surtout qu'on se moquait toujours de ma façon de faire la bise, apparemment je fais de grand arc de cercle ou je me penche d'un côté puis de l'autre - je suis petite donc en gros je fléchis les genoux - pour aller d'une joue à l'autre et j'ai tendance à tenir la personne par un bras du bout des doigts) et surtout que là c'était la bise à 53 personnes... TOUT LES MATINS. Donc non, non, non.
J'ai commencé par taper dans la main de certaines personnes et pas tout les jours (j'indique quand je me sens capable ou pas). Après avoir eu beaucoup de contact physique avec une personne sur le plateau et après avoir beaucoup discuté avec au point de créer un "lien", je tente les contacts de proximité dans le quotidien (assis très proche, taper sur le bras, donner un objet en touchant l'autre du bout des doigts...). Depuis quelques temps je fais la bise tout les jours à une personne en particulier, mon collègue de plateau avec qui j'ai le plus échanger.
C'était déjà une révolution pour lui et les autres jaloux ont essayé mais non.
Bref, récemment j'ai voulu essayé le câlin. J'en ai ressentie l'envie. Du coup, j'ai demandé à se collègue si je pouvais le prendre dans mes bras et je me suis rendu compte que je ne ressentais rien (c'est à dire pas de gêne, mais pas de plaisir non plus). Je sentais juste sa corpulence, la texture de son blouson et les mouvements de ses mains sur mon dos. C'était comme si c'était "vide", je sais pas comment expliquer. En gros, j'ai tout le temps l'impression de tout ressentir 24h/24 de manière forte, intensive et très pregnante. Mais là c'était vide, totalement. Je ne ressentais pas l'autre. C'est très étrange non ? Du coup, j'étais contente parce que j'avais réussi à prendre de moi-même quelqu'un et que j'en avais envie puis surtout que ça l'a ému donc j'ai contente pour lui mais j'en suis ressortie un peu... déçu ? Frustrée ?
Je m'attendais à quelque chose d'incroyable, d'agréable, de particulier ou un vrai échange, une connexion ou je sais pas quoi d'un peu spécialement mystique vu l'importance capitale pour certaines personnes voire le plaisir immense, le besoin constant de ces mêmes personnes à se câliner.
Mais j'ai juste ressentie un vide qui de fait, m'a créer une distanciation, j'ai ressentie que je n'entrais pas en connexion.
Et c'est le pire ça, car j'en souffre, de cette non-connexion. Je n'arrive tout simplement pas à ressentir de synchronisité avec autrui, ni d'échange affective avec autrui. Par les mots j'arrive à m'en approcher, j'arrive à "imaginer" ce que ça doit être, j'ai même une perception construite ressentie, palpable idéalisé de la chose, mais je sens bien que je suis seule face à un vide. Tout ce que j'envoie, n'est jamais réceptionné, et tout ce que je reçois est obligatoirement passé par le prisme de l'intellectualisation qui aseptise l'échange.
Du coup, je me dis que même en faisant un effort d'adaptation à l'acceptation du contact physique, cela ne sera jamais la même chose que pour une personne sans autisme. La seule chose que ça apporte, c'est plutôt qu'une terrible gêne ou une terrible douleur (j'ai les deux quand on me touche), ben je ressens un vide.
J'ai commencé par taper dans la main de certaines personnes et pas tout les jours (j'indique quand je me sens capable ou pas). Après avoir eu beaucoup de contact physique avec une personne sur le plateau et après avoir beaucoup discuté avec au point de créer un "lien", je tente les contacts de proximité dans le quotidien (assis très proche, taper sur le bras, donner un objet en touchant l'autre du bout des doigts...). Depuis quelques temps je fais la bise tout les jours à une personne en particulier, mon collègue de plateau avec qui j'ai le plus échanger.
C'était déjà une révolution pour lui et les autres jaloux ont essayé mais non.
Bref, récemment j'ai voulu essayé le câlin. J'en ai ressentie l'envie. Du coup, j'ai demandé à se collègue si je pouvais le prendre dans mes bras et je me suis rendu compte que je ne ressentais rien (c'est à dire pas de gêne, mais pas de plaisir non plus). Je sentais juste sa corpulence, la texture de son blouson et les mouvements de ses mains sur mon dos. C'était comme si c'était "vide", je sais pas comment expliquer. En gros, j'ai tout le temps l'impression de tout ressentir 24h/24 de manière forte, intensive et très pregnante. Mais là c'était vide, totalement. Je ne ressentais pas l'autre. C'est très étrange non ? Du coup, j'étais contente parce que j'avais réussi à prendre de moi-même quelqu'un et que j'en avais envie puis surtout que ça l'a ému donc j'ai contente pour lui mais j'en suis ressortie un peu... déçu ? Frustrée ?
Je m'attendais à quelque chose d'incroyable, d'agréable, de particulier ou un vrai échange, une connexion ou je sais pas quoi d'un peu spécialement mystique vu l'importance capitale pour certaines personnes voire le plaisir immense, le besoin constant de ces mêmes personnes à se câliner.
Mais j'ai juste ressentie un vide qui de fait, m'a créer une distanciation, j'ai ressentie que je n'entrais pas en connexion.
Et c'est le pire ça, car j'en souffre, de cette non-connexion. Je n'arrive tout simplement pas à ressentir de synchronisité avec autrui, ni d'échange affective avec autrui. Par les mots j'arrive à m'en approcher, j'arrive à "imaginer" ce que ça doit être, j'ai même une perception construite ressentie, palpable idéalisé de la chose, mais je sens bien que je suis seule face à un vide. Tout ce que j'envoie, n'est jamais réceptionné, et tout ce que je reçois est obligatoirement passé par le prisme de l'intellectualisation qui aseptise l'échange.
Du coup, je me dis que même en faisant un effort d'adaptation à l'acceptation du contact physique, cela ne sera jamais la même chose que pour une personne sans autisme. La seule chose que ça apporte, c'est plutôt qu'une terrible gêne ou une terrible douleur (j'ai les deux quand on me touche), ben je ressens un vide.
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Re: Interactions physiques
Bon, pour ma part, la bise ne me dérange pas, mais elle ne m'est pas spontanée. Je le fais juste par habitude avec les personnes que je connais. Avec les personnes que je ne connais pas ou que peu, j'ai moins l'automatisme. Puis, je ne sais pas, mais on dirait qu'il y a une règle tacite qui voudrait que l'homme fasse le premier pas. Ai-je une fausse impression ? [A mon avis, il n'y a pas un genre qui devrait toujours faire le premier pas.] Bon, par contre, je ne fais pas le petit bruit avec.
Je crois que c'est Nelson Mandela qui disait que notre plus grande peur n'était pas celle d'être inapte (pas "à la hauteur"), mais celle de briller. Peut-être que j'ai entre autres cette peur. Déjà que je peux facilement être ébloui.
C'est quand même courageux de demander le câlin. Peut-être ton ressenti du câlin évoluera à force de câlins (notamment des câlins pas juste pour le câlins*, mais parce qu'il y a une "histoire" derrière). Tu peux lui demander de renouveler l'expérience, les expériences. Ce n'est pas la première fois que tu montes sur un cheval que tu ressens tout. Bon, en plus, il paraît qu'il y a plusieurs sortes de connexions, plusieurs sortes de câlins (câlins affectifs, câlins consolateurs, câlins de soutien psychologique, câlins érotiques, câlins valseurs ou câlins slow**, câlins de reconnaissance, etc.).
* Une hypothèse est que le câlin juste pour le câlin serait comme l'art pour l'art, pas très authentique.
** Mets une musique à trois temps pour changer d'ambiance.
Je crois que c'est Nelson Mandela qui disait que notre plus grande peur n'était pas celle d'être inapte (pas "à la hauteur"), mais celle de briller. Peut-être que j'ai entre autres cette peur. Déjà que je peux facilement être ébloui.
C'est quand même courageux de demander le câlin. Peut-être ton ressenti du câlin évoluera à force de câlins (notamment des câlins pas juste pour le câlins*, mais parce qu'il y a une "histoire" derrière). Tu peux lui demander de renouveler l'expérience, les expériences. Ce n'est pas la première fois que tu montes sur un cheval que tu ressens tout. Bon, en plus, il paraît qu'il y a plusieurs sortes de connexions, plusieurs sortes de câlins (câlins affectifs, câlins consolateurs, câlins de soutien psychologique, câlins érotiques, câlins valseurs ou câlins slow**, câlins de reconnaissance, etc.).
* Une hypothèse est que le câlin juste pour le câlin serait comme l'art pour l'art, pas très authentique.
** Mets une musique à trois temps pour changer d'ambiance.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
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Re: Interactions physiques
De ce que j'en vois ce sont plutôt les femmes qui ont tendance à la bise, les hommes moins ils suivent plutôt, ou préfèrent la poignée de main. Ca dépend aussi des milieux, de l'âge et des personnalités de chacun je suppose. Il y a des gens qui détestent la bise et qui ne la font jamais même à des proches. M'enfin ça c'est une autre histoire. Le mieux ça reste le check maisonPuis, je ne sais pas, mais on dirait qu'il y a une règle tacite qui voudrait que l'homme fasse le premier pas. Ai-je une fausse impression ?
Peut être que tu idéalisais trop justement. C'est souvent comme ça. On se prend à imaginer la chose, à la rêver parfaite, à l'idéaliser, à voir le moment défiler dans notre esprit à la limite d'en régler chaque infime détail, et puis quand ça vient bin c'est pas du tout ce qu'on avait imaginé. Comme la première fois que tu as un rendez-vous, ou la première fois que tu couche avec quelqu'un. Ca laisse pas la sensation que tu veux sur la langue. Tu t'attends à du pétillant ou du doux, et tu te retrouve avec de la farine et du fade.Je m'attendais à quelque chose d'incroyable, d'agréable, de particulier ou un vrai échange, une connexion ou je sais pas quoi d'un peu spécialement mystique vu l'importance capitale pour certaines personnes voire le plaisir immense, le besoin constant de ces mêmes personnes à se câliner.
(Je ne sais pas si c'est comme ça aussi pour les hommes, j'ai cru comprendre que ce sont les femmes qui fantasment trop, nous sommes trop romantiques )
Que ça t'empêche pas de renouveler en tous cas ^^
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Re: Interactions physiques
Ben non j'idéalisais rien du tout, j'ai déjà fais des câlins à d'autre gens avant et avec mon conjoint aussi donc je savais que même avec une complicité c'était pas merveilleux. Mais à voir tout mes collègues se câliner tout le temps et en vanter les mérites, je sais pas, je me suis dis que peut-être que ça me permettrait de consolider nos "amitié" naissante. Mais je ne ressens rien, c'est plus cette radicale différence entre leur mine réjouis et leur émotions lors du câlin et ma totale indifférence de mon côté. Je sais pas. Vraiment. Je ne sais juste pas où mettre mes bras et combien de temps le laisser durer. Je parlais de ça, car je me demandais si d'autre ressentais ce même "vide" qui crée le malaise lors du contact physique.
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Re: Interactions physiques
Où mettre mes bras ?Lou Morgan a écrit :[...] Vraiment. Je ne sais juste pas où mettre mes bras et combien de temps le laisser durer. Je parlais de ça, car je me demandais si d'autre ressentais ce même "vide" qui crée le malaise lors du contact physique.
Quelle pression ?
Combien de temps ?
Oui, je connais ...
Par contre, le malaise est-il causé par ce vide ?
Ou bien par l'envahissement de mon espace vital ?
Ou bien de ce décalage entre les sentiments
de l'autre personne (dans mon cas c'était de
la douleur, j'étais censé réconforter) et mes
basses préoccupations techniques (voir ci-dessus) ?
Je ne sais pas ...
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Interactions physiques
Juste un petit mot pour dire que j'ai bien rigolé, merci ChatnoirChatnoir a écrit : ahah! J'imagine bien la séance de "Free Hugs"! Avec moi ça se terminerait en "free pains dans ta face si tu me touches". lol
Ou alors, en" free hugs pour ce qui kiffent étreindre des troncs d'arbres morts".
كن ثريا في البية ان لم تستطيع ان تكون نجمة في السماء