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Mon beau-père nous a fait acheter il y a un mois un merlin (ainsi qu'un coin et une massette), et a montré à SourisGrognon comment fendre les bûches. Or, comme l'indique son pseudonyme, monsieur Souris n'a pas les muscles adaptés... il y a deux semaines et demi, il a passé une heure et demi à fendre des bûches avec ledit merlin, mais il a eu beaucoup de mal et des courbatures importantes par la suite, sans compter qu'utiliser ce merlin lui fait peur (et le problème de la massette et du coin étant que ça ne marche pas bien sur toutes les bûches). Je serais encore moins apte pour ma part à utiliser ce merlin (ça me fait peur aussi d'ailleurs), donc, on cherche d'autres options...Spoiler :
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Celles du haut et du bas me conviennent en effet au niveau de la taille, c'est davantage celles du milieu qui commencent à être trop grosses en diamètre (il faudra que je fasse une photo de celles qui sont vraiment très grosses).
Merci beaucoup également pour ton témoignage sur le fendage, je vais montrer ça à la Souris, notamment tes bons conseils pour le merlin (la fendeuse de chez AMR est impressionnante, mais pas du tout adaptée pour notre petit usage en effet ).Spoiler :
Plus les bûches sont fines, plus la surface exposée à l'oxygène (l'air) est importante, plus la combustion est vive, mais aussi, plus elle est courte. Normalement, si on compare la combustion d'une masse égale de petites bûches et de grosses bûches, le bilan énergétique global devrait être sensiblement égal (dans un poêle bien chaud, je ne parle pas du démarrage).Curiouser a écrit : ↑mardi 24 janvier 2023 à 20:07 Les grosses bûches brûlent bien, mais j'ai remarqué de façon empirique que ces dernières ne permettaient pas d'avoir des flammes aussi vives que les bûches plus fines, et que, du coup, la montée en température du Tulikivi (la surface en stéatite chauffe de bas en haut, pour ensuite restituer la chaleur) se fait moins rapidement et de façon plus poussive - donc, in fine, je dois ajouter davantage de bois pour permettre au Tulikivi d'emmagasiner la chaleur -.
Il y a des appareils de ce genre.Curiouser a écrit : ↑mardi 24 janvier 2023 à 20:07 Pour le taux d'humidité, je ne saurais dire, mais j'imagine que s'il était vraiment trop humide, on aurait des soucis pour démarrer le feu et faire brûler le bois, or, ce n'est pas le cas... Y-a-t-il un moyen de tester le taux d'humidité du bois, cependant ?
Oui, c'est logique.Tugdual a écrit : ↑mardi 24 janvier 2023 à 20:21 Plus les bûches sont fines, plus la surface exposée à l'oxygène (l'air) est importante, plus la combustion est vive, mais aussi, plus elle est courte. Normalement, si on compare la combustion d'une masse égale de petites bûches et de grosses bûches, le bilan énergétique global devrait être sensiblement égal (dans un poêle bien chaud, je ne parle pas du démarrage).
En fait, pour que la double combustion fonctionne, il faut avant tout que le foyer, et en particulier le haut du foyer (là où se trouvent les injecteurs de l'air secondaire) soit à très haute température, condition indispensable pour que les gaz qui s'échappent du bois (quand il monte en température en brûlant) puissent s'enflammer.
Je ne sais pas pourquoi, j'étais persuadé que vous aviez un gros poêle de masse, genre 2.5 tonnes.Curiouser a écrit : ↑jeudi 26 janvier 2023 à 15:23 [...] (c'est un semi-poêle de masse qui a un foyer de 33,6 cm de large - c'est plus exactement ce modèle-ci, d'1 mètre 90 de haut), [...]
Je comprends, mieux vaut oublier le top-down...Curiouser a écrit : ↑jeudi 26 janvier 2023 à 15:23 Ce qui fait que, pour le top-down, ça n'est pas... top (en étant mises de biais pour certaines, ça ne fait pas un édifice très stable et j'ai galéré à bien faire partir le feu. En revanche, après, ça a bien brûlé, mais les débuts ont tout de même été fort fastidieux).