Bonjour,
ici, depuis 5-6 ans, les leurs de Bach tiennent tout une étagère dans le placard à pharmacie, et franchement, c'est bien utile. Le Rescue, ça ne suffit pas, loin s'en faut ! Quand on n'a pas de médecin qui s'y connaît sous la main, se pencher sur les usages de chaque fleur, précisément, puis faire des mélanges sur mesure, avec une posologie sur mesure aussi (en 1ère ou 2ème intention, sur une semaine ou sur 3 mois, etc.), peut aider dans pas mal de situations.
Après, le folklore qui sent l'encens qui va souvent autour est un peu pénible, il faut réussir à passer outre ce contexte formel presque religieusant
Mais là-dessus, la difficulté est la même avec l'homéopathie et ses croyances (pas de menthe, pas en mangeant, etc.
curieusement, d'ailleurs, dans la liste d'origine des "faut pas" liés à l'homéopathie, les gouroux d'aujourd'hui oublient la masturbation et quelques autres petits trucs passés de mode
bref, HS), ça dessert beaucoup des pratiques de médication légère qui apportent, par ailleurs, de réels bénéfices.
Cela dit, concernant uniquement le Rescue, j'ai remarqué aussi qu'avec le spray, il me faut une dose normale (3-4 pschit) pour soulager une attaque de panique, alors qu'avec les pastilles, il me faut 2 à 3 pastilles d'un coup pour que ça ait un effet.
Manu, il me semble que la dilution des fleurs se fait sur les mêmes principes de base que l'homéopathie, alors ça n'est pas de l'homéopathie, ça y mélange un brin de phytothérapie, mais ça s'en approche fortement quand même.
41 ans (SA ? phénotype élargi ?), 3 enfants (13, 12 & 5 ans). L'aîné avec SA "officiel", la benjamine en cours de diag, et la cadette en point de repère de quasi NT...