Quelle est votre relation au travail?

Pour les gens qui ont simplement envie de discuter sans souhaiter faire passer d'information particulière.
nouvo
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Re: Quelle est votre relation au travail?

Message par nouvo »

seul a écrit :
Manichéenne a écrit :
seul a écrit :Ca doit être dur . Mais félicite toi d'avoir un travail , on en est pas tous capables .
Oui, et soit content de manger à ta fin tous les jours, ce n'est pas le cas de tout le monde. Et de pouvoir te chauffer. Et de pouvoir marcher. Et de ne pas être en institution. Et de ne pas être dans un pays en guerre.
Juste pour dire que je déteste cette habitude de toujours dire aux gens de ne pas se plaindre, d'être contents parce qu'il y a toujours pire que soi.
Ne comparons pas les handicaps, les difficultés et les souffrances.
Ha j'ai dit félicite toi , j'ai pas dit qu'il devait forcément être heureux . Moi aussi j'apprécie pas forcément quand les gens disent " ça aurait pu être pire " . Désolé que mon message n'ai pas été apprécié .
Ça fait aussi la personne de l'extérieur qui apporte un jugement sur un état, sur une situation sans que quiconque ne l'y ait invité.

Le sujet du fil concerne des questions relatives au travail et discussions éventuelles liées, assez peu aux commentaires des uns des autres sur les uns ou les autres.

Tu remarqueras être le seul à agir de la sorte, et sans rien apporter concernant le sujet / le fil de discussion, ce qui est quand-même la base..

Après, selon " Mais félicite toi d'avoir un travail , on en est pas tous capables " tu souhaites (et si cette expression te concerne ?? si tu es inclus dans le "on") développer il peut dans ce cas sans doute être aussi instructif pour chacun, selon nos différences, difficultés, etc.
diagnostiqué asperger en 2015, à 38 ans
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Nouvelle
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Re: Quelle est votre relation au travail?

Message par Nouvelle »

Aux dernières nouvelles, il y a :

- Pandémie psychiatrique dans le milieu du "travail" - cad que de plus en plus de personnes développent des troubles mentaux grâce ou à cause du travail - ça je ne saurais pas préciser

- Le stress au travail coûte plus de 5,2 milliards à la collectivité - cad yc ceux et celles qui ne travaillent pas

- Ceux qui sortent d'un burn out et ont la chance d'être ré-embaucher dans leur précédent lieu de torture (travail = tripalium = engin de torture) sont victimes de la jalousie de leurs (chers) collègues qui n'ont pas été burnouté. Pourquoi ? Parce que les rescapés du burnout osent dire ce qu'ils pensent :roll:

Ca fait pas envie de toutes façons. Moi je me suis toujours extrêmement ennuyée au travail - j'ai toujours trouvé ces lieux dénués d'intérêts, je n'ai jamais su comment y faire pour bien faire - j'ai donc opté pour l'obéissance - mais ça ne convient pas. Il faut savoir des choses pour travailler qui sont plus que de savoir travailler justement.

J'aimerai qu'il y ait l'élaboration de possibilités de travailler à la maison. Il y aurait moins de risques de désastres psychosociaux.
meili
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Re: Quelle est votre relation au travail?

Message par meili »

Je suppose qu'être son propre patron permet de résoudre ces problèmes...mais ça entraîne d'autres complications malheureusement...
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Bubu
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Re: Quelle est votre relation au travail?

Message par Bubu »

Oh, rassurez-vous, ma relation au travail est purement anale !
TSA, diagnostic établi à mes 33 ans par le CRA de ma région.
"Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
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Liya
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Re: Quelle est votre relation au travail?

Message par Liya »

:lol: :lol: :lol:
"Neuro-atypique en attente de définition"
Dyspraxique - QI très hétérogène - Diag SA en libéral (à approfondir / confirmer)
Ma présentation ici
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calande
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Re: Quelle est votre relation au travail?

Message par calande »

Tu peux développer, Bubu ? :lol:
J'ai pensé à un métier, mais ça m'étonnerait que ce soit ce que t'as voulu dire :yawn:
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Benoit
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Re: Quelle est votre relation au travail?

Message par Benoit »

J'ai pris ça comme une autre façon de dire "mon travail me fait chier."
Identifié Aspie (広島, 08/10/31) Diagnostiqué (CRA MP 2009/12/18)

話したい誰かがいるってしあわせだ

Être Aspie, c'est soit une mauvaise herbe à éradiquer, soit une plante médicinale à qui il faut permettre de fleurir et essaimer.
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freeshost
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Re: Quelle est votre relation au travail?

Message par freeshost »

La réunion, ce poison lent en entreprise
De plus en plus chronophages, multiples, stériles, les réunions seraient-elles la nouvelle maladie de l’entreprise? Une majorité de cadres s’en plaignent, tandis que les managers efficaces en revoient le fonctionnement. Il était temps…

Pendant six ans, Philippe a aimé son poste de cadre dans une multinationale. Et puis son supérieur hiérarchique a été remplacé. Dès le premier jour, son successeur a entassé tout le monde dans la salle de réunion, pour un meeting démarré à 11h et terminé… à 16h. Le chef n’a libéré personne pour le déjeuner, il n’avait sans doute pas faim lui-même, trop occupé à soliloquer sur son parcours, sa vision de la boîte, et ses séries télé favorites. Au bout de son monologue, il n’avait retenu aucun prénom, ni pris une seule décision. Le lendemain, rebelote. Philippe a démissionné après une semaine.

«J’ai toujours pensé que la façon dont quelqu’un orchestre ses réunions dit tout de son management, raconte-t-il. Moi, j’organise les miennes juste avant le déjeuner: les gens ont faim, ils vont vite… Alors quand un patron mobilise tout l’étage pour raconter sa vie chaque jour, on peut être sûr que tout le monde va souffrir…»

Seize ans à discuter

On évoque souvent la nuisance des bullshit jobs, ces «boulots à la con» saturés de tâches vides et vaines, mais leur pouvoir de nuisance dépend largement du nombre de réunions inutiles à endurer. Ces bullshit meetings deviennent même le supplice du salarié moderne puisque, selon un sondage OpinionWay, seules 52% des réunions sont considérées comme productives, tandis que 26% des sondés estiment leur présence inutile.

Les salariés passent en moyenne trois semaines par an en réunion, un temps qui double pour les cadres. A la fin d’une carrière, cela peut faire 16 années entières de réunions professionnelles… Pour quelle efficacité? s’interroge Nadia Droz, psychologue et spécialiste du burn out à Lausanne, qui entend chaque jour la complainte de la «réunionnite»: «La plupart de mes patients se disent pris en otage dans des réunions sans objectif ni contenu clair, avec les mêmes deux ou trois personnes qui brassent de l’air. Je compare leur nuisance à l’e-mail du patron envoyé à 23h, qui fera s’agiter tout le monde, pendant deux semaines, explique-t-elle. Parce qu’en plus, ces réunions stériles empêchent de faire son travail. J’en connais qui doivent aller travailler à 7h pour avancer, avant l’avalanche de rencontres inutiles.»

La surcharge collaborative

Car la réunionnite sape non seulement le moral des troupes, mais produit aussi un effet délétère sur l’entreprise: la surcharge collaborative, soit l’engourdissement des décisions du fait de la multiplication des avis. Seule une réunion sur quatre aboutit à une prise de décision, estime l’enquête d’OpinionWay. Et pourtant, «les réunions sont nécessaires, surtout si la structure est grande, car il faut des points de contact impliquant un certain nombre de personnes pour avancer», affirme Benjamin Fabre, consultant en management et auteur du Guide indispensable pour survivre dans le monde impitoyable du travail (Ed. Robert Laffont).

«Mais il existe beaucoup de réunions inutiles: celle organisée par prudence parce qu’il faut impliquer untel pour ne pas le vexer, ou les rencontres intangibles du type comité de pilotage ou team building, qui sont souvent du pur management. On a aussi tendance à surpeupler la salle, quand trois à quatre personnes sont nécessaires. Autre écueil: la durée. Si une réunion de trois heures peut se résumer en trois minutes, c’est qu’on a perdu son temps.»

Bannir PowerPoint

Selon une enquête sur l’attention des salariés, ils décrochent d’ailleurs au bout de 52 minutes. Hélas, l’arrivée de PowerPoint a au moins multiplié ce temps par deux… «PowerPoint peut être un outil percutant si l’on présente cinq slides efficaces, soutient Benjamin Fabre, mais il est complètement dévoyé. Les gens mettent des tartines de textes et d’images, il faut attendre que ce soit fini pour enfin se parler, tout devient plus long.»

Jeff Bezos, PDG d’Amazon, a d’ailleurs banni PowerPoint des réunions dans son entreprise. Au rang des bullshit réunions, le spécialiste cite aussi les brainstormings collectifs destinés à trouver l’idée du siècle. Raté: «Dès qu’on est plus de deux ou trois, il y a une autocensure, car le groupe favorise le conformisme.» Il favorise aussi la paresse sociale, selon le Wall Street Journal, qui milite pour la fin de la réunnionite. «Dans une réunion bondée, les participants ont tendance à se sentir moins responsables et doutent que leurs efforts seront récompensés. Alors ils n’en font pas», affirme Andrew Carton, professeur à l’Université de Wharton, dans les colonnes du quotidien américain.

Meetings éclair

Parfois, même, la réunion peut devenir une forme de maltraitance: «Il arrive qu’elle ne serve qu’à évaluer la progression de chacun, et donc à humilier publiquement tous ceux qui sont à la traîne», note Nadia Droz, qui suggère, pour ne plus endurer tous ces calvaires, «d’essayer de s’imposer, en rappelant qu’on n’est pas utile à tel meeting, ou qu’on a plus urgent à faire, par exemple». Heureusement, les managers agiles, c’est-à-dire tous ceux à l’écoute de leurs ouailles, commencent à abréger cette souffrance. Outre-Atlantique, la mode est ainsi aux stand-up meetings: on échange 15 minutes chrono, debout. Chez Microsoft, on vérifie aussi «le nombre d’autres réunions engendrées par une réunion, car une des pires pertes de temps serait de fixer une réunion qui en crée 15 autres de préparation», raconte Satya Nadella, le grand patron de la firme de Redmond.

Mais à trop optimiser les rencontres de l’entreprise, on y perd peut-être la dernière occasion de somnoler sur son lieu de travail, comme au bon vieux temps où l’on bayait aux corneilles en classe… On perd aussi l’occasion d’avoir un concentré de la comédie humaine, comme s’en amuse Philippe chaque fois qu’il se retrouve autour de la grande table: «C’est très instructif, une réunion. Les places de chacun expriment les mouvements tectoniques de l’entreprise: les râleurs d’un côté, les bons élèves près du patron et, un peu plus loin, les bons élèves malheureux qui sont prêts à tout accepter mais n’en peuvent plus. On peut aussi repérer celui qui cherche à séduire la direction: il prend de la place. Avec le temps, la réunion devient comme un déjeuner de famille. On sait d’avance qui va dire quoi, qui est le tonton aigri, la cousine dépressive, le frère rival. Mais la différence, c’est qu’en famille, on se fait rarement virer pour manque de résultats.»
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.

Diagnostiqué autiste en l'été 2014 :)
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Atalys
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Re: Quelle est votre relation au travail?

Message par Atalys »

Si je devais définir ma relation au travail, je choisirais le statut "c'est compliqué" :lol:

Je ne travaille pas à temps plein en CDI, je ne fais que "passer donner un coup de main" comme disent parfois mes collègues, que je dépanne sur une période plus ou moins longue pour remplacer ceux qui partent en vacances ou pour renforcer l'équipe sur les semaines festives/événementielles (pensez aux employés surmenés quand vous faites vos courses alimentaires de nowel, c'est très dur pour nous...). Je le fais à la fois pour l'expérience, l'argent (je culpabilise de ne pas avoir de revenus réguliers pour contribuer à la santé financière du foyer) et certains collègues dont j'apprécie l'organisation, les méthodes de travail et les directives concises et précises. Si j'ai le malheur de travailler avec des gens qui ne communiquent pas de façon claire et qui sont chaotiques dans leurs méthodes et/ou leur organisation, je trouve un prétexte quand ils refont appel à moi, pour ne plus avoir à les côtoyer (je dépanne sur plusieurs magasins d'une grosse enseigne, je suis un peu un CDD de luxe, car je connais énormément de choses sur son fonctionnement et du coup, je peux accomplir une plus grande diversité de tâches et suis plus rapide et efficace qu'un CDD qu'on doit prendre le temps de former, sans être sûr de le revoir un jour après la fin de son contrat).

Il y a deux fonctions principales, très différentes, qu'on doit alterner à tout moment dans la journée :
- la première consiste à réapprovisionner le magasin. C'est la partie physique qui me plaît, car le contact client est alors peu fréquent et assez bref, le temps d'un renseignement dans une allée du magasin. Du moment qu'on m'informe du changement de place des produits, tout va bien (enfin, ça me contrarie de devoir apprendre de nouveaux emplacements par-dessus les anciens, mais on fait avec...), puisque je retiens facilement. J'aime beaucoup gérer les stocks et les ranger, même si la contrainte de rapidité est très stressante.
- la seconde est mon pire cauchemar, à savoir la caisse. Selon l'affluence et la cadence, mon accueil peut très vite se dégrader, n'ayant pas le temps de me recentrer entre deux clients, surtout si un détail me contrarie. Par exemple, le client qui ne dit ni bonjour ni merci ni au revoir ni merde (avoir un Léodagan me ravirait presque), celui qui dépose directement son panier plutôt que de sortir les produits, quand il ne les pose pas du mauvais côté, celui qui range son panier au mauvais endroit ou qui le pose de travers sur un panier de forme différente (ces gens-là, j'ai la furieuse envie de leur demander de retourner en maternelle pour réapprendre à emboîter les carrés dans les carrés et les ronds dans les ronds), celui qui te jette sa carte bancaire au visage alors que l'appareil dédié se trouve sous son nez. L'aspect le plus pénible, c'est quand je me retrouve toute seule en magasin, assignée à la caisse, sans plus rien d'autre à faire sinon d'attendre les clients, et que mes collègues ont disparu sans que je sache où ils sont, ce qu'ils font, alors que j'ignore quelle sera la suite du programme et que je ne peux donc pas m'y préparer mentalement (certains ont compris que ça me stresse à mort et pensent parfois à m'en informer quand je n'ai pas eu le temps de les interpeller avant leur longue disparition dans les locaux annexes, d'autres n'ont pas cette délicatesse).

Bref, ce genre de travail, ça dépanne financièrement, mais ça m'épuise et ça m'use nerveusement et psychiquement (le bruit ambiant, la musique en continu, le bruit que font les clients et surtout leurs enfants, les néons sont des stimulations extrêmement désagréables et irritantes). En général, il me faut une semaine de repos pour récupérer d'une semaine de travail à 35h. En dehors des grosses périodes de fêtes, je m'arrange pour travailler moins de 25h, à cause des cours, des répétitions et des concerts, car je n'ai pas assez d'énergie pour tout (et c'est une catastrophe pendant les menstruations, mais ça, c'est une autre histoire). Par exemple, il m'est impossible de travailler en magasin en journée et de donner un concert le soir : j'aurais à peine la force de me traîner jusqu'au lieu et de me tenir debout, mais je serais incapable de partager quoi que ce soit avec le public. Ça m'est arrivé une fois, je me sentais tellement mal pour mon groupe et pour le chef qui comptaient sur moi...

Mon rêve serait de parvenir à me faire une place dans le milieu artistique et d'y gagner ma vie. Se pose alors le problème de la socialisation, car il faut être capable de se créer un réseau, de collectionner des relations et de les "faire jouer" (je n'ai toujours pas compris en quoi ça consistait ni comment ça fonctionnait. Si quelqu'un a un mode d'emploi... :lol: ). Je m'exerce sur internet, parfois j'arrive à réseauter un peu en vrai, mais comme j'ai énormément de mal avec les codes sociaux, je ne sais jamais à quel moment faire ou dire telle ou telle chose, qui paraît pourtant évident à mes collègues musiciens, et je passe à côté de plein d'opportunités.
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Bubu
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Re: Quelle est votre relation au travail?

Message par Bubu »

Moi je travaille entre 6h et 10h par jour.
Mais ce n'est pas reconnu.
Mon status ? Je n'en ai pas.
Je touche l'AAH. (merci quand même)

Je suis chez moi, à tapoter, pour faire un jeu pour Android.
Mais ce n'est pas pris en compte.

Mon status ? Je n'en ai pas.
N'étant dans aucune boîte, c'est comme si c'était du divertissement.

:arrow: :arrow: :arrow:
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Atalys
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Re: Quelle est votre relation au travail?

Message par Atalys »

Bubu a écrit :Moi je travaille entre 6h et 10h par jour.
(...)
Je suis chez moi, à tapoter, pour faire un jeu pour Android.
Oh, tu fais quoi comme jeu ? ^^

Tiens, je me rends compte que je n'ai même pas pensé à classer mes jours entiers d'écriture dans la catégorie travail XD (mon autre rêve serait d'éditer ma saga, mais on m'a tellement fait comprendre qu'écrivain n'était pas un métier... :roll: )
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Bubu
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Re: Quelle est votre relation au travail?

Message par Bubu »

Atalys a écrit :
Bubu a écrit :Moi je travaille entre 6h et 10h par jour.
(...)
Je suis chez moi, à tapoter, pour faire un jeu pour Android.
Oh, tu fais quoi comme jeu ? ^^

Tiens, je me rends compte que je n'ai même pas pensé à classer mes jours entiers d'écriture dans la catégorie travail XD (mon autre rêve serait d'éditer ma saga, mais on m'a tellement fait comprendre qu'écrivain n'était pas un métier... :roll: )
J'ai pas envie de m'étaler.
Mais si tu veux voir à quoi il ressemble, demande moi l'apk (set up), à télécharger depuis une plateforme mobile Android. En MP.
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Flower
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Re: Quelle est votre relation au travail?

Message par Flower »

@Atalys: Je peux t'assurer qu'il existe des gens dont écrivain est le métier, et pas seulement Joanne Rowling. ;) En revanche, ceux qui vivent d'écrire de la fiction sont effectivement minoritaires. Mais même de ceux-là, il y en a.
Détectée HQI dans l'enfance, diagnostiquée TSA de type syndrome d'Asperger en juillet 2015.
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Anahata
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Re: Quelle est votre relation au travail?

Message par Anahata »

J'aime savoir qu'il est là, mais j'ai du mal à rester avec lui ;) ( réponse au sujet)
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