Quand mon petit gars était en hôpital de jour, l'accueil de 1h45 était facturé effectivement environ 315 euros
(Pareil j'avais zieuté sur l'ordinateur et j'en étais resté baba)
Je comprends bien que les administratifs soient assez éloignés du terrain.
Ce reportage débouche sur des discussions sur la gestion des IME ITEP etc .. c'est très bien.
De toute façon il en faudra, ne serait-ce que pour le choix des mots qu'utilisent les professionnels.
Dans l'article mis en lien, j'ai tiqué sur le mot "bientraitant" dans la citation de "Ludivine"
"Il y a bien plus d'IME et de professionnels bientraitants et qui ont fait ce choix de vie
parce que ce n'est pas juste un boulot que l'on peut faire sans conviction."
Et cette chef de service éducatif d'écrire : "J'ai pleuré et dit tellement de gros mots en regardant cette émission."
Ce mot de bientraitant est assez particulier en fait. C'est celui qu'à utilisé la directrice de Mousseron qui a déclaré a
voir été mis au courant mais ne pas avoir réagi bien qu'elle ne pouvait pas qualifier les pratiques de bientraitance.
On est toujours dans le vocabulaire choisi où un clochard se fait appeler un "SDF" (plus neutre)
et où "il y a de la maltraitance" se fait appeler "il faut plus de bientraitance" (moins choquant)
Ce vocabulaire me pose question. On ferait mieux d'appeler un chat un chat, on pourrait identifier plus vite
les cas où "il n'y a pas de bientraitance" et prendre les mesures correctives qui s'imposent.