hygiène personnelle des autistes
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hygiène personnelle des autistes
Modération (had) : digression depuis la discussion sur la sexualité des autistes
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Mais ces deux cas ne posent pas de problèmes à un aspie, parce que ce n'est pas de l'implicite, c'est de l'information claire que l'on entend régulièrement de manière répétée... Tout petit (aspie ou pas) on n'a pas de vergogne à se promener les fesses à l'air dans le couloir de la maison, puis nos parents nous font comprendre qu'il faut se rhabiller. Si on recommence quelques jours plus tard, on nous fait comprendre de manière plus vigoureuse qu'on ne se promène pas les fesses à l'air. Tout au long de notre vie on nous inculque qu'il faut cacher ses parties intimes, faute de quoi on fait rire de soi. Donc...C'est de l'information qui est dite clairement. Si une personne fait de l'exhibitionnisme et se masturbe dans un parc, c'est pas par méconnaissance des règles sociales à mon avis, mais plutôt par provocation, ou bien par très grande déconnexion de la réalité. Ce n'est pas lié au syndrome d'Asperger. Je pense plutôt qu'un aspie, par nature inhibé et pudique, aurait davantage de mal qu'un non-aspie à faire ce genre de choses en public. Pour l'hygiène aussi, c'est de l'explicite. Toute la jeunesse on nous inculque les règles d'hygiène de manière claire et explicite, donc je ne vois pas comment un aspie aurait davantage de problèmes liés à l'hygiène que des non-aspies...À moins par négligence, mais encore une fois, les aspies étant très à cheval sur les règles sont à mon avis plus maniaques que les autres en termes d'hygiène (j'ai moi-même des TOC de lavage des mains).
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Mais ces deux cas ne posent pas de problèmes à un aspie, parce que ce n'est pas de l'implicite, c'est de l'information claire que l'on entend régulièrement de manière répétée... Tout petit (aspie ou pas) on n'a pas de vergogne à se promener les fesses à l'air dans le couloir de la maison, puis nos parents nous font comprendre qu'il faut se rhabiller. Si on recommence quelques jours plus tard, on nous fait comprendre de manière plus vigoureuse qu'on ne se promène pas les fesses à l'air. Tout au long de notre vie on nous inculque qu'il faut cacher ses parties intimes, faute de quoi on fait rire de soi. Donc...C'est de l'information qui est dite clairement. Si une personne fait de l'exhibitionnisme et se masturbe dans un parc, c'est pas par méconnaissance des règles sociales à mon avis, mais plutôt par provocation, ou bien par très grande déconnexion de la réalité. Ce n'est pas lié au syndrome d'Asperger. Je pense plutôt qu'un aspie, par nature inhibé et pudique, aurait davantage de mal qu'un non-aspie à faire ce genre de choses en public. Pour l'hygiène aussi, c'est de l'explicite. Toute la jeunesse on nous inculque les règles d'hygiène de manière claire et explicite, donc je ne vois pas comment un aspie aurait davantage de problèmes liés à l'hygiène que des non-aspies...À moins par négligence, mais encore une fois, les aspies étant très à cheval sur les règles sont à mon avis plus maniaques que les autres en termes d'hygiène (j'ai moi-même des TOC de lavage des mains).
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Re: Formation sur la séxualité des aspies et autistes
Pour ce qui est de l'hygiène, le contact avec l'eau m'est souvent désagréable, pire pour la tête. Prendre une douche me coûte presque autant que d'avoir une prise de sang ! ...
Non diagnostiqué, 50+, phobie sociale + divers traits autistiques, 3 enfants HPI+TDA/H
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Re: Formation sur la séxualité des aspies et autistes
Bof, pour l'hygiène, je me souviens d'une grande scène à la maison parce que je ne voulais pas me laver les cheveux, parce que je les avais lavés 3 jours plus tôt et que jusque-là, le lavage des cheveux, c'était une fois par semaine et que je n'aimais pas trop... (Ils faisaient des nœuds en séchant.) Sauf que c'était au début de l'adolescence et que ce rythme n'était plus approprié.
Pour la sexualité, ça dépend probablement de ce que les parents acceptent d'expliquer.
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Spoiler : :
Détectée HQI dans l'enfance, diagnostiquée TSA de type syndrome d'Asperger en juillet 2015.
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Re: Formation sur la séxualité des aspies et autistes
Pour les cheveux, je vais 2-3 fois par année chez le coiffeur me faire tondre à 3 mm.
Modération (had) : attention au hors sujet merci de revenir vers la "sexualité des aspies et autistes"
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Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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Re: Formation sur la séxualité des aspies et autistes
Tu faisais ça à 12-13 ans aussi, Monsieur Freeshost ?freeshost a écrit :Pour les cheveux, je vais 2-3 fois par année chez le coiffeur me faire tondre à 3 mm.
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Re: Formation sur la séxualité des aspies et autistes
Spoiler : :
Bon je ne sais pas comment formuler ma phrase en fait, du coup merci les smileys !Cathy a écrit :Super intéressant, j'espérais toutefois qu'il parle de l'asexualité. Le manque d'intérêt pour les rapports sexuels est présent chez un grand nombre de personnes avec autisme que j'ai rencontré
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Oui tu as raison, j'ai ajouté un spoiler du coup.
TSA.
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Re: Formation sur la séxualité des aspies et autistes
Non, c'est juste depuis quelques années, pour réduire les "coûts" d'entretien.Flower a écrit :Tu faisais ça à 12-13 ans aussi, Monsieur Freeshost ?freeshost a écrit :Pour les cheveux, je vais 2-3 fois par année chez le coiffeur me faire tondre à 3 mm.
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Fin du hors-sujet.
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Re: Formation sur la séxualité des aspies et autistes
C'est ton avis, mais je crois qu'il est bien loin de la réalité. (de la mienne en tout cas )calande a écrit :Toute la jeunesse on nous inculque les règles d'hygiène de manière claire et explicite, donc je ne vois pas comment un aspie aurait davantage de problèmes liés à l'hygiène que des non-aspies...À moins par négligence, mais encore une fois, les aspies étant très à cheval sur les règles sont à mon avis plus maniaques que les autres en termes d'hygiène (j'ai moi-même des TOC de lavage des mains).
Il suffit de chercher "Asperger + hygiène" sur google pour voir que ce n'est pas simple pour tout le monde.
Il me semble aussi que c'est une des questions de l'Aspie Quizz. Et je ne sais plus dans quel ouvrage j'ai lu ça aussi.
Bref. Ne pas faire une généralité de son cas. Je n'ai pas de statistiques dans un sens ni dans l'autre (ça ne m'intéresse pas plus que ça en fait).
Pour la sexualité, j'ose espérer qu'internet permet maintenant de compenser un peu la méconnaissance qui peut résulter autant des implicites que du manque d'interactions avec des personnes du même âge.
Diagnostiquée Autiste Asperger et TDA.
Mère de 3 enfants : fils Aîné TDAH et TSA atypique, cadet TSA de type Asperger, benjamin en cours d'évaluation neuropsy.
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Re: Formation sur la séxualité des aspies et autistes
calande a écrit :Mais ces deux cas ne posent pas de problèmes à un aspie, parce que ce n'est pas de l'implicite, c'est de l'information claire que l'on entend régulièrement de manière répétée... Tout petit (aspie ou pas) on n'a pas de vergogne à se promener les fesses à l'air dans le couloir de la maison, puis nos parents nous font comprendre qu'il faut se rhabiller. Si on recommence quelques jours plus tard, on nous fait comprendre de manière plus vigoureuse qu'on ne se promène pas les fesses à l'air. Tout au long de notre vie on nous inculque qu'il faut cacher ses parties intimes, faute de quoi on fait rire de soi. Donc...C'est de l'information qui est dite clairement. Si une personne fait de l'exhibitionnisme et se masturbe dans un parc, c'est pas par méconnaissance des règles sociales à mon avis, mais plutôt par provocation, ou bien par très grande déconnexion de la réalité. Ce n'est pas lié au syndrome d'Asperger. Je pense plutôt qu'un aspie, par nature inhibé et pudique, aurait davantage de mal qu'un non-aspie à faire ce genre de choses en public. Pour l'hygiène aussi, c'est de l'explicite. Toute la jeunesse on nous inculque les règles d'hygiène de manière claire et explicite, donc je ne vois pas comment un aspie aurait davantage de problèmes liés à l'hygiène que des non-aspies...À moins par négligence, mais encore une fois, les aspies étant très à cheval sur les règles sont à mon avis plus maniaques que les autres en termes d'hygiène (j'ai moi-même des TOC de lavage des mains).
Il faut reprendre le titre de cette formation Calande.
Formation sur la sexualité des Aspies et autistes.
Tu ne vois pas comment une personne Asperger aurait davantage de problèmes liés à l'hygiène et pourtant j'ai eu l'occasion de croiser bien des parents qui n'arrivaient pas à faire prendre une douche à leurs enfants ne serait ce qu'une fois par semaine.
Idem pour la masturbation, je rejoints totalement Had sur le sujet :
Nombreux sont les parents qui demandent de l'aide à ce sujet. C'est d'ailleurs assez étonnant, quand ils ont des enfants NT, pour eux ça tombe sous le sens de leurs expliquer les bases de la sexualité. Quand il s'agit d'enfants autistes, c'est à croire qu'ils pensent qu'ils n'ont pas les mêmes besoins physiquesHad a écrit :ça dépends : à un jeune ado, tu lui dis comment ? si tu lui interdit pas de faire ça en public, il va pas deviner (d'autant qu'il s'agit d'une pulsion, donc difficilement contrôlable), et si tu lui dit pas de se laver les mains, tu peux être sûr que les rideaux ou la chaussette qui traîne fera l'affaire ...
La naïveté des personnes avec autisme est un handicap en matière de sexualité. Ne pas aborder le sujet , ne pas dialoguer ouvertement , c'est les mettre en danger.
Parent d'un garçon de 21 ans, diagnostiqué autiste à 3 ans, diagnostiqué SA à 13 ans
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Re: Formation sur la séxualité des aspies et autistes
Bonjour,
Désolé pour l'orthographe, comme on me l'a fait remarqué, c'est vraiment un de mes points faibles, je n'ai jamais réussi a bien assimiler les règles de la langue française, je suis probablement dysorthographique...
En ce qui concerne l'asexualité, on en a assez peu parlé mais beaucoup d'études montrent que les aspis tendent globalement à avoir une libido plus ou moins similaire aux autres personnes (en tout cas c'est ce que j'ai compris), en ce qui concerne l’homosexualité, le sujet a été évoqué pendant la formation et c'est là aussi que l'éducation sexuelle doit être importante, une éducation qui doit aborder tous les aspects, il me semble que cela est évoquée dans les deux sites qui sont mis en liens dans le forum...
Le principal problème est que pour être vraiment complète, la formation aurait dut durer une semaine entière (Charles Durham l'a lui même dit), certains aspects n'ont pas été traité, par exemple l'hypersensibilité au touché des aspis (peut être à mettre en lien avec l'asexualité?), les problèmes au sein des couples non plus n'ont pas été développé...
Désolé pour l'orthographe, comme on me l'a fait remarqué, c'est vraiment un de mes points faibles, je n'ai jamais réussi a bien assimiler les règles de la langue française, je suis probablement dysorthographique...
En ce qui concerne l'asexualité, on en a assez peu parlé mais beaucoup d'études montrent que les aspis tendent globalement à avoir une libido plus ou moins similaire aux autres personnes (en tout cas c'est ce que j'ai compris), en ce qui concerne l’homosexualité, le sujet a été évoqué pendant la formation et c'est là aussi que l'éducation sexuelle doit être importante, une éducation qui doit aborder tous les aspects, il me semble que cela est évoquée dans les deux sites qui sont mis en liens dans le forum...
Le principal problème est que pour être vraiment complète, la formation aurait dut durer une semaine entière (Charles Durham l'a lui même dit), certains aspects n'ont pas été traité, par exemple l'hypersensibilité au touché des aspis (peut être à mettre en lien avec l'asexualité?), les problèmes au sein des couples non plus n'ont pas été développé...
Etudiant en histoire dans le cadre d'une reprise d'étude, diagnostiqué asperger à 27 ans et considéré comme "plutôt bien intégré" dans la société
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Re: Formation sur la séxualité des aspies et autistes
Oui, au temps pour moiCathy a écrit :Il faut reprendre le titre de cette formation Calande.
Formation sur la sexualité des Aspies et autistes.
Par contre, je vois à peu près de quelle situation il s'agit car quand j'étais petit, je pleurais à chaque fois qu'on me lavait les cheveux. Mais je savais qu'il fallait se laver les cheveux car ma maman me le disait...Me le redire à chaque fois qu'il fallait faire un shampooing n'y changeait rien. Mais bon, comme le dit Manichéenne... Tous les cas sont différents, alors je préfère ne pas généraliserCathy a écrit :j'ai eu l'occasion de croiser bien des parents qui n'arrivaient pas à faire prendre une douche à leurs enfants ne serait ce qu'une fois par semaine
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Re: Formation sur la séxualité des aspies et autistes
Mais, moi, j'avais une petite voiture à chaque fois que j'allais chez le coiffeurcalande a écrit : Par contre, je vois à peu près de quelle situation il s'agit car quand j'étais petit, je pleurais à chaque fois qu'on me lavait les cheveux. Mais je savais qu'il fallait se laver les cheveux car ma maman me le disait...Me le redire à chaque fois qu'il fallait faire un shampooing n'y changeait rien. Mais bon, comme le dit Manichéenne... Tous les cas sont différents, alors je préfère ne pas généraliser
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Re: Formation sur la séxualité des aspies et autistes
Pour certaines personnes asperger j'ai pu observer des freins :Cathy a écrit :Tu ne vois pas comment une personne Asperger aurait davantage de problèmes liés à l'hygiène ...
- la sensorialité ( jet d'eau sur la peau et surtout sur le cuir chevelu qui fait mal par exemple) ;
- la motricité (ben oui ça joue aussi dans une douche l'habileté motrice et pas qu'un peu pour certains) ;
- difficulté d'instaurer une routine quand le quotidien n'est pas repérant (la personne pense à prendre une douche et à changer de sous vêtement les jours d'école mais pas les week-end ou durant les vacances).
Ce sont des exemples que j'ai observé, il y en a peut-être d'autres.
Même si de prime abord ça m'agace qu'on parle de "la sexualité des ... " (mettez tout ce que vous voulez derrière), cette sexualité est, dans le cas qui nous occupe, directement liée à deux des trois domaines de la triade autistique : la communication et les interactions sociales.
Si en parler, avec tout le respect possible, permet aux personnes autistes, à leurs parents et aux professionnels qui les accompagnent d'éviter les abus sexuels et les comportements tombant sous le coup de la loi ben je m'assoie sur mon agacement et je prends les infos pour améliorer mes réponses aux demandes.
Tout le monde (autiste ou pas) n'a pas la chance d'avoir les infos pertinentes et apprendre la sexualité uniquement par le porno du web, ben je trouve ça dommage hein.
Modifié en dernier par géromine le mardi 8 septembre 2015 à 22:53, modifié 1 fois.
Ni diag., ni en cours , ni auto-diag. Juste un peu zarbi, les fesses entre minimum deux chaises, un peu bancale.
Bienheureux inconfort qui permet une multitude de rencontres.
Ne se sentir nulle part à sa place permet d'en expérimenter de nombreuses.
Bienheureux inconfort qui permet une multitude de rencontres.
Ne se sentir nulle part à sa place permet d'en expérimenter de nombreuses.
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Re: Formation sur la séxualité des aspies et autistes
Avez-vous trouvé une parade ? J'ai aussi ce problème-là de négliger cet aspect le week-end, mais j'ai l'impression que c'est lié à la décompensation du week-end et à la grosse fatigue associée...-Nora- a écrit :géromine a écrit : - difficulté d'instaurer une routine quand le quotidien n'est pas repérant (la personne pense à prendre une douche et à changer de sous vêtement les jours d'école mais pas les week-end ou durant les vacances).
J'ai beau être adulte, non déficiente mentale, vivre seule etc ... mais ouais, j'ai quand même du mal avec ça.
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Re: Formation sur la séxualité des aspies et autistes
Idem pour moi, et pas de parade... Mes proches supportent comme ils peuventcalande a écrit :Avez-vous trouvé une parade ? J'ai aussi ce problème-là de négliger cet aspect le week-end, mais j'ai l'impression que c'est lié à la décompensation du week-end et à la grosse fatigue associée...-Nora- a écrit :géromine a écrit : - difficulté d'instaurer une routine quand le quotidien n'est pas repérant (la personne pense à prendre une douche et à changer de sous vêtement les jours d'école mais pas les week-end ou durant les vacances).
J'ai beau être adulte, non déficiente mentale, vivre seule etc ... mais ouais, j'ai quand même du mal avec ça.
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