Je viens de découvrir que je pouvais le faire également.
Merci Ostara pour cette découverte !
Je viens de découvrir que je pouvais le faire également.
Comme ça vous pourrez vous rafraîchir cette été^^,mon mari n'y arrive pas et un ami a nous non plus,
Ah ! Voilà pourquoi le système sympathique de mon corps est antipathique !
Voici (peut-être) un début de réponse à ton questionnement.
Oui, c'est fort possible, merci pour le doc. Comme j'ai souvent du mal à accéder à mes ressentis, c'est probablement le résultat de cet incapacité. Mais bon, au final la musique avec des vagues visuelles est agréable aussi (synesthésie ou pas, peu importe)
Intéressant,C3PO a écrit : ↑mercredi 17 mai 2023 à 23:17Spoiler :Je me pose la question !Oui, le cerveau semble auto-corriger ce qui manque...
(peut-être est-ce dû en partie à des mécanismes similaires à ceux qui font qu'il remet en place les lettres en désordre d'un texte - quand les première et dernière lettres du mot restent à leur place - ?)
Je n’ai absolument pas pu associer « AVACITNO« à un mot, et replacer les lettres dans l’ordre pour les derniers mots de l’article, à savoir « dervianet puvooir aoppretr dse répnsoes » ne m’est pas immédiatement apparu, notamment le premier mot.
Il me semble que mon cerveau a plutôt été dans l’anticipation en complétant la phrase, comme une sorte de paréidolie peut-être. Je ne sais pas.
Ce texte est différent, pourtant je le trouve bien plus lisible.
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Spoiler :
Merci
Phénomène neurobiologique inné, la synesthésie se manifeste très tôt dans l’enfance. Vue, ouïe, toucher : chez les personnes concernées, les sens s’emmêlent. Les lettres peuvent par exemple être associées à des textures, ou les mots à des saveurs… Que dévoile ce phénomène sur le fonctionnement du cerveau ?
Theo voit le “A” rouge, alors que pour son frère il est vert. Stéphanie partage à travers la danse les formes colorées qui s’imposent à elle à l’écoute de sons et de musiques. Touchant environ 4 % des individus, une centaine de synesthésies sont ainsi recensées. Déjà repérée par les neuroscientifiques, cette faculté est mieux étudiée depuis l’utilisation de l’imagerie cérébrale, qui a permis d’observer un couplage fonctionnel renforcé entre différentes régions du cerveau chez celles et ceux qui partagent cette particularité, dont nombre d’artistes. Passant en revue des découvertes récentes, ce documentaire donne la parole à de nombreux “synesthètes”, qui racontent comment ils perçoivent le monde et la réalité différemment en vivant cette expérience.