Jeux vidéo ou vie sociale, il faut choisir?
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Jeux vidéo ou vie sociale, il faut choisir?
Titre très provocateur, je l'avoue, j'ai décidé de poster cela car j'ai plusieurs fois entendu des personnes dire "la flemme de bouger, je suis sur un jeu dans le moment..." et après parfois se plaindre de ne pas faire grand chose de leur vie.
Aussi, ayant été un grand joueur par le passé (jusqu'à une quinzaine d'heures par jour passées à jouer, surtout aux Rome Total Wars dans les moments ou j'étais le plus accros), le fait de me forcer a vraiment limiter ma "consommation" de jeux vidéo puis a arrêter tout simplement m'a permis de me motiver pour ma reprise d'étude (première année validée avec 13.7) sans quoi je pense que j'aurais eut beaucoup de mal... Après coup, je me suis rendu compte que ma consommation de les jeux vidéos avaient deux causes principales : lutter contre l'ennui et compenser ma faible vie sociale par une autre vie virtuelle... Qu'en est il pour vous?
Aussi, ayant été un grand joueur par le passé (jusqu'à une quinzaine d'heures par jour passées à jouer, surtout aux Rome Total Wars dans les moments ou j'étais le plus accros), le fait de me forcer a vraiment limiter ma "consommation" de jeux vidéo puis a arrêter tout simplement m'a permis de me motiver pour ma reprise d'étude (première année validée avec 13.7) sans quoi je pense que j'aurais eut beaucoup de mal... Après coup, je me suis rendu compte que ma consommation de les jeux vidéos avaient deux causes principales : lutter contre l'ennui et compenser ma faible vie sociale par une autre vie virtuelle... Qu'en est il pour vous?
Etudiant en histoire dans le cadre d'une reprise d'étude, diagnostiqué asperger à 27 ans et considéré comme "plutôt bien intégré" dans la société
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Re: Jeux vidéo ou vie sociale, il faut choisir?
Je suis déjà mal à l'aise avec les termes disponibles pour établir le distinguo entre une vie sociale et un autre mode de vie. Tu parles de vie virtuel (y a certes pas beaucoup d'autres mots usuels, c'est comme dire "irl" -> In real life) virtuel connote la facticité, pour moi. Or je considère la vie chez soi, sur internet, sur les jeux vidéos, devant la télé ou devant un livre comme autant – quelque soit le temps qu'on y passe – la "vraie vie" que la "vie sociale" Il n'y a pas de "fausse vie" donc il n'y a pas de "vraie vie".
Il arrive que certaines personnes n'aient pas trop de respect ou sous-estiment un mode de vie qui n'est pas le sien. Je considère que c'est un choix, ou du moins ça peut l'être : qui se respecte dans les deux cas de figures.
Tu parles d'études, oui c'est un élément pertinent. La société et la conjoncture actuelle sont construites de telles sortes que chacun de nous est appelé à avoir un travail. Faire des études ou une formation, aller à l'école, pour s'y préparer, ect. Peut-être que c'est un entêtement de ma part mais je persiste à croire que se diriger vers un travail est encore une fois un choix, qu'on prend ou ne prend pas. Mais si on souhaite travailler, très bien, ce n'est du reste pas forcément incompatible à l'épanouissement d'un mode de vie de notre choix en parallèle.
La "vraie vie sociale" a bon dos. Quand j'ai essayé de faire mien ce mode de vie, essayer de sortir, s'amuser, ect... il en a résulté la période la plus sombre de ma vie jusqu'à présent. Je veux certes rencontrer des gens. Pas n'importe qui.
J'ai lu il y a pas longtemps un livre, Oblomov. (écrit au 19ème siècle par Gontcharov) qui illustre bien le mépris qu'on peut avoir pour un mode de vie différent. En l'occurrence la vie d'Oblomov peut paraître de l'extérieur, une vie en proie à l'inertie, et même assimilé à la mort. S'asseoir, s'allonger et réfléchir fait aussi partie de la vie, et pas la plus inactive. Rêvasser, c'est vivre, jouer, c'est vivre.
Le plus important pour moi est de pouvoir l'assumer comme un choix libre.
Il arrive que certaines personnes n'aient pas trop de respect ou sous-estiment un mode de vie qui n'est pas le sien. Je considère que c'est un choix, ou du moins ça peut l'être : qui se respecte dans les deux cas de figures.
Tu parles d'études, oui c'est un élément pertinent. La société et la conjoncture actuelle sont construites de telles sortes que chacun de nous est appelé à avoir un travail. Faire des études ou une formation, aller à l'école, pour s'y préparer, ect. Peut-être que c'est un entêtement de ma part mais je persiste à croire que se diriger vers un travail est encore une fois un choix, qu'on prend ou ne prend pas. Mais si on souhaite travailler, très bien, ce n'est du reste pas forcément incompatible à l'épanouissement d'un mode de vie de notre choix en parallèle.
La "vraie vie sociale" a bon dos. Quand j'ai essayé de faire mien ce mode de vie, essayer de sortir, s'amuser, ect... il en a résulté la période la plus sombre de ma vie jusqu'à présent. Je veux certes rencontrer des gens. Pas n'importe qui.
J'ai lu il y a pas longtemps un livre, Oblomov. (écrit au 19ème siècle par Gontcharov) qui illustre bien le mépris qu'on peut avoir pour un mode de vie différent. En l'occurrence la vie d'Oblomov peut paraître de l'extérieur, une vie en proie à l'inertie, et même assimilé à la mort. S'asseoir, s'allonger et réfléchir fait aussi partie de la vie, et pas la plus inactive. Rêvasser, c'est vivre, jouer, c'est vivre.
Le plus important pour moi est de pouvoir l'assumer comme un choix libre.
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Re: Jeux vidéo ou vie sociale, il faut choisir?
Réponse provocatrice: les jeux vidéo sont une industrie qui génère un chiffre d'affaire et emploi un nombre de personnes bien supérieurs à bien des milieux académiques, dont par exemple celui des Historiens.
Il y a quelques décennies, le cinéma était tout autant déconsidéré, et pourtant aujourd'hui ils sont supplantés par les J.V.
Sinon, il y a de très bon jeux qui permettent d'apprendre l'histoire, et je ne parle évidemment pas de RTW dont le niveau est à peu près équivalent à "Astérix le Gaulois".
Il y a quelques décennies, le cinéma était tout autant déconsidéré, et pourtant aujourd'hui ils sont supplantés par les J.V.
Sinon, il y a de très bon jeux qui permettent d'apprendre l'histoire, et je ne parle évidemment pas de RTW dont le niveau est à peu près équivalent à "Astérix le Gaulois".
Identifié Aspie (広島, 08/10/31) Diagnostiqué (CRA MP 2009/12/18)
話したい誰かがいるってしあわせだ
Être Aspie, c'est soit une mauvaise herbe à éradiquer, soit une plante médicinale à qui il faut permettre de fleurir et essaimer.
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Re: Jeux vidéo ou vie sociale, il faut choisir?
Je n'ai jamais accroché avec les jeux vidéos, ça a dû me passer à côté pour une raison que j'ignore. Mais j'ai entendu des témoignages (de non-aspies) qui vont dans le sens de ce que tu dis, Kawi. Des gens qui ont fini par passer tellement de temps devant les jeux vidéos qu'ils ne faisaient plus rien d'autre - et finalement déprimaient complètement!
Quand cela devient excessif comme cela, c'est souvent un signe de fuite, je crois. On n'arrive pas à gérer ce qu'on voudrait faire d'autre dans sa vie et du coup, on se cache derrière son écran. (D'ailleurs si ça marche avec les jeux vidéos, cela peut tout aussi bien marcher avec la télé ou même des livres, il y a des moments où tout ce que je fais hors travail, c'est lire, lire, lire, parce que cela me rassure quelque part.)
Après, rien n'empêche d'apprécier les jeux vidéos, d'y jouer régulièrement, tant qu'effectivement on arrive à garder un certain équilibre. Le vrai problème, c'est toujours le déséquilibre. Sinon, les intérêts restreints p. ex. ne poseraient aucun souci, je veux dire, si un gamin est passionné de piles électriques, en soi on s'en fiche - c'est quand il y passe la journée qu'on s'inquiète.
Quand cela devient excessif comme cela, c'est souvent un signe de fuite, je crois. On n'arrive pas à gérer ce qu'on voudrait faire d'autre dans sa vie et du coup, on se cache derrière son écran. (D'ailleurs si ça marche avec les jeux vidéos, cela peut tout aussi bien marcher avec la télé ou même des livres, il y a des moments où tout ce que je fais hors travail, c'est lire, lire, lire, parce que cela me rassure quelque part.)
Après, rien n'empêche d'apprécier les jeux vidéos, d'y jouer régulièrement, tant qu'effectivement on arrive à garder un certain équilibre. Le vrai problème, c'est toujours le déséquilibre. Sinon, les intérêts restreints p. ex. ne poseraient aucun souci, je veux dire, si un gamin est passionné de piles électriques, en soi on s'en fiche - c'est quand il y passe la journée qu'on s'inquiète.
Détectée HQI dans l'enfance, diagnostiquée TSA de type syndrome d'Asperger en juillet 2015.
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Re: Jeux vidéo ou vie sociale, il faut choisir?
Je viens de trouver la solution pour allier les deux
- 05/09/2014: demande de diag au Centre Expert Albert Chenevier.
- 20/11/2014: rendez-vous préliminaire avec le Dr L.
- 27-28/05/2015: journées d'examens
- 10/07/2015: TSA, TAG, phobie sociale
http://whatamadgirl.over-blog.com/
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Re: Jeux vidéo ou vie sociale, il faut choisir?
Très bonne question Kawi
Je suis persuadée que les jeux vidéo sont un palliatif à l'ennui.
Ma fille a été très accro et y passe encore beaucoup de temps mais elle réussit à s'organiser en fonction de ses impératifs professionnels. Et comme elle s'investit énormément dans son travail. elle arrive à hiérarchiser ses occupations.
J'en suis ravie car je n'étais pas certaine qu'elle y parviendrait.
Mais c'est un point de vue de maman pas du tout intéressée par les jeux vidéo
Je suis persuadée que les jeux vidéo sont un palliatif à l'ennui.
Ma fille a été très accro et y passe encore beaucoup de temps mais elle réussit à s'organiser en fonction de ses impératifs professionnels. Et comme elle s'investit énormément dans son travail. elle arrive à hiérarchiser ses occupations.
J'en suis ravie car je n'étais pas certaine qu'elle y parviendrait.
Mais c'est un point de vue de maman pas du tout intéressée par les jeux vidéo
Atypique sans être aspie. Maman de 2 jeunes filles dont une aspie.
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Re: Jeux vidéo ou vie sociale, il faut choisir?
Quand j'étais petit, je jouais pas mal à Super Mario World. Car j'aimais ce jeu.
Depuis plus de dix ans, je joue très rarement aux jeux audiovisuels. Ils ne m'intéressent guère. J'ai d'autres sources de motivation plus "importantes", et qui me semblent plus utiles.
À vrai dire, pour me détendre l'esprit, je joue aux échecs, à jongler (à trois balles), au sudoku (et autres jeux cérébraux), je discute sur les forums.
Mais c'est pour me détendre l'esprit, pas pour tuer l'ennui. Je n'ai pas de quoi m'ennuyer : il y a tant de choses à faire.
Jeux vidéo ou vie sociale ? ben... tu peux répartir...
Depuis plus de dix ans, je joue très rarement aux jeux audiovisuels. Ils ne m'intéressent guère. J'ai d'autres sources de motivation plus "importantes", et qui me semblent plus utiles.
À vrai dire, pour me détendre l'esprit, je joue aux échecs, à jongler (à trois balles), au sudoku (et autres jeux cérébraux), je discute sur les forums.
Mais c'est pour me détendre l'esprit, pas pour tuer l'ennui. Je n'ai pas de quoi m'ennuyer : il y a tant de choses à faire.
Jeux vidéo ou vie sociale ? ben... tu peux répartir...
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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Re: Jeux vidéo ou vie sociale, il faut choisir?
Je vais réfléchir à poster un message sur ce topic...
(... Oui je préviens à l'avance. C'est pour éviter de procrastiner jusqu'à jamais ce que j'avais envie de dire. )
(... Oui je préviens à l'avance. C'est pour éviter de procrastiner jusqu'à jamais ce que j'avais envie de dire. )
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Re: Jeux vidéo ou vie sociale, il faut choisir?
J'essaye de concilier les deux (?)
Les JV "tout seul" comme SMT, ou autre, j'y joue de temps en temps, quand j'ai envie de faire autre chose, de passer un bon moment.
Je joue à des jeux sur mobiles par contre et là c'est plus dû à une certaine communauté, sinon le jeu en lui même ne serait pas aussi intéressant.
J'ai eu des périodes très intenses de jeux, ou je regrettais, parfois, d'avoir passer autant de temps dessus.
J'essaye aussi de sortir avec des amis boire un verre ou autre, mais moins, j'aime mon confort.
Je travaille aussi, donc je ne joue pas non stop et encore heureux, trop c'est trop.
Mais, c'est plus une question d'époque et de la société en général, le bonheur des uns n'a pas à être considéré comme moins bien que celui des autres, on est maîtres de nos propres vies, on " à le droit de faire ce que l'on souhaite ", le plus important c'est de savoir ce qui nous rend bien heureux, de ne pas en abuser car modération est mère de beaucoup de choses et surtout de savoir palier les plaisirs et les varier.
Mais jeux video ou non, ce n'est pas plus ou moins intéressant qu'un autre hobbie.
Les JV "tout seul" comme SMT, ou autre, j'y joue de temps en temps, quand j'ai envie de faire autre chose, de passer un bon moment.
Je joue à des jeux sur mobiles par contre et là c'est plus dû à une certaine communauté, sinon le jeu en lui même ne serait pas aussi intéressant.
J'ai eu des périodes très intenses de jeux, ou je regrettais, parfois, d'avoir passer autant de temps dessus.
J'essaye aussi de sortir avec des amis boire un verre ou autre, mais moins, j'aime mon confort.
Je travaille aussi, donc je ne joue pas non stop et encore heureux, trop c'est trop.
Mais, c'est plus une question d'époque et de la société en général, le bonheur des uns n'a pas à être considéré comme moins bien que celui des autres, on est maîtres de nos propres vies, on " à le droit de faire ce que l'on souhaite ", le plus important c'est de savoir ce qui nous rend bien heureux, de ne pas en abuser car modération est mère de beaucoup de choses et surtout de savoir palier les plaisirs et les varier.
Mais jeux video ou non, ce n'est pas plus ou moins intéressant qu'un autre hobbie.
Pas de diagnostique fait pour le moment
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Re: Jeux vidéo ou vie sociale, il faut choisir?
On peut facilement remplacer le titre par toute sorte de chose, lutter contre l'ennui c'est une question de goût. Pour ne pas bloquer dessus il faut juste varier les activités.
Généralement quand je m'ennuie, je n'ai envie de rien faire et donc je n'arrive pas à me focaliser sur un truc. Et donc je m'ennuie encore plus. C'est génial.
Les jeux vidéo c'est une passion que je pratique comme un cinéphile.
Je ne joue pas pour jouer en fait. Je ne m'en sers pas pour combler un vide ou très rarement.
Il peut m'arriver de tester une cinquantaine de jeux rétros en un temps record comme de ne pas y toucher avant une très longue période.
Là par exemple, je m'y suis seulement remis depuis hier après avoir avalé un mois de tuto pour apprendre à programmer ... Donc quelque chose de productif.
On ne peut pas imputer une faiblesse humaine à un média qui a justement été créé pour divertir.
Bref,© concernant la question, je crois que je n'ai même pas besoin de répondre tellement c'est évident.
Généralement quand je m'ennuie, je n'ai envie de rien faire et donc je n'arrive pas à me focaliser sur un truc. Et donc je m'ennuie encore plus. C'est génial.
Les jeux vidéo c'est une passion que je pratique comme un cinéphile.
Je ne joue pas pour jouer en fait. Je ne m'en sers pas pour combler un vide ou très rarement.
Il peut m'arriver de tester une cinquantaine de jeux rétros en un temps record comme de ne pas y toucher avant une très longue période.
Là par exemple, je m'y suis seulement remis depuis hier après avoir avalé un mois de tuto pour apprendre à programmer ... Donc quelque chose de productif.
On ne peut pas imputer une faiblesse humaine à un média qui a justement été créé pour divertir.
Bref,© concernant la question, je crois que je n'ai même pas besoin de répondre tellement c'est évident.
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- Prolifique
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Re: Jeux vidéo ou vie sociale, il faut choisir?
ah oui , les jeux vidéo .
je jouais a EVERQUEST dans le temps .
pas de travail , beaucoup de temps de libre .
d'autant que j'avais choisi un classe fort utile . un cléric , le soigneur par excellence . quand j'ai commencé a jouer . j'avais juste a me brancher en ligne sur le jeu et ce n'était pas long que je me trouvais un groupe pour jouer avec du monde
a monter de niveau assez rapidement . a me trouver une guilde ou je me sentais bien . 3 ieme guilde en importance . j'avais accès a de bon équipement . c'était la belle vie . je me sentais bien . je me sentais important .
malheureusement , les gens avec qui je me sentais bien ont cessé de jouer .
d'autant que le jeu devenais de plus en plus gros avec chaque expansion du jeu qui sortait . je n'ai pas réussi a me retrouver une guilde ou je me sentais bien . pire , ceux que j'ai rejoins par la suite me traitais mal . je ne trouvais personne pour des groupes . il avait trop de quête a faire pour de la faction pour entrer dans des zones . d'autant que je trouvais injuste la façon d'attribuer les équipement
avec de retour un travail , je ne pouvais jouer 16 heure par jour comme avant ,
j'ai fini par cesser de jouer a ce jeu
j'ai embarquer avec un collègue de travail sur xbox par la suite call of duty . un premier groupe de québécois complètement auto suffisant d'eux-même . par pour moi j'ai changer de team . plus tard j'ai rencontrer d'autre joueur sympatrique .
mais le jeu a trop changer vers l'ennemi de l'islam plus tôt que la bonne vielle guerre mondiale N'2 . cela ma faire perdre patience .
aujourd'hui je ne joue qu'a ninja classic . un jeu quand même assez individuel . je monte de niveau de jour en jour . je n'ai pas besoin d'être présent 6 heure par jour sur le jeu pour avancer . une demi heure tout au plus . je ne suis pas obliger d'y jouer chaque jour .
je peux me concentrer sur le social si cela me tente . je n'ai pas a perdre de social pour le devoir de jouer en ligne
je jouais a EVERQUEST dans le temps .
pas de travail , beaucoup de temps de libre .
d'autant que j'avais choisi un classe fort utile . un cléric , le soigneur par excellence . quand j'ai commencé a jouer . j'avais juste a me brancher en ligne sur le jeu et ce n'était pas long que je me trouvais un groupe pour jouer avec du monde
a monter de niveau assez rapidement . a me trouver une guilde ou je me sentais bien . 3 ieme guilde en importance . j'avais accès a de bon équipement . c'était la belle vie . je me sentais bien . je me sentais important .
malheureusement , les gens avec qui je me sentais bien ont cessé de jouer .
d'autant que le jeu devenais de plus en plus gros avec chaque expansion du jeu qui sortait . je n'ai pas réussi a me retrouver une guilde ou je me sentais bien . pire , ceux que j'ai rejoins par la suite me traitais mal . je ne trouvais personne pour des groupes . il avait trop de quête a faire pour de la faction pour entrer dans des zones . d'autant que je trouvais injuste la façon d'attribuer les équipement
avec de retour un travail , je ne pouvais jouer 16 heure par jour comme avant ,
j'ai fini par cesser de jouer a ce jeu
j'ai embarquer avec un collègue de travail sur xbox par la suite call of duty . un premier groupe de québécois complètement auto suffisant d'eux-même . par pour moi j'ai changer de team . plus tard j'ai rencontrer d'autre joueur sympatrique .
mais le jeu a trop changer vers l'ennemi de l'islam plus tôt que la bonne vielle guerre mondiale N'2 . cela ma faire perdre patience .
aujourd'hui je ne joue qu'a ninja classic . un jeu quand même assez individuel . je monte de niveau de jour en jour . je n'ai pas besoin d'être présent 6 heure par jour sur le jeu pour avancer . une demi heure tout au plus . je ne suis pas obliger d'y jouer chaque jour .
je peux me concentrer sur le social si cela me tente . je n'ai pas a perdre de social pour le devoir de jouer en ligne
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Re: Jeux vidéo ou vie sociale, il faut choisir?
Ca doit dépendre ;
j'ai craqué hier pour une dizaine de jeux.. du coup si on me demande d'aller boire un verre (ou plutôt son contenu), ben je peux pas, j'ai pu de sous : D donc oui, jouer ou parler, il faut choisir (et c'est tant mieux).
j'ai craqué hier pour une dizaine de jeux.. du coup si on me demande d'aller boire un verre (ou plutôt son contenu), ben je peux pas, j'ai pu de sous : D donc oui, jouer ou parler, il faut choisir (et c'est tant mieux).
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"Just another brick in the wall."
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Re: Jeux vidéo ou vie sociale, il faut choisir?
Exemple opposé : il y a quelques années ça m'a permit quelques unes de mes rares sorties sociales : mon unité centrale sous le bras, j'allais faire des LAN chez des geeks, trop contents d'avoir une fille avec eux et pas trop regardants sur mes capacités sociales pour certains (mais pas tous).
Maintenant je ne joue plus et de toute façon les modes de jeu ont évolué, j'ai remarqué que même pour ceux qui jouent entre amis en général chacun reste chez soi avec micro et/ou webcam pour communiquer avec les autres.
Maintenant je ne joue plus et de toute façon les modes de jeu ont évolué, j'ai remarqué que même pour ceux qui jouent entre amis en général chacun reste chez soi avec micro et/ou webcam pour communiquer avec les autres.
Diagnostiquée Autiste Asperger et TDA.
Mère de 3 enfants : fils Aîné TDAH et TSA atypique, cadet TSA de type Asperger, benjamin en cours d'évaluation neuropsy.
Mère de 3 enfants : fils Aîné TDAH et TSA atypique, cadet TSA de type Asperger, benjamin en cours d'évaluation neuropsy.
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Re: Jeux vidéo ou vie sociale, il faut choisir?
Non, il ne faut pas choisir.
J'aime les JV (Diablo / Tomb Raider / Mass Effect).
La vie sociale c'est extrêmement compliqué, et elle m'épuise tout le temps. Le jeu est, pou moi, un moyen d'évasion (pas de passer l'ennui, j'ai un monde intérieur assez vaste, je m'ennuie rarement). Et j'ai rencontré des gens sur les tchats liés aux jeux. On a au moins un point commun : notre passion pour le jeu. Ca peut créer des liens bien moins artificiels que les relations sociales "physiques". Et en plus, c'est vachement reposant le fait de ne pas se demander en permanence : je regarde où, je fais quoi de mes mains, quoi de mes bras quoi de mes jambes, etc...
J'aime les JV (Diablo / Tomb Raider / Mass Effect).
La vie sociale c'est extrêmement compliqué, et elle m'épuise tout le temps. Le jeu est, pou moi, un moyen d'évasion (pas de passer l'ennui, j'ai un monde intérieur assez vaste, je m'ennuie rarement). Et j'ai rencontré des gens sur les tchats liés aux jeux. On a au moins un point commun : notre passion pour le jeu. Ca peut créer des liens bien moins artificiels que les relations sociales "physiques". Et en plus, c'est vachement reposant le fait de ne pas se demander en permanence : je regarde où, je fais quoi de mes mains, quoi de mes bras quoi de mes jambes, etc...
"Ils avaient créé leur propre soleil pour combattre la nuit ."
"Simplement, un jour, j'ai pris conscience que, en matière d'humanité, la laideur aussi pouvait être intérieure."
Ayerdhal
Autiste diagnostiquée.
"Simplement, un jour, j'ai pris conscience que, en matière d'humanité, la laideur aussi pouvait être intérieure."
Ayerdhal
Autiste diagnostiquée.