Sexe et femme asperger
-
- Nouveau
- Messages : 9
- Enregistré le : mercredi 29 mars 2017 à 11:27
Sexe et femme asperger
Bonjour à tous,
NT en couple avec une asperger depuis plus d'un an, j'ai longtemps hésité à venir en parler sur un forum. Notre relation se passe bien, malgré quelques incompréhensions mutuelles anodines, il n'y a pas particulièrement d'ombre au tableau, si ce n'est une, et pas des moindre. Le sexe.
Ah oui, le sexe. Après être parvenu à éliminer tous les problèmes auxquels nous nous sommes heurtés, s'il en est un que je n'avais pas envisagé, c'est bien celui-là ; et pour cause, au tout début de notre relation, nos rapports étaient passionnés, - très - fréquents, puis très rapidement, en quelques semaines, plus rien. Aujourd'hui, ça fait 2 mois que nous n'avons pas eu de rapport.
Quand j'en parle avec, elle, elle me dit qu'elle n'y pense pas et qu'elle n'en éprouve pas le besoin. Le truc, c'est que de mon coté, j'ai besoin de ces moments de passion et d'intensité avec elle, et pour réduire le concept à son plus basique aspect, j'ai besoin de sexe tout court. J'ai essayé toutes les approches sur différentes phases, ça ne donne rien de bon.
Alors me voilà, dans l'espoir d'être conseillé par quelques compagnons d'asperger, ou quelques demoiselles asperger, qui sait.
Pour finir, je trouve ça rageant que tout fonctionne parfaitement mais que la machine soit bloquée par CE seul et unique point noir. J'en ai d'ailleurs un peu honte. Tout ça pour du sexe, rrro. C'est pas si grave me dis-je à moi-même. Mais forcé de constater que si, la question tourne dans mon esprit, sans cesse et se transforme peu à peu en obsession.
Voilà voilà,
Merci par avance à ceux qui prendrons le temps de lire ces quelques lignes.
NT en couple avec une asperger depuis plus d'un an, j'ai longtemps hésité à venir en parler sur un forum. Notre relation se passe bien, malgré quelques incompréhensions mutuelles anodines, il n'y a pas particulièrement d'ombre au tableau, si ce n'est une, et pas des moindre. Le sexe.
Ah oui, le sexe. Après être parvenu à éliminer tous les problèmes auxquels nous nous sommes heurtés, s'il en est un que je n'avais pas envisagé, c'est bien celui-là ; et pour cause, au tout début de notre relation, nos rapports étaient passionnés, - très - fréquents, puis très rapidement, en quelques semaines, plus rien. Aujourd'hui, ça fait 2 mois que nous n'avons pas eu de rapport.
Quand j'en parle avec, elle, elle me dit qu'elle n'y pense pas et qu'elle n'en éprouve pas le besoin. Le truc, c'est que de mon coté, j'ai besoin de ces moments de passion et d'intensité avec elle, et pour réduire le concept à son plus basique aspect, j'ai besoin de sexe tout court. J'ai essayé toutes les approches sur différentes phases, ça ne donne rien de bon.
Alors me voilà, dans l'espoir d'être conseillé par quelques compagnons d'asperger, ou quelques demoiselles asperger, qui sait.
Pour finir, je trouve ça rageant que tout fonctionne parfaitement mais que la machine soit bloquée par CE seul et unique point noir. J'en ai d'ailleurs un peu honte. Tout ça pour du sexe, rrro. C'est pas si grave me dis-je à moi-même. Mais forcé de constater que si, la question tourne dans mon esprit, sans cesse et se transforme peu à peu en obsession.
Voilà voilà,
Merci par avance à ceux qui prendrons le temps de lire ces quelques lignes.
-
- Prolifique
- Messages : 4322
- Enregistré le : dimanche 1 décembre 2013 à 17:58
Re: Sexe et femme asperger
Peut-être lui demander si elle accepterait que tu ailles voir ailleurs pour assouvir ce besoin là ?
Non-diag.
"Just another brick in the wall."
"Just another brick in the wall."
-
- Intarissable
- Messages : 5857
- Enregistré le : mercredi 8 avril 2015 à 13:13
- Localisation : Au pied des Pyrénées
Re: Sexe et femme asperger
Autre angle d'approche: Sais-tu pourquoi au début il y a eu cette intensité et pourquoi c'est retombé à ce point maintenant? Qu'elle n'en ressente pas le besoin maintenant, ok, mais apparemment elle l'a ressenti à un moment. Donc peut-être il y aurait une piste à suivre par là - savoir ce qui déclenche l'envie.
J'avoue que je n'ai qu'une fois connu ce genre de problème, et en sens inverse: c'était mon copain qui n'avait plus envie. Quelques semaines après, il a rompu en disant qu'il "n'était plus amoureux"... (J'avoue que je n'ai toujours pas compris où était le problème.) Mais j'ai aussi essentiellement connu des relations à distance, ça joue peut-être.
J'avoue que je n'ai qu'une fois connu ce genre de problème, et en sens inverse: c'était mon copain qui n'avait plus envie. Quelques semaines après, il a rompu en disant qu'il "n'était plus amoureux"... (J'avoue que je n'ai toujours pas compris où était le problème.) Mais j'ai aussi essentiellement connu des relations à distance, ça joue peut-être.
Détectée HQI dans l'enfance, diagnostiquée TSA de type syndrome d'Asperger en juillet 2015.
-
- Intarissable
- Messages : 10966
- Enregistré le : mardi 29 juillet 2014 à 11:15
Re: Sexe et femme asperger
J'ai souvent rencontré ce "souci" (je ne sais comment appeler ça), avoir envie au début et plus rien par la suite.
Je ne saurais pas expliquer pourquoi par contre.
En fait si peut-être, chez moi ça ne se passe pas bien du tour, je n'apprécie pas, c'est douloureux, je n'y pense pas, peut-être juste l'attraction physique du début, qui une fois consommée retombe, je ne sais pas.
Je ne saurais pas expliquer pourquoi par contre.
En fait si peut-être, chez moi ça ne se passe pas bien du tour, je n'apprécie pas, c'est douloureux, je n'y pense pas, peut-être juste l'attraction physique du début, qui une fois consommée retombe, je ne sais pas.
TSA.
-
- Prolifique
- Messages : 755
- Enregistré le : samedi 29 octobre 2016 à 9:22
Re: Sexe et femme asperger
Tu lui a demandé clairement pourquoi elle voulait plus? Ect ce qu elle a beaucoup de stress c est temps? Ect ce qu il y a eu un événement particulier?
Le désir c est aussi si qqch qui s entretien ....peut être demande si t elle des fantasmes? Peut être qu elle veut tester des choses sans oser demander et ça la bloque.... essaie de la faire parler gentillement ou en plusieur fois....
Le désir c est aussi si qqch qui s entretien ....peut être demande si t elle des fantasmes? Peut être qu elle veut tester des choses sans oser demander et ça la bloque.... essaie de la faire parler gentillement ou en plusieur fois....
Je suis sur l arc-en-ciel ( diagnostiquée le 06.03.2017)
-
- Assidu
- Messages : 200
- Enregistré le : mercredi 24 décembre 2014 à 1:55
Re: Sexe et femme asperger
Il y avait un très bon article sur ça, et je pense que ce problème n'a rien avoir avec la neuroatypie et le genre de son partenaire. Je sais pas si j'ai le droit de partager, mais voici le lien : http://www.madmoizelle.com/difference-l ... ple-734585
Pour preuve, j'ai beau être un asperger non-binaire afab, tout ça m'empêche pas d'avoir très souvent envie de sexe.
Pour preuve, j'ai beau être un asperger non-binaire afab, tout ça m'empêche pas d'avoir très souvent envie de sexe.
-
- Intarissable
- Messages : 10966
- Enregistré le : mardi 29 juillet 2014 à 11:15
Re: Sexe et femme asperger
Ça ne veut rien dire, il y'a des aspies très friands de sexe et d'autres pas du tout.Aden a écrit :Pour preuve, j'ai beau être un asperger (...) ça m'empêche pas d'avoir très souvent envie de sexe.
TSA.
-
- Assidu
- Messages : 200
- Enregistré le : mercredi 24 décembre 2014 à 1:55
Re: Sexe et femme asperger
Hé, j'ai pas fait de mon cas une généralité, ne surinterprète mes propos. Je sais pertinemment que tout le monde n'est pas pareil, pour éviter de penser que tous les afabs sont pratiquement pas friands de sexe, je me suis pris en exemple, mon avis allait dans ce sens-là. Cordialement.Lilette a écrit :Ça ne veut rien dire, il y'a des aspies très friands de sexe et d'autres pas du tout.Aden a écrit :Pour preuve, j'ai beau être un asperger
Modifié en dernier par Aden le mercredi 29 mars 2017 à 21:55, modifié 1 fois.
-
- Intarissable
- Messages : 14261
- Enregistré le : dimanche 3 février 2013 à 18:48
Re: Sexe et femme asperger
C'est vrai !Lilette a écrit :Ça ne veut rien dire, il y'a des aspies très friands de sexe et d'autres pas du tout.Aden a écrit :Pour preuve, j'ai beau être un asperger (...) ça m'empêche pas d'avoir très souvent envie de sexe.
Aspi.
Je pars d'ici
Je pars d'ici
-
- Intarissable
- Messages : 10966
- Enregistré le : mardi 29 juillet 2014 à 11:15
-
- Assidu
- Messages : 200
- Enregistré le : mercredi 24 décembre 2014 à 1:55
Re: Sexe et femme asperger
Relis mon poste qui est modifié, et je pense pas avoir surinterprété tes propos en revanche, donc si tu me dis rien, je vais pas savoir, ta réponse n'a donc pas d'intérêt.Lilette a écrit :Je te renvoie la réflexion.ne surinterprète mes propos.
-
- Intarissable
- Messages : 10966
- Enregistré le : mardi 29 juillet 2014 à 11:15
-
- Prolifique
- Messages : 755
- Enregistré le : samedi 29 octobre 2016 à 9:22
Re: Sexe et femme asperger
Aden a écrit : non-binaire afab
Alors la va falloir traduire pour les non initiés
Je suis sur l arc-en-ciel ( diagnostiquée le 06.03.2017)
-
- Prolifique
- Messages : 505
- Enregistré le : samedi 8 août 2015 à 3:17
Re: Sexe et femme asperger
Si ta femme avait jamais aimé le sexe, ça aurait été compliqué, mais étant donné qu'à une époque au moins elle aimait, ça veut dire que ça peut revenir. Tu peux lui dire que toi tu en as besoin, elle fera peut-être un effort pour te faire plaisir et avec un peu de chance elle y reprendra goût...
2 mois d'abstinence c'est rien, j'ai connu bien pire (tout en étant en couple) et en en discutant c'est revenu à la normale. En général les femmes arrivent à se passer de sexualité bien plus facilement que les hommes, et moins elles ont de rapports, moins elles en ont envie. Mais je pense pas que ça puisse être définitif, donc rassure-toi.
Sinon, j'ai pas compris "afab" non plus
2 mois d'abstinence c'est rien, j'ai connu bien pire (tout en étant en couple) et en en discutant c'est revenu à la normale. En général les femmes arrivent à se passer de sexualité bien plus facilement que les hommes, et moins elles ont de rapports, moins elles en ont envie. Mais je pense pas que ça puisse être définitif, donc rassure-toi.
Sinon, j'ai pas compris "afab" non plus
diag SA avril 2013
-
- Nouveau
- Messages : 9
- Enregistré le : mercredi 29 mars 2017 à 11:27
Re: Sexe et femme asperger
Bonjour à tous,
D'abord, merci à tous pour vos interventions, je pensais pas avoir autant de réponses, ça fait plaisir =)
Pour éclaircir le tout premier point abordé, pour moi, il n'est pas envisageable d'aller voir ailleurs simplement pour satisfaire ce besoin. Mais, parce que je suis taquin, je lui ai posé la question, juste pour voir, pour faire évoluer le sujet. Elle est très ouverte, et on peut parler de tout. Assez rapidement, elle m'a dit que non, que j'aille voir ailleurs ne serait pas une option. Idem de son coté d'ailleurs. En un sens, j'ai trouvé ça rassurant.
Ensuite, c'est bien le fait de l'intensité initiale qui est dure à surmonter. On est passé de 100 à 0 en l'espace de quelques semaines. Si, effectivement, depuis le départ, le sexe était pas son fort, à moi de me faire à l'idée. Mais le fait est que la fréquence et l'intensité de nos rapports étaient vraiment au dessus de tout ce que j'avais pu connaître. Loin de moi l'idée de m'étaler, mais pour que tout le monde saisisse bien, très ouverte au niveau des pratiques, pas vraiment de tabou, il n'y a aucun frein visible qui puisse mener à cet arrêt brutal.
Vient alors le facteur stress, évoqué par l'un d'entre vous. En effet, ces temps-ci, le stress est présent. Plusieurs événements de sa vie induisent un stress évident. Cela dit, cela semble être un aspect indissociable de sa vie, le stress. Elle dit s'être toujours sentie en marge, nettement décalée par rapport aux autres, ce qu'elle ne comprenait pas jusqu'à son diagnostique, il y a environ trois ans, qui l'a aidé à se dire "finalement, tout ça, c'est normal et je ne suis pas la seule". Donc le stress oui, mais mais mais... pas sûr puisque celui-ci était déjà là quand nous nous sommes rencontrés.
Quand je lui demande ce qui se passe, sans être alarmant, j'essaie d'être le plus compréhensif possible, elle-même n'en sait rien. Elle avait envie. Elle n'en a plus envie, elle n'en ressent plus le besoin. "Je n'y pense pas" me dit-elle. Cette semaine, elle passe un examen pour obtenir un diplôme. Je sais que les asperger sont très axés sur le focus. Peut-être que lorsque cet examen sera derrière elle, ça se débloquera. J'espère.
Le soucis de fond, et sans doute ce qui m'a décidé à venir vous en parler, c'est qu'avec ses précédents compagnons, deux au total, ça s'est déroulé de la même façon semble-t-il. Avec le premier, intensité pendant deux semaines selon elle ("selon elle" parce que sa notion du temps est, j'ai souvent l'impression, déformée) puis plus rien. Elle indique un manque de manifestation affective de sa part à lui. Le second, lui, était un NA (je ne sais pas pourquoi je précise, mais je me dis que ça peut servir) et sujet à des accès de violence, ce qui peut être tout à fait gênant dans les rapports amoureux en général. Donc, en somme, toujours une bonne explication plutôt cohérente. D'ailleurs, avec moi, elle se disait que, puisque je suis du genre affectueux (pas pot de colle non plus) et non-violent (enfin normal quoi), ça pourrait se passer plus "normalement" puisqu'il n'y avait plus de réel frein.
Et puis les semaines passent, et comme dit dans mon premier message, cette fois-ci, nous atteignons les deux mois d'abstinence, contre six semaines avant notre dernier rapport, celui-ci ayant été plutôt anecdotique, je pense qu'elle s'est "forcée" pour me faire plaisir. Mais, voyez-vous, je suis peut-être trop exigeant, mais j'aspire à autre chose que ça.
Alors je mets la discussion au sommet de mes priorité, d'ailleurs, j'ai lu que celle-ci était la clé dans un couple NT/NA, j'évite les non-dits, j'évite les sous-entendus, pour lui éviter d'avoir à décoder mes propos.
Désolé si j'en froisse quelques-uns en mettant toujours sur le tapis le rapport NT/NA, mais vous vous doutez bien que si je suis là, c'est que j'ai estimé que tout cela était probablement dû à notre "différence". Je sais qu'il existe sur le web du bon et du moins bon. D'ailleurs si au passage quelqu'un veut me donner de bonnes adresses, je suis tout ouïe.
Voilà pour aujourd'hui, merci encore pour vos interventions, j'apprécie énormément, et ça fait plaisir de pouvoir enfin en parler. J'attends vos réactions.
D'abord, merci à tous pour vos interventions, je pensais pas avoir autant de réponses, ça fait plaisir =)
Pour éclaircir le tout premier point abordé, pour moi, il n'est pas envisageable d'aller voir ailleurs simplement pour satisfaire ce besoin. Mais, parce que je suis taquin, je lui ai posé la question, juste pour voir, pour faire évoluer le sujet. Elle est très ouverte, et on peut parler de tout. Assez rapidement, elle m'a dit que non, que j'aille voir ailleurs ne serait pas une option. Idem de son coté d'ailleurs. En un sens, j'ai trouvé ça rassurant.
Ensuite, c'est bien le fait de l'intensité initiale qui est dure à surmonter. On est passé de 100 à 0 en l'espace de quelques semaines. Si, effectivement, depuis le départ, le sexe était pas son fort, à moi de me faire à l'idée. Mais le fait est que la fréquence et l'intensité de nos rapports étaient vraiment au dessus de tout ce que j'avais pu connaître. Loin de moi l'idée de m'étaler, mais pour que tout le monde saisisse bien, très ouverte au niveau des pratiques, pas vraiment de tabou, il n'y a aucun frein visible qui puisse mener à cet arrêt brutal.
Vient alors le facteur stress, évoqué par l'un d'entre vous. En effet, ces temps-ci, le stress est présent. Plusieurs événements de sa vie induisent un stress évident. Cela dit, cela semble être un aspect indissociable de sa vie, le stress. Elle dit s'être toujours sentie en marge, nettement décalée par rapport aux autres, ce qu'elle ne comprenait pas jusqu'à son diagnostique, il y a environ trois ans, qui l'a aidé à se dire "finalement, tout ça, c'est normal et je ne suis pas la seule". Donc le stress oui, mais mais mais... pas sûr puisque celui-ci était déjà là quand nous nous sommes rencontrés.
Quand je lui demande ce qui se passe, sans être alarmant, j'essaie d'être le plus compréhensif possible, elle-même n'en sait rien. Elle avait envie. Elle n'en a plus envie, elle n'en ressent plus le besoin. "Je n'y pense pas" me dit-elle. Cette semaine, elle passe un examen pour obtenir un diplôme. Je sais que les asperger sont très axés sur le focus. Peut-être que lorsque cet examen sera derrière elle, ça se débloquera. J'espère.
Le soucis de fond, et sans doute ce qui m'a décidé à venir vous en parler, c'est qu'avec ses précédents compagnons, deux au total, ça s'est déroulé de la même façon semble-t-il. Avec le premier, intensité pendant deux semaines selon elle ("selon elle" parce que sa notion du temps est, j'ai souvent l'impression, déformée) puis plus rien. Elle indique un manque de manifestation affective de sa part à lui. Le second, lui, était un NA (je ne sais pas pourquoi je précise, mais je me dis que ça peut servir) et sujet à des accès de violence, ce qui peut être tout à fait gênant dans les rapports amoureux en général. Donc, en somme, toujours une bonne explication plutôt cohérente. D'ailleurs, avec moi, elle se disait que, puisque je suis du genre affectueux (pas pot de colle non plus) et non-violent (enfin normal quoi), ça pourrait se passer plus "normalement" puisqu'il n'y avait plus de réel frein.
Et puis les semaines passent, et comme dit dans mon premier message, cette fois-ci, nous atteignons les deux mois d'abstinence, contre six semaines avant notre dernier rapport, celui-ci ayant été plutôt anecdotique, je pense qu'elle s'est "forcée" pour me faire plaisir. Mais, voyez-vous, je suis peut-être trop exigeant, mais j'aspire à autre chose que ça.
Alors je mets la discussion au sommet de mes priorité, d'ailleurs, j'ai lu que celle-ci était la clé dans un couple NT/NA, j'évite les non-dits, j'évite les sous-entendus, pour lui éviter d'avoir à décoder mes propos.
Désolé si j'en froisse quelques-uns en mettant toujours sur le tapis le rapport NT/NA, mais vous vous doutez bien que si je suis là, c'est que j'ai estimé que tout cela était probablement dû à notre "différence". Je sais qu'il existe sur le web du bon et du moins bon. D'ailleurs si au passage quelqu'un veut me donner de bonnes adresses, je suis tout ouïe.
Voilà pour aujourd'hui, merci encore pour vos interventions, j'apprécie énormément, et ça fait plaisir de pouvoir enfin en parler. J'attends vos réactions.