

1981, on a le même âge ton fils et moi!!maho a écrit :Ah oui moi aussi!!! Mais ca date de l'année de naissance de mon fils
Je fais pareil en portant tout le temps les mêmes habits.belzebuth23 a écrit :Je sais que me proches ou amis ne comprennent pas pourquoi je ne fais aucun effort. Ils me voient tout le temps mal habillée et pensent peut-être que je me néglige...Pourtant non, mais je n'aime vraiment pas...
C'est toi ou bien le climat auvergnat?bernard a écrit :Quand on change de saison, je change de type de vêtements (j'ai 2 saisons: hiver et printemps-été-automne).
Code : Tout sélectionner
. Tant de tissus me rende folle
Oui c'est a peu prés pareil...peut etre nos originesDonc à l'age de cinquate je suis toujours en jean, veste de motard ( ou quelque chose un peu pres) et mes bottes/Docs etc.
J'ai du mal à imaginer Bernard en bermuda au boulot en été. Cela ne devrait pas durer tout l'été, hélas !Vic a écrit :bernard a dit : "Quand on change de saison, je change de type de vêtements (j'ai 2 saisons: hiver et printemps-été-automne)"
=============
un peu comme moi, ça donne à peu près :
Automne-Hiver : Octobre à Avril : pantalon + pull a col roulé
Printemps-Été : Mai à Septembre : bermuda + tee-shirt (ou polo ou debardeur)
et chaussures sans lacets
Est-ce que la remarque de tes collègues n'est pas une blague ? Sous-entendu : "ah, ton seul changement de costume annuel est bien le même costume que les années précédentes !". Est-ce une litote, un euphémisme ou une antiphrase ? Je suis perplexe.Bernard a écrit :Ce qui provoque des remarques chez mes collègues avec des petites phrases pour marquer mon changement d'apparence. Même si c'est un costume de l'an dernier, j'ai des remarques du type : "tiens un nouveau costume?" et moi qui répond "non c'est un vieux costume que je porte depuis 3 ans déjà".
pareil pour moi et trouver un pull en coton ou au mon couper coton,ben c'est très dureLes pulls synthétiques, je n'aime pas, car ça échauffe fort mais ne procure pas de chaleur efficace, et on transpire là-dedans (et ça pue la sueur, ces machins-là).