Bon, quand le mensonge est vraiment trop énorme, évidemment que je ne le crois pas (par exemple, une fois, il m'a sorti qu'il portait des lentilles capables de photographier et de filmer... tout en espérant visiblement que je gobe ça
). Mais à force qu'il sorte fabulations sur fabulations à absolument tout le monde, je me suis mise à quand même me méfier quand il parle. Sauf que je ne sais pas vraiment si dans ce qu'il me raconte actuellement ce qui est vrai et ce qui ne l'est pas. Si ça se trouve, depuis la rentrée, il m'a raconté suffisamment de craques pour remplir un dictionnaire, et je ne m'en suis pas rendue compte. J'ai bien essayé de demander à mes parents, mais bon, la fois où j'ai abordé le sujet, il n'y avait que ma mère, qui connait visiblement le même problème que moi. J'ai pas reparlé de ça depuis, mais il faudra que je le fasse.
N'allez pas croire en lisant ce message que je le déteste, c'est juste que la situation me met sérieusement les nerfs en pelote (d'accord, il y a d'autres choses aussi, mais je ne vais pas tout mettre maintenant). Bref, j'aimerais savoir comment faire, et savoir si vous avez déjà été dans une situation comme celle-ci, alors merci d'avance de vos réponses
mais je ne saurais pas l'expliquer. Pas comme si je l'entendais au travers de ses phrases, comme si je le "voyais" 
...
sauf qu'on a été incapable de se le dire la première fois). Si nous nous étions mis en couple à cette époque, nous nous serions déchirés, et je serais arrivée à la conclusion très rapide que c'était un PN (dont je ne connaissais pas le terme, mais j'en ai déjà croisé, je reconnais...). Rien que sa drague à allumer tous les voyant "méfiance". Seulement, je ne crois pas m'être jamais sentie aussi bien et détendue dans les bras de quelqu'un, aussi au calme, avec cette sensation de plénitude qui m'est si étrangère. Il y avait donc contradiction entre mon ressenti et ma raison. Et je me félicite d'avoir fait confiance au premier et non à la deuxième.
). Un garçon de la classe traitait mon ami à répétition de 'Flamby' pour le faire réagir, ce qui n'a pas raté. Mais évidemment, il a fallu qu'il en vienne aux mains, ou plutôt devrais-je dire au pied. Et là, je me suis énervée. Pas longtemps, mais ça doit prouver à quel point la situation m'agaçait si j'en suis arrivée là. Je lui ai dit qu'il n'avait pas à répondre à des mots par des coups, et voilà qu'il me sort que ça me regarde pas. Certes, je n'étais pas concernée, ça je l'accorde... Et l'élève qui le traitait, je ne lui donne pas raison. Pour moi, ils sont tous les deux en tort. Mais le problème, c'est que si on est devenus amis, c'est parce qu'en classe de quatrième, il était harcelé par d'autres élèves (et principalement le délégué de classe, pour qui j'avais malheureusement voté). Et moi, j'étais la seule à le défendre... et ça m'énerve, parce que là non plus, je n'étais pas impliquée dans l'embrouille, à la base, là non plus ça ne me regardait pas... et pourtant, il était bien content que je me sois mêlée de ça. 
C'est totalement dingue. 