Je fais beaucoup de cauchemars en ce moment, pas plus tard que se matin, encore.
J’ai pris des anti-dépresseur pendant quelque temps entre 2020 et 2022 quand je suis revenu du Canada, J’ai arrêté mon traitement, c’est-à-dire que, il y a des jours avec et beaucoup de jours sans..
Depuis quelques temps je sent qu’il me manque quelque chose dans ma vie, le problème avec les antidépresseurs c’est que quand j’en prend je n’arriver plus à rêvez la nuit, et maintenant au risque de faire des cauchemars.
Mes cauchemars concerne souvent, cet fille, dont je suis tombé en amitié et amoureux il y a des années de cela, elle sortait avec mon meilleur amis de l’époque, des fois je me dit que je ne la reverrai plus er dans mon rêve de hier cet scène se répéter plusieurs fois.
Dans cet scène qui se répète en boucle il y a toujours moi il y a Antoine et il y a Raphaelle.
A chaque fois que la scène se répète je me retourne en face d’Antoine en lui disant que ça se passera pas comme la première fois et à partir de ce moment-là la scène se répète encore et encore mais à chaque fois, la scène ne change pas c’est toujours la même et à chaque fois je me retrouve en face d’Antoine et je lui dis, ça se passera pas comme la première fois….
Et plus j’avance dans cet storyline ou la scène se répète et des détails qui m’avait échappé la première fois, puis la seconde, puis la troisième fois…
La première fois je ne vois pas Raphaëlle mais je sais qu’elle est là, deuxième fois je la vois, la troisième fois je la vois un peu plus mais cette fois-ci dénudé ou à moitié dénudée, je m’imagine histoire romantique qui est en train de se passer….
C’est difficile d’être mis à l’écart, il y a quelque années en 2017 j’ai rencontré, Deonne, j’ai vécu avec elle et ses deux petites filles. Nous étions formidable de partage, elle était canadienne. C’était pour moi la seul est unique relation de couple que j’ai
jamais eu.
Et depuis je rêve de retrouver cet fille.
Depuis ma vie va de dépression en dépression, de problèmes de santé tierce et d’histoire à dormir debout, et je regrette de n’avoir jamais pris de bonne décision.
Entre temps j’ai appris à me connaître.
Je vie une expérience en collocation actuellement, sa m’aide, mais ce n’est pas une solution pérenne pour lui H(27) et pour moi H(29) et j’ai peur de la suite… actuellement je me sent utile mais le simple fait de rester seul des fois comme il y’a une semaine un acte dépressif majeure, j’ai envisagé qu’il ne me rester plus que le suicide. Sa ma parru comme une évidence et pour contrer cet évidence j’ai dû écrire une phrase que je me suis répétée et relus pendant vingt minutes…
J’ai entendu dire que l’écriture et une bonne thérapie au même titre que toute les différentes activités que j’entreprend, je me suis inscrit sur ce forum mais moi qui cherche d’habitude à comprendre le pourquoi du comment, je me retrouve à faire une thérapie de moi même.
Des fois il m’arrive de ne pas me sentir a ma place de me dire que la planète sur la quelle nous vivons où je vie est à la fois grande et trop petite ou on peu facilement se perdre.
Le fait de vieillir ne me chamboule pas, mais je sais au plus profond de moi que Raphaëlle et toute ces autres femmes que j’ai rencontré on changé ma vie.
Mais j’ai aussi l’impression depuis l’enfance que la bataille que je mène contre la société qui me discrimine et me diffame n’a pas de fin, il y a des fois quand j’étais enfant ou je me disais souvent que le combat été perdu d’avance et je me surprends aujourd’hui à déballer des cours d’éco de droit de gestion des méthodes que j’ai appris que personne ne connais.
Et pour tout les raisons que j’ai de me poser la question de qu’elle est là place de l’homme et de la femme sur terre. Franchement c’est quoi se délire de s’auto mutiler.
Sa m’amène à croire que 90% des gens ne savent rien….
Désoler, mais c’est mon sujet.
Moi j’ai étudier dans mon garage, aucun titre, aucun diplôme, je ne fait pas dans le complexe mais j’ai d’abord essayé de comprendre les humains avant de me faire un propre avis sur les questions qui englobe notre société. Moi j’ai un raz le bol.
Cet semaine, j’ai envoyé quelqu’un en diffamation devant son ordre. Je me suis rapproché d’une association pour faire du bénévolat. J’ai fait la thérapie au chien de la maison, je me suis lancé dans un projet e-sport et par dessus tout j’ai dû faire le boulot que l’administration judiciaire ne fait pas quand il s’agit de centraliser les affaire civile qui se ressemble et qui son traité dans différent Tj.
Mais en dehors de sa, je n’ai pas de salaire, je n’ai pas de vie de famille, je pense à cet fille tout le temps…
J’en aî marre.
Cauchemars et Dépression Surmenage
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Cauchemars et Dépression Surmenage
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Re: Cauchemars et Dépression Surmenage
Bonjour,
Tu dis « je regrette de n’avoir jamais pris de bonnes décisions »
Au contraire, fais toi confiance. On perçoit des tas de choses qui font signes. Imaginer que l’on aurait dû voir autrement c’est imaginer que l’on est quelqu’un d’autre. Alors si tu avais voulu être à la place de ton ami avec cette fille, réfléchis bien… On ne se sent jamais à l’aise dans les chaussures de quelqu’un d’autre. Et que sais tu de cette relation ? Ce qui existe n’est pas forcément la meilleure version, mais beaucoup de personnes s’en contentent parce que c’est rassurant. Il n’y a pas de justice dans l’état des choses. Et lorsqu’on fait des choix, on y est condamné.
C’est l’idée de « garder quelqu’un » et de croire que nos décisions peuvent influer sur l’autre qui fait mal. Je ne pense pas que ça fonctionne dans ce sens. Je ne regrette rien dans mon parcours et certainement personne. Je suis comme un reflet dans l’eau, et m’accommode de tout le paysage à travers lequel je voyage. Chaque reflet est différent à chaque moment et l’occasion de beauté. Dis toi que vouloir « garder quelqu’un » c’est la meilleure raison pour le laisser partir.
C’est la confluence qui me fait rêver. Pas posséder quelque chose.
Si cette fille t a mis à l’écart comme tu dis, c’est qu’elle n’est pas sensible. Elle ne te voit pas. C’est une excellente nouvelle. Ça tombe comme les feuilles d’automne les aveugles. Laisse les disparaître avec le vent. Moi, je remercie les absents de ce qu’ils m’ont révélé. Grâce à elles, je sais ce que je ne veux pas, et je reste ouvert à tout ce qui est possible et infini par ailleurs.
Tu dis « je regrette de n’avoir jamais pris de bonnes décisions »
Au contraire, fais toi confiance. On perçoit des tas de choses qui font signes. Imaginer que l’on aurait dû voir autrement c’est imaginer que l’on est quelqu’un d’autre. Alors si tu avais voulu être à la place de ton ami avec cette fille, réfléchis bien… On ne se sent jamais à l’aise dans les chaussures de quelqu’un d’autre. Et que sais tu de cette relation ? Ce qui existe n’est pas forcément la meilleure version, mais beaucoup de personnes s’en contentent parce que c’est rassurant. Il n’y a pas de justice dans l’état des choses. Et lorsqu’on fait des choix, on y est condamné.
C’est l’idée de « garder quelqu’un » et de croire que nos décisions peuvent influer sur l’autre qui fait mal. Je ne pense pas que ça fonctionne dans ce sens. Je ne regrette rien dans mon parcours et certainement personne. Je suis comme un reflet dans l’eau, et m’accommode de tout le paysage à travers lequel je voyage. Chaque reflet est différent à chaque moment et l’occasion de beauté. Dis toi que vouloir « garder quelqu’un » c’est la meilleure raison pour le laisser partir.
C’est la confluence qui me fait rêver. Pas posséder quelque chose.
Si cette fille t a mis à l’écart comme tu dis, c’est qu’elle n’est pas sensible. Elle ne te voit pas. C’est une excellente nouvelle. Ça tombe comme les feuilles d’automne les aveugles. Laisse les disparaître avec le vent. Moi, je remercie les absents de ce qu’ils m’ont révélé. Grâce à elles, je sais ce que je ne veux pas, et je reste ouvert à tout ce qui est possible et infini par ailleurs.
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