Toutes discussions concernant l'autisme et le syndrome d'Asperger, leurs définitions, les méthodes de diagnostic, l'état de la recherche, les nouveautés, etc.
Bonjour, je poste ici (suite à une petite désillusion affective vécue en stage), des témoignages de personnes asperger (vous-même et/ou une personne de votre entourage étant affecté(e)) avec les relations copains-copine (plus précisément relations amoureuses).
J'ai beaucoup fait de progrès, j'ai eu une "copine" (si on peut appeler ça ) par correspondance avant les grandes vacances dernières, et à la fin je l'ai mal vécue, mais ça me remanque ces derniers temps, si possible une copine non pas par internet, je voudrais.
Arf moi ça me ferait mal aussi, je te comprend et compati. J'ai eu ma première copine en primaire moi, c'était merveilleux, mais cours car elle était dans un foyer à l'époque et avant on s'était disputé, mais c'est un de mes premiers souvenirs de copine
C'etait pas evident pour moi. En théorie un garçon vois une fille qui lui plait, l'invite a sortir , elle repond oui et hop. Donc pour moi en gros la fille attend et c'est ce que je faisais et j'ai pas mal attendu.
Sauf qu'en pratique c'est bien plus compliqué, y'a tout un jeu de communication avant, sans parole. Des messages que la fille envois, une façon de regarder de minauder... qui va faire dire au gars "j'ai un ticket" et l'inciter a inviter la fille a sortir.
Pour la fille il faut que son message soit suffisament clair que le gars comprenne le "tu me plait mec invite moi", mais si elle est trop explicite elle sera vite catalogué d'allumeuse, coup d'un soir...
Le garcon aussi envois des message subliminaux pas facile a détecter et a comprendre. Ensuite ben faut que l'un et l'autre vois et comprenne ces ptits messages, ces coup d'oeil ...
Bref toute cette danse qui précede en fait l'invit ben j'ai mis vachement de temps à prendre conscience de son existence et ensuite a être capable de la jouer.
Maman bizarroïde d'un grand ado de 16 ans (EIP TDA) et d'un ado de 14 ans Asperger TDAH.
Moi je vais vers les autres, avec un brun d'humour, quelques petits compliments, le sourire, la tchatche, je me vend un peu, et je suis pas mal aprécié... même si j'ai pas eue de petite copine ces deux derniers mois... Mais on m'a dit que j'avais vachement progressé en communication, plus vite que les autres même J'ai changé depuis mon dernier traitement...
Mais attention! Ne pas prendre celà comme remède miracle! Chacun prend un traitement qui lui correspond avec son cas d'autisme ou de syndrôme d'Asperger ^^ Je ne veux pas véhiculer un faux message d'espoir
j'ai bien eu un "amoureux" étant petite (7 ans je croit)mais bon c'est pas pareil
plus tard j'ai parfoit été intéréssée par quelque garçon mais je n'ai jamais osée leur parlé
en troisième il y a un garçon qui semblait s'intéreser a moi,j'ai sut bien plus tard en discutant par hasard avec une fille qui se foutait de ma ... et le pire c'est quelle pensait que je le savait,en faite elle venait de me l'apprendre
une foit au lycée il y en avait un qui me plaisait et que je connaissait assez bien mais je ne savait pas comment l'abordé j'ai essayer de discuté avec lui ça ne marchait pas j'ai pas insisté et il m'est passer "sous le nez":une fille que je connaissait lui a parlé et a rapidement sympathisé,ils ont finit par sortir ensemble;
j'ai pas insisté a près tout il allais bien ensemble
maintenant j'observe beaucoup les autre et je trouve ça assez case tête(surtout des relations que j'ai observé avec ma soeur ).
je croit qu'en faite que c'est un sujet qui me stress beaucoup
Neuro-atypique (TSA) diagnostiquée à 21 ans, plusieurs soupçon de TSA dans la familles, un cousin diagnostiqué et 2 cousines en attentes de diagnostique.
Alors des amies j'en ai et une super chouette qui m'a donné beaucoup de son coeur.
Après pour les petites amies.....
Bah j'ai eut un peu de flirt au lycée.Après j'ai eut une petite copine m'enfin ca été compliqué,je pouvais pas la calliner,bah de bisoux rien d'affectueux sauf lui chatouiller un peu la joue et les cheveux.
On s'est séparer la veille de noël et on est revenu simples amis.
Honnêtement les petites copines ce serait de prendre de l'amour et d'en redonner.
Mais bon maintenant entre le boulot,le concours,ma formation,j'ai pas le temps de me demander comment faire pour mieux draguer;j'en ai même rien à faire,je plais ou je plais pas.
Bonjour,
Moi, je ne suis pas encore diagnostiquée (donc peut-être pas de SA), mais je peux quand même te répondre. Je n'ai jamais rien compris aux petits jeux entre ados, et j'ai eu très peu de petits copains. en revanche, je suis tombée amoureuse, à ma façon, deux fois. La première à 13 ans et cela m'est resté 5 ans ; cet obsession d'une inaccessible étoile m'a protégée des relations épisodiques qu'avaient mes copines. D'ailleurs, pour l'amitié, c'est pareil. J'ai toujours choisi un groupe où je pouvais me fondre, en essayant désespérément de leur ressembler, pour ne pas qu'on me voit. Je suis, enfin j'étais ça se calme avec l'âge, très très très influençable. Un peu comme les shapeshifters de Fringe, j'avais l'impression de me fondre dans leur moule. Mais dedans, il y a toujours un noyau dur rien qu'à moi. Donc je fais le caméléon, et on m'oublie. En même temps, je suis peu dysfonctionnelle en apparence. Et puis, je suis toujours passée pour l'originale de service...
La seconde à 31 ans et je l'ai épousé. Entre les deux, j'ai vécu 10 ans avec un NT pur jus avec qui il s'agissait plus de compagnonnage et de colocation que d'amour.
Voilà pour la bio. J'ai la chance d'avoir rencontré des gens capables de m'accepter, mais je suis aussi extrêmement intégrée, au prix d'un épuisement total aujourd'hui.
Je suis solitaire, pour de vrai, mais je ne sais pas vivre seule.
en même temps, j'écris ça et puis ça te sert à rien...
Je suis la mère d'une petite fille TED de 8 ans et demi et de jumeaux mixtes de 5 ans et demi.
Grands amours inaccessibles collège, lycée. Un seul amour pou run ours comme moi, mariage, décès. 2 relations depuis, mais ça a capoté "vite" (selon mes critères).
Je donne trop, j'attends peu mais ça semble troujours trop. Je patiente une éternité pour enfin me rendre compte qu'on n'a rien en commun
Comme Nonie, je dirais que la solitude me pèse au quotidien même si dans l'âme, je suis une solitaire.
Pas sûre que ce soit rassurant, tout ça...
Mère absolument atypique (mais à quel niveau ?) d'une petite atypique de 5 ans dont le diagnostic est enfin en route..
Pour ma part ayant tendance à être obsessionnelle et à m'aliéner totalement avec les personnes que j'aime mes relations ont été : soit à sens unique, soit extrêmement violentes et malsaines qui m'ont détruite psychologiquement et physiquement.
Pendant un moment j'ai même pensé que je le cherchais, que j'étais attiré uniquement par les filles/garçons qui avaient des gros soucis psychologiques et qui m'utilisait comme défouloir.
Jusqu'à il y a 3 ans où j'ai rencontré mon neuroatypique comme il se décrit avec qui on vit en essayant de palier chacun au problème de l'autre, qui est très doux, patient et tolérant. Beaucoup, beaucoup de chance d'avoir croisé sa route au moment où j'avais décidé de vivre seule et isolée.
).
