EtudiantePsychoV a écrit :
En vous lisant j'ai l'impression que vous associez beaucoup le psychologue aux prises en charge psychothérapiques psychanalytiques. Je suis actuellement accompagnante psychologue à domicile comme je l'ai cité plus haut et je travaille beaucoup l'environnement avec l'enfant que j'accompagne, pourtant je suis psy

! Nous travaillons la structuration de son environnement pour justement diminuer son anxiété. Les méthodes tel que TEAACH, ABA, en somme les méthodes comportementalistes sont là pour ça, et elles sont utilisés par certains psychologues (pas tous je le conçoit!).
vous êtes une exception, malheureusement.
j'espere que vos profs ne sont pas fondu de psychanalyse, sinon quoi vous risquez une mauvaise note. pareil vis à vis de votre futur travail : si vous tombé sur un patron psychiatre-psychanalyste, et que vous lui parlez de Teaach, aba, picto et comportementalisme, vous ne serez pas embauchée.
EtudiantePsychoV a écrit :
Pour ce qui est du travail sur l'avenir, ne crois-tu pas que le passé fait aussi ce que tu es et seras? Je conçoit qu'orienter une thérapie uniquement sur le passé ne donne rien, mais je me pose cette question, peut-on affronter l'avenir sans prendre en compte le passé?
discuter d'une anecdote qui à 20 ans, qui ne gène pas l'individu, qui ne le fait pas souffrir, qui ne l'a pas traumatisé ; en espérant que ça va aider à l'avenir, c'est n'importe quoi ! totalement inutile.
préparer l'avenir, c'est savoir quels genres de difficultés on risque de rencontrer, et, là le boulot du psy c'est de travailler sur les comportements pour que ces probables difficultés soient maitrisable par l'individu.
puis j'ai jms compris en quoi c'est bénéfique de remuer les pires moments de la vie d'une personne. le cerveau à la capacité à oublier, et ce n'est pas par hasard. j'avais lu une étude (dont le je n'ai pas les ref sous la main) qui en conclusion expliquait que c'était contre productif de faire travailler le passé : plus de risques que de bénéfices pour l'individu. (et ça, sans parler des faux souvenirs induit par la thérapie ...)
EtudiantePsychoV a écrit :
Pour la transparence, c'est parfois plus complexe que celà. Mais je conçois que l'autiste, comme n'importe qu'elle individu, à un droit de regard et d'intervention sur ce qui est dit de lui.
en quoi est ce complexe ? expliquez, argumentez, svp.
c'est ce genre de phrase qui est détestable : vous refusez de répondre, et vous éludez par un argument d'autorité
c'est un pb de confiance : vous voulez la confiance de votre patient, mais vous n'etes pas transparente à votre tour. c'est déséquilibré, et donc, non-acceptable.
pas "d'alliance thérapeutique" sans confiance réciproque.
EtudiantePsychoV a écrit :
Ne pas interpréter, encore une fois c'est la spécialité de l'approche psychanalytique. Approche que j'estime nécéssaire ( ne serai-ce que pour l'entourage) mais insuffisante seul dans la prise en charge.
tout depends : si vous ne faites que reformuler pour que l'entourage comprenne, c'est bien. si vous transformer (interpreter, donc) le propos, vous êtes fondamentalement dans l'erreur.
EtudiantePsychoV a écrit :
En tout cas je prends note de toutes tes remarques merci

de rien
