Pour parler d'éco-anxiété...
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Pour parler d'éco-anxiété...
Est-ce que ça vous arrive aussi de vous réveiller en pleine nuit, submergés d'angoisses liées à la destruction de la vie, des écosystèmes, les conséquences du changement climatique et de la pollution sur la nature et les populations humaines ?
D'être pris d'une bouffée de culpabilité à l'idée de prendre la voiture au moment d'aller au travail ?
D'avoir envie d'insulter votre beau-frère qui parle avec fierté de sa voiture de 250 ch ?
De vous sentir complètement impuissant face à tout cela, comme l'impression que les gens autour vivent sur une autre planète ?
De ressentir ce subtil mélange d'angoisse, de colère et d'impuissance ?
Et puis moi, comme j'adore me faire du mal, je me gave aussi de conférences de Janco ou d'A. Barrau.
A croire que j'ai un côté maso refoulé.
Bref, y a-t-il des gens ici qui vivent des choses similaires ?
D'être pris d'une bouffée de culpabilité à l'idée de prendre la voiture au moment d'aller au travail ?
D'avoir envie d'insulter votre beau-frère qui parle avec fierté de sa voiture de 250 ch ?
De vous sentir complètement impuissant face à tout cela, comme l'impression que les gens autour vivent sur une autre planète ?
De ressentir ce subtil mélange d'angoisse, de colère et d'impuissance ?
Et puis moi, comme j'adore me faire du mal, je me gave aussi de conférences de Janco ou d'A. Barrau.
A croire que j'ai un côté maso refoulé.
Bref, y a-t-il des gens ici qui vivent des choses similaires ?
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Re: Pour parler d'éco-anxiété...
Ouais, tu as sûrement lu sur l'éco-anxiété, la solastalgie. Es-tu éco-furieux ?
Il y a même le bassiste des Cowboys Fringants, Jérôme Dupras, qui a créé avec d'autres personnes, un groupe nommé Solastalgie.
Chaque personne fait ce qu'elle peut.
Nous pouvons développer et entretenir l'humilité à la fois comme individus et comme éléments d'un groupe.
On est que du monde. On ne peut pas porter tout l'poids du monde sur son dos.
Il y a même le bassiste des Cowboys Fringants, Jérôme Dupras, qui a créé avec d'autres personnes, un groupe nommé Solastalgie.
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Nous pouvons développer et entretenir l'humilité à la fois comme individus et comme éléments d'un groupe.
On est que du monde. On ne peut pas porter tout l'poids du monde sur son dos.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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Re: Pour parler d'éco-anxiété...
Je n'ai jamais eu d'éco-anxiété. On va dire que j'ai des sujets qui me font souffrir et qui dépassent largement la souffrance que pourrait créer l'éco-anxiété. Une montagne peut cacher une grande maison de sorte qu'on ne la voit pas.
Diagnostic d'autisme chez un psychiatre. Pas certain du diagnostic." Glorieuse civilisation, certes, dont le grand problème est de savoir comment se débarrasser des monceaux de cadavres qu'elle a faits, une fois la bataille passée." Marx
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Re: Pour parler d'éco-anxiété...
Je n'en ai jamais souffert car:
1- Cela ne sert à rien de paniquer juste pour paniquer. Autant proposer des solutions viables.
2- Je vois des gens très écologistes qui font des propositions plus symboliques qu'efficaces ou souvent contre-productives. Ils n'en ont même pas conscience. Coucou l'Allemagne et ses centrales à charbon. Adieu Lützerah qui va être détruit pour alimenter ces centrales.
3- Je vois que certains profitent abusivement des gens éco-anxieux pour les manipuler, les rabaisser ou s'enrichir.
Je m'inquiète de choses plus urgentes dans mon quotidien.
1- Cela ne sert à rien de paniquer juste pour paniquer. Autant proposer des solutions viables.
2- Je vois des gens très écologistes qui font des propositions plus symboliques qu'efficaces ou souvent contre-productives. Ils n'en ont même pas conscience. Coucou l'Allemagne et ses centrales à charbon. Adieu Lützerah qui va être détruit pour alimenter ces centrales.
3- Je vois que certains profitent abusivement des gens éco-anxieux pour les manipuler, les rabaisser ou s'enrichir.
Je m'inquiète de choses plus urgentes dans mon quotidien.
Ayant une maladie et des soucis en plus, on m'a pré-diagnostiqué Asperger et j'ai eu une confirmation assez incertaine depuis. Résultat, je continue de douter.
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Re: Pour parler d'éco-anxiété...
Pour faire court : non, pas d'éco-anxiété, d'angoisse, ni d'envie d'insulter mes contemporains.
J'essaie d'agir de la façon la plus en rapport avec mes convictions et valeurs.
Au delà, je tâche de ne pas me rendre malade ou en colère pour ce qui ne dépend pas de moi...
J'essaie d'agir de la façon la plus en rapport avec mes convictions et valeurs.
Au delà, je tâche de ne pas me rendre malade ou en colère pour ce qui ne dépend pas de moi...
TCS = trouble de la communication sociale (24/09/2014).
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Re: Pour parler d'éco-anxiété...
Ouaip
Je faisais même des rêves de fin du monde, de destruction nucléaire souvent planifiée et annoncée explicitement à la population, où j'étais là à anticiper le moment...
À présent, je me suis vachement apaisée, je ne pense plus comme ça.
Je suis pourtant au stade de ma vie où je mets le plus de choses en œuvre (volontairement ou par défaut) pour "limiter la casse" à mon échelle. Par exemple, en mangeant végétal ; en achetant des vêtements/objets seulement si nécessaire, et en seconde main le plus possible (ou même récup') ; en coupant l'eau autant que possible quand je me douche, me brosse les dents...
Mais bien des choses que je fais, je ne les fais même pas à des fins écologiques, mais juste parce que c'est comme ça que je fonctionne naturellement :
Par exemple, à l'heure où j'écris cette réponse, je suis dans mon canapé, avec mon seul téléphone pour appareil multimédia (je n'ai pas de télé, pas d'ordi, pas d'enceintes, ...). La lumière est éteinte, comme elle l'est le plus souvent possible ; je profite de la lumière des lampadaires dehors.
Ou encore, je ne prends pas la voiture (parce que je n'ai pas de voiture), je ne pars pas en voyage (parce que ça ne m'intéresse pas), je n'achète pas d'objets superflus pour décorer mon appart' par exemple (parce que je m'en fous)... La liste est longue.
Sans oublier qu'on ne peut pas atteindre la perfection, ce n'est en fait pas le but. Bien sûr qu'il y a l'impact (basique, inévitable) de ma vie quotidienne, les emballages parfois de trop, les articles optionnels (nourriture plaisir par exemple), etc....
je l'ai déjà ressenti. Très très fort même, auparavant. Cela a pu se traduire par des pleurs sur mon lit, une vision de l'être humain comme parasite terrestre, un défaitisme marqué ("de toute façon la planète est foutue, à quoi bon")... Jusqu'à il n'y a pas si longtemps, je me demandais encore "mais comment c'est possible de ne pas se rendre compte à ce point ?!"
Je faisais même des rêves de fin du monde, de destruction nucléaire souvent planifiée et annoncée explicitement à la population, où j'étais là à anticiper le moment...
À présent, je me suis vachement apaisée, je ne pense plus comme ça.
Je suis pourtant au stade de ma vie où je mets le plus de choses en œuvre (volontairement ou par défaut) pour "limiter la casse" à mon échelle. Par exemple, en mangeant végétal ; en achetant des vêtements/objets seulement si nécessaire, et en seconde main le plus possible (ou même récup') ; en coupant l'eau autant que possible quand je me douche, me brosse les dents...
Mais bien des choses que je fais, je ne les fais même pas à des fins écologiques, mais juste parce que c'est comme ça que je fonctionne naturellement :
Par exemple, à l'heure où j'écris cette réponse, je suis dans mon canapé, avec mon seul téléphone pour appareil multimédia (je n'ai pas de télé, pas d'ordi, pas d'enceintes, ...). La lumière est éteinte, comme elle l'est le plus souvent possible ; je profite de la lumière des lampadaires dehors.
Ou encore, je ne prends pas la voiture (parce que je n'ai pas de voiture), je ne pars pas en voyage (parce que ça ne m'intéresse pas), je n'achète pas d'objets superflus pour décorer mon appart' par exemple (parce que je m'en fous)... La liste est longue.
Sans oublier qu'on ne peut pas atteindre la perfection, ce n'est en fait pas le but. Bien sûr qu'il y a l'impact (basique, inévitable) de ma vie quotidienne, les emballages parfois de trop, les articles optionnels (nourriture plaisir par exemple), etc....
Diagnostiquée hyperactive (TDAH mixte), autiste et anxieuse
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Re: Pour parler d'éco-anxiété...
Oui je ressens également beaucoup d'éco-anxiété.
Il faut dire que l'actualité n'est guère réjouissante.
Chaque catastrophe fait monter d'un cran mon angoisse.
Je ne suis pas très optimiste pour l'avenir de la planète.
Voir l'insouciance de ceux qui gaspillent les ressources m'horripile.
Je limite mes déplacements.
Je débranche ma box quand je ne suis pas chez moi.
J'ai une multiprise pour éteindre télé / box télé ... et ne pas les laisser en veille.
Je préfère réparer que jeter. ( chaussures, aspirateur).
Bien que mon ordi et mon téléphone portable rament,
je résiste à la tentation de les remplacer par des modèles plus récents. (les deux datent de 2016)
Je voudrais réduire mon empreinte carbone au niveau du numérique.
C'est une pollution invisible, insidieuse.
Il faut dire que l'actualité n'est guère réjouissante.
Chaque catastrophe fait monter d'un cran mon angoisse.
Je ne suis pas très optimiste pour l'avenir de la planète.
Voir l'insouciance de ceux qui gaspillent les ressources m'horripile.
Ma première crise d'éco-anxiété remonte à l'été 2003.Spoiler :
Je fais attention au quotidien.Spoiler :
Je limite mes déplacements.
Je conduis en limitant ma vitesse, en utilisant la force d'inertie avant d'arriver dans un village..Spoiler :
Je débranche ma box quand je ne suis pas chez moi.
J'ai une multiprise pour éteindre télé / box télé ... et ne pas les laisser en veille.
Je préfère réparer que jeter. ( chaussures, aspirateur).
Bien que mon ordi et mon téléphone portable rament,
je résiste à la tentation de les remplacer par des modèles plus récents. (les deux datent de 2016)
Je voudrais réduire mon empreinte carbone au niveau du numérique.
C'est une pollution invisible, insidieuse.
"Diagnostic de traits obsessionnels handicapant les relations aux autres"
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Re: Pour parler d'éco-anxiété...
Pour ma part, pas vraiment d'anxiété mais une profonde tristesse. De la culpabilité aussi car je n'ai pas le courage de sortir totalement de notre système de consommation et profit. Je fais au mieux tout en ayant conscience que c'est pas assez.
TSA et TDAH diagnostiqués tardivement, début 2024
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Re: Pour parler d'éco-anxiété...
Ah, je ne savais pas !freeshost a écrit : ↑vendredi 15 septembre 2023 à 17:19Il y a même le bassiste des Cowboys Fringants, Jérôme Dupras, qui a créé avec d'autres personnes, un groupe nommé Solastalgie.
Je les écoutais beaucoup, à l'époque du shack à Hector.
Bon, je me sens moins seul.
A. Barrau expliquait (dans la Terre au carré je crois) que l'éco-anxiété n'existe pas, que c'est juste de la lucidité.
Cet été j'ai fait une visite en gabare sur la Loire.
Le guide nous expliquait la vie du fleuve, et comment un simple mégot de cigarette jeté dans la rue pouvait polluer des centaines de litres d'eau. Tout ce qui tombe sur le bassin versant sans être traité termine à un moment dans le fleuve.
Cette image du mégot me poursuit...
Je garde un souvenir mitigé de l'expo sur l'eau au musée des confluences, qui m'a énormément perturbé, puisque tout ramenait à l'action de l'homme sur l'environnement.
Même ce mot, environnement, est très anthropocentré.
Diagnostiqué. CRA, 2016.
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Re: Pour parler d'éco-anxiété...
Le discours du guide m’aurait hanté pendant longtemps, comme toutes les émissions que je peux écouter en podcast, alors je m’en tiens loin sinon je vis en panique et rejet viscéral du genre humain pour une partie d’entre eux.
Et je ne veux pas emmener mes enfants dans cet état d’esprit, je préfère leur ouvrir en leur montrant des documents qui éclairent, comme le film Demain, ou le reportage sur les Kogis (mais il met vraiment à l’envers pendant un bon moment…) pour qu’ils sachent ce qui peut être fait à son échelle pour préserver ce qui nous est offert par la Nature.
Il peut m’arriver d’entrer dans des crises telles que tu les décris, parce que je ne vois pas de solutions acceptables dans tout ce qui est entrepris « en haut », mais pour vivre en accord avec ce que je pense être le mieux, j’essaie de faire au maximum au quotidien.
Une de mes voitures est électrique et tu sais combien à la campagne malheureusement on est obligé d’en avoir deux…
J’ai retapé un vélo de mon père pour faire des trucs pas trop loin avec (mais aller à la gare c’est trop loin), je descends au village à pieds si besoin (20 min aller), tant pis si je prends 45 minutes pour aller déposer un colis ou 1h1/2 pour aller à la pharmacie du village voisin.
On est aussi vigilant que possible à la maison, pour la nourriture, l’eau, le chauffage, les vêtements.
Ça ne donne pas bonne conscience, mais au moins on essaie de faire autant qu’on peut.
Et je ne veux pas emmener mes enfants dans cet état d’esprit, je préfère leur ouvrir en leur montrant des documents qui éclairent, comme le film Demain, ou le reportage sur les Kogis (mais il met vraiment à l’envers pendant un bon moment…) pour qu’ils sachent ce qui peut être fait à son échelle pour préserver ce qui nous est offert par la Nature.
Il peut m’arriver d’entrer dans des crises telles que tu les décris, parce que je ne vois pas de solutions acceptables dans tout ce qui est entrepris « en haut », mais pour vivre en accord avec ce que je pense être le mieux, j’essaie de faire au maximum au quotidien.
Une de mes voitures est électrique et tu sais combien à la campagne malheureusement on est obligé d’en avoir deux…
J’ai retapé un vélo de mon père pour faire des trucs pas trop loin avec (mais aller à la gare c’est trop loin), je descends au village à pieds si besoin (20 min aller), tant pis si je prends 45 minutes pour aller déposer un colis ou 1h1/2 pour aller à la pharmacie du village voisin.
On est aussi vigilant que possible à la maison, pour la nourriture, l’eau, le chauffage, les vêtements.
Ça ne donne pas bonne conscience, mais au moins on essaie de faire autant qu’on peut.
TSA
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Re: Pour parler d'éco-anxiété...
L'éco-anxiété c'est aussi une période d'époque. maintenant, certains disent le plus grand bien ce mal-être en disant que cela va aider la planète. Comme si c'était normal d'être anxieux, angoissé, dépressif pour une cause. Cela me choque que l'on positive une anxiété car la plupart des personnes touchées ne peuvent pas faire plus.
Beaucoup se sont intéressés à la théorie de Thanos version MCU (pas confondre avec ses objectifs dans la version comics qui était de plaire à l'entité Mort).Spoiler :
Ayant une maladie et des soucis en plus, on m'a pré-diagnostiqué Asperger et j'ai eu une confirmation assez incertaine depuis. Résultat, je continue de douter.
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Re: Pour parler d'éco-anxiété...
Ce tronçon de phrase me renvoie à un autre tronçon de phrase dans une remarque d'un ami via le direct d'une radio locale"...La Réunion n'est pas sur la planète terre, et nous sommes ici encore dans l'ancien monde.." notion qui a été mal comprise, les auditeurs ont crût que l'ancien monde évoqué était plutôt vers années 1900, alors qu'il parlait de cet ancien monde de tout-voiture, parachutisme-de-loisir, tout-hélicoptère-gaspillage énergétique et dénaturation de tout espace de liberté, fortement symbolique, c'est que depuis 2023 on maintient l'éclairage urbain toute la nuit, alors qu'avant, on ménageait une période d'extinction nocturne de 23H à 4H du matin...De vous sentir complètement impuissant face à tout cela, comme l'impression que les gens autour vivent sur une autre planète ?
=> cela peut rendre "éco-furieux". on dirait que c'est du déni sciemment organisé. Que gagne t-on, par exemple avec le maintient de l'éclairage nocturne, à part la plus grande facilité des cambriolages?
Diagnostiqué Aspi vers 37 ans (2007)
le reste c'est 100 intérêts
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Re: Pour parler d'éco-anxiété...
L'éclairage de nuit sert à protéger les gens qui se déplacent (surtout les femmes). Mais cela aide aussi à circuler le soir ou la nuit. Je me suis déjà fait insulter le soir dans une rue mal éclairée par des types imbibés d'alcool. Si on passe par les petites rotes de bretagne ou de l'auvergne, les routes sont si étroites que même avec les phrases, on risque d'entrer en collision. Des fois, on rentre en revenant le soir du travail alors que la nuit est tombé sur des animaux. une connaissance a eu 3 gros accidents avec des animaux dont deux sangliers juste à l'entrée de sa commune.
Ayant une maladie et des soucis en plus, on m'a pré-diagnostiqué Asperger et j'ai eu une confirmation assez incertaine depuis. Résultat, je continue de douter.
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Re: Pour parler d'éco-anxiété...
Bonjour,
Ce sont des thématiques qui me préoccupent et m'attristent. Mon père et moi accomplissons, au quotidien, des gestes qui tendent à nous rassurer, mais un sentiment d'impuissance m'anime.
Ce sont des thématiques qui me préoccupent et m'attristent. Mon père et moi accomplissons, au quotidien, des gestes qui tendent à nous rassurer, mais un sentiment d'impuissance m'anime.
Non diagnostiqué TSA.
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Re: Pour parler d'éco-anxiété...
Je suis assez préservée de ce type d'anxiété, même s'il m'est déjà arrivé d'y succomber par phases, généralement après visionnage de documentaires attristants sur la disparition des espèces ou plus récemment lors de la lecture du Dernier des siens.
Je me sens plus touchée par la disparition de certaines espèces animales du fait des activités humaines que par le climat ou la pollution en général.
J'avoue que j'évite de trop m'y intéresser ou m'y confronter parce que je sais que cela peut entraîner chez moi de grandes vagues de désespoir, alors je me préserve en fermant les yeux sur tout ça.
Je me sens plus touchée par la disparition de certaines espèces animales du fait des activités humaines que par le climat ou la pollution en général.
J'avoue que j'évite de trop m'y intéresser ou m'y confronter parce que je sais que cela peut entraîner chez moi de grandes vagues de désespoir, alors je me préserve en fermant les yeux sur tout ça.
Lilas - TSA (AHN - Centre Expert - 2015)
Mes romans :
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- Ma dame aux oiseaux
- Galaxies parallèles
- Les enfants de la lune rouge
- Et à venir prochainement La pie baladeuse