Qui te répond de la même manière qu'une MDPH ou autre organe étatique : en t'ignorant ou avec une réponse creuse, au mieux. J'exagère, à peine, pour les MDPH et les organes étatiques au moins on peut obtenir une réponse qui ait du sens. Le forum fait malheureusement de plus en plus d'arbitraire. D'ailleurs, sur le fond ici aucune réponse n'a été donnée. Comme à chacune de mes remarques étayées.
J'ai pour habitude de passer assez facilement les insultes à peine déguisées, le "FC, tu es limite délirant." c'en est quand même une assez grosse.
Bref, réponse sur le fond, néant, et la forme en insulte, deux fois de suite pour le problème qui a pour résultat ce post. Et ce n'est pas la première fois qu'il est fait de telles menaces de sanctions de sa part.
D'ailleurs, je vais en profiter pour répondre sur le fond du sujet abordé HQI, vu que c'est l'endroit pour le grand déballage, au diable les éléments qui devraient rester entre personnes capable d'analyser ce genre d'études.
Ampleur « normale »
L’étendue observée dans les échantillons d’étalonnage (Table 1) a remarquablement peu varié au fil des versions des échelles d’intelligence de Wechsler. Pour les 10 subtests principaux, elle s’établit autour d’une médiane de 7, avec un écart-type de 2,2. Dans l’échantillon d’étalonnage français du WISC-V, 54,3% des profils présentent un écart de 7 points ou plus, et il faut 12 points d’écart pour descendre sous les 5% de profils présentant un écart aussi important. Pour les indices, l’étendue médiane varie de 20 à 23 points, avec un écart-type d’environ 10. Dans le WISC-V, 52,8% des profils présentent ainsi un écart de 23 points ou plus parmi les cinq indices principaux, et il faut 43 points d’écart pour descendre sous les 5% de profils présentant un écart aussi important. On observe donc que la dispersion intra-individuelle des scores, dans une population sans trouble particulier,est non seulement courante, mais aussi d’une ampleur qui peut sembler conséquente quand on la compare aux écarts-types des scores correspondants (3 pour les subtests, 15 pour les indices). D’où l’importance pour les cliniciens d’avoir ces chiffres en tête lors de l’analyse de profils.
(PDF) La dispersion intra-individuelle et le profil des scores dans les QI élevés. Available from:
https://www.researchgate.net/publicatio ... _QI_eleves [accessed Oct 23 2018].
Si quelques différences statistiquement significatives apparaissent à l’échelle de groupes cliniques, celles-ci ne sont ni suffisamment spécifiques (un même écart de scores peut avoir de multiples causes) ni assez sensibles (trop d’écarts sont présents en l’absence de tout trouble) pour une utilisation en diagnostic individuel. Malgré de multiples mises en garde contre toute attribution hâtive des écarts de scores à une pathologie, on constate encore aujourd’hui des excès dans ce domaine (Lichtenberger & Kaufman, 2012, p. 226). Les recommandations courantes aux cliniciens concernant l’interprétation des scores sont de les utiliser pour former des hypothèses, à confirmer ou mettre en relation avec d’autres sources d’informations comme les performances scolaires ou les résultats d’autres tests (Bachelier & Cognet, 2017; Flanagan & Alfonso, 2017 ; Sattler, 1999).
(PDF) La dispersion intra-individuelle et le profil des scores dans les QI élevés. Available from:
https://www.researchgate.net/publicatio ... _QI_eleves [accessed Oct 23 2018].
Cette dispersion peut être localement amplifiée ou réduite par les caractéristiques des tests, en particulier par un effet plafond pour les QI extrêmes.
Moralité, c'est bien se que je décrit : plus vous vous rapprochez des extrêmes, plus une dispersion se voie facilement. Et plus les écarts sur ce genre de dispersion deviennent rare (rappel qu'a 2 écart type QIT on est déjà dans les 0.09% de la population, on est donc déjà dans les "unité pour 10000" de la population générale. A 10% de ces 10000 on se retrouve bien dans les "unité pour 1 million" de la population générale. Et ces écarts sont à mettre en relation avec le score total relatif comme précisé : un écart de 2 sur des subtest a 18+ ne fera que 7% de différence, alors que ce même écart à 10 représentera 20%.
Mais oh, wait, c'est plus facile de dire que des gros écarts numériques existent partout. (en occultant la relativisation et le lissage des scores relatifs qui est pourtant bien effectué par les cliniciens).
Je vous invite à aller lire la lois de Spearman sur les rendements décroissants (une autre interprétation de la lois des petits nombres, ou des grands nombres, au choix)
https://www.researchgate.net/publicatio ... S-IV_Norms
https://www.researchgate.net/publicatio ... ence_Scale
Ou ces deux là.
Je ne m'excuserai pas d'avoir répondu de manière sèche à quelqu'un qui cherche de péter plus haut que son cul alors qu'il y pige queudale juste pour me contredire. Trop, c'est vraiment trop.
Aspie "cru 2014".