Médecine et autisme ?
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Re: Médecine et autisme ?
Moi je suis "presque" certaine que ce n'est pas à des moments d'angoisse, que ces belles déclarations ont lieu, car c'est la +part du tps lorsque nous sommes calmement à la maison, sans cris, sans colère, que l'on fasse quelque chose ou non. C'est toujours en me serrant très fort et avec un beau sourire et un regard profond, juste avant de retourner à ses activités...
Ce qui est sûr, c'est qu'il est capable de dire "j'aime", ou "je n'aime pas" de manière objective, je pense donc qu'au moment où il me dit "je t'aime", il le pense réellement. Mais j'avoue que le fait de n'avoir que de très rares conversations avec lui (il raconte encore très peu ce qu'il a fait, ou ce qu'il aimerait faire...), que l'entendre dire de tels mots me surprend toujours !
Ce qui est sûr, c'est qu'il est capable de dire "j'aime", ou "je n'aime pas" de manière objective, je pense donc qu'au moment où il me dit "je t'aime", il le pense réellement. Mais j'avoue que le fait de n'avoir que de très rares conversations avec lui (il raconte encore très peu ce qu'il a fait, ou ce qu'il aimerait faire...), que l'entendre dire de tels mots me surprend toujours !
Kat, maman d'Estéban (13 ans) Aspie, et Kylian (9 ans) NT
« Seuls les gens courageux, volontaires et décidés arrivent à leur fin.
La persévérance est le premier pas vers la victoire. »
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Re: Médecine et autisme ?
Toutes mes condoléances Sue... d'autant plus qu'il y a eu manifestement un but non validé pour ton équipe.Sur ce, je vais sortir mes drapeaux et mes Docs "Union Jack" pour le match cette aprés midi...nanannanareeuh
Bon allez, ce n'est pas la fin du monde
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Re: Médecine et autisme ?
Bon beh....ca c'est fait!!Sur ce, je vais sortir mes drapeaux et mes Docs "Union Jack" pour le match cette aprés midi...nanannanareeuh
Suzanne, la vieille qui blatere, maman de Loic 29 ans
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Re: Médecine et autisme ?
Merci Mars
On regarde le match ce soir et encore des grosses erreurs d'arbitrage!!
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Re: Médecine et autisme ?
Réponse réjouissante.Kat0672 a écrit :TOUJOURS respecter Estéban avec ses différences (même dans les moments de crises) et essayer de lui expliquer nos différences, afin qu'il puisse un jour à son tour accepter que nous soyons différent de lui.
Apparemment tu as effectivement saisi ce qu'on avait a cœur de faire comprendre (qui se retrouve le mieux exposé dans le résumé de maho je pense).
Petite précision, la différence dont tu parle est suffisante pour que le mécanisme qui consiste a "se mettre à la place de" doivent toujours être mis en doute, et jamais dépasser l'expression de l'autre, mais je pense qu'elle se réduit une fois qu'elle est identifié, par le partage du champs de perception de l'autre.
Une des causes du phénotype élargie, du moins j'en suis persuadé (et c'est le sens de mon dernier message sur la difficulté de trancher une limite).
Vaste sujet. En tout cas c'est pas opposé a l'autisme ça. ça serait plutôt le fait qu'il le dise pour faire plaisir, ou dans une démarche de faire semblant, ou dans le but d'obtenir quelque chose qui serrait vraiment louche relativement a l'autisme.Kat0672 a écrit :Bon, une toute petite chose me déstabilisée encore concernant le ressenti des sentiments chez les autistes, car lorsqu'Estéban me dit "maman, je t'aime", alors que tout va bien, et que je ne demande rien, ni ne lui dis rien de spécial, je n'ai pas l'impression qu'il imite qui que ce soit, ni qu'il le fasse pour me faire plaisir !
Pas de sentiment c'est pas autiste, c'est psychopathe. Comme le disait jean, un serial killer il peut jouer avec les mécanisme de l'empathie pour se "mettre à la place de" pour prévoir mais ne rien éprouver pour autant.
Autiste c'est plutôt le contraire. Il ne peut pas user efficacement de ce mécanisme de se "mettre à la place de", mais il ressent les sentiments ...
Après moi je crois en un mécanisme de déconnexion de ce qui ferrait trop souffrir, notamment en raison de ce problème de communication. C'est là où le respect des choix passablement inconcevable de la personne autiste m'apparait comme une nécessité, d'où mon enthousiasme au début de cette réponse.
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"L'homme qui sait ne parle pas, L'homme qui parle ne sait pas." (Lao Tseu) ... J'arrête pas d'le dire!
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Re: Médecine et autisme ?
J'aurais tendance à penser que c'est justement à un moment où il n'est pas perturbé par les émotions de l'autre (relativement à sa sensibilité) qu'il peut exprimer les siennes.Kat0672 a écrit :Moi je suis "presque" certaine que ce n'est pas à des moments d'angoisse, que ces belles déclarations ont lieu, car c'est la +part du tps lorsque nous sommes calmement à la maison, sans cris, sans colère, que l'on fasse quelque chose ou non. C'est toujours en me serrant très fort et avec un beau sourire et un regard profond, juste avant de retourner à ses activités...
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Re: Médecine et autisme ?
Peut-être pas si c'est sous l'effet de la panique ou de la peur d'être rejeté; il peut envoyer ce qu'il croit que l'autre attend, tout en étant dans le flou, ce qui peut donner de sa part une réponse inappropriée qui accentue encore l'angoisse et qui va donner une réaction forcement inappropriée de l'autre etc, etc, etc.manu a écrit :ça serait plutôt le fait qu'il le dise pour faire plaisir, ou dans une démarche de faire semblant, ou dans le but d'obtenir quelque chose qui serrait vraiment louche relativement a l'autisme.
L'autre n'y étant au départ pour rien, mais le mécanisme va se renforcer tout seul, c'est ce qu'on appelle, je crois, un mécanisme pervers dans lequel les aucun des deux protagoniste n'est pervers.
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Re: Médecine et autisme ?
Oui, mais c'est toujours pas une attitude insensibilité comme le laisse croire a tord l'idée mal dégrossie que "les autiste manque d'empathie".
Je pense que la réflexion là dessus est ouverte par bernard ici.
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Re: Médecine et autisme ?
Je repense au "post" de Kat, et en réfléchissant, les fois où Léo me dit qu'il "m'aime plus que plus", ou qu'il me caresse les cheveux, c'est aussi dans un contexte inhabituel pour les "NT"....(Je veux dire qu'on a pas eu de signes annonciateurs)
Mais quand ça arrive, je prends cela comme un fabuleux cadeau.!
Lorsqu'il était "petit", s'il nous disait qu'il nous aimait, c'était presque toujours pour "obtenir" une faveur ou quelque chose dont il avait envie....
Aujourd'hui, c'est "gratuit", juste qu'il souhaite nous faire plaisir ou bien qu'il souhaite nous dire cela à un instant "T"...Oui, Bernard, ça fait un peu comme une bouffée d'hormones, comme si d'un coup une vague d'émotions arrivait sans que nous (les parents) l'ayons vue venir.!
Mais quand ça arrive, je prends cela comme un fabuleux cadeau.!
Lorsqu'il était "petit", s'il nous disait qu'il nous aimait, c'était presque toujours pour "obtenir" une faveur ou quelque chose dont il avait envie....
Aujourd'hui, c'est "gratuit", juste qu'il souhaite nous faire plaisir ou bien qu'il souhaite nous dire cela à un instant "T"...Oui, Bernard, ça fait un peu comme une bouffée d'hormones, comme si d'un coup une vague d'émotions arrivait sans que nous (les parents) l'ayons vue venir.!
Murielle,
Maman de Pauline 21 ans,Léo (asperger) 17 ans et demi .
Savoir profiter du moment présent ,
Savoir vivre pleinement chaque instant et ne pas uniquement penser aux jours à venir, voilà un défi à relever maintenant.
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Re: Médecine et autisme ?
Rhooo punaise, ça a causé par ici, depuis jeudi!
Je crois que Mars a pile mis le doigt sur l'origine du malentendu:
C'est à mes yeux la source d'incompréhensions entre "NT" et "aspies": discours & perceptions d'abord émotionnels d'un côté; logiques et factuels, de l'autre.
Alors forcément, dans une situation débordante de souffrance et d'émotions, comme c'est visiblement le cas de Jonquille, il y a potentiellement de l'incompréhension +++++ et il devient alors quasiment impossible de se comprendre ou de parler de la même chose, entre quelqu'un qui analyse et quelqu'un qui souffre.
Je suis d'accord aussi au sujet des précisions de Manu concernant l'empathie: ressentir les émotions des autres ou me mettre à leur place, je n'ai fichtrement aucune idée de ce que c'est. Par contre, je perçois de manière très très aiguë les émotions des autres (peur, colère, joie...), leur état mental/moral (fort ou faible, dépressif, serein...), les humeurs... Mais encore une fois, percevoir n'est point ressentir.
Pour ça aussi que cette distinction entre la souffrance de l'enfant et celle du parent est si évidente pour certains et si impossible pour d'autres.
Pour moi qui vis quotidiennement avec quelqu'un dont la vie est en sursis et qui souffre (en permanence, énormément): 1) j'en suis émotionnellement capable, de faire cette distinction 2) c'est effectivement elle qui me sauve la vie, sinon je me serais effondrée depuis très longtemps!
Pour moi, cette distinction est absolument vitale!
Une pensée pour Jonquille (humour floral involontaire ) qui a déserté le débat mais qui pourra sans doute trouver dans ce post énormément d'éléments de réflexion, à lire à tête reposée.
Je crois que Mars a pile mis le doigt sur l'origine du malentendu:
Oh oui, comme il est difficile, frustrant, source d'incompréhensions, de malentendus et de tellement d'impuissance de part et d'autre, de parler du sens et de la logique des choses, à quelqu'un qui en ressent d'abord l'impact émotionnel, ou vice versa.Mars a écrit :Manu, d'après ce que je crois observer, nous n'appréhendons pas les mots de la même façon. Je pense que les NT y mettent plus de charge émotionnelle, parfois au détriment du sens strict. Cela complique beaucoup les échanges mais c'est intéressant de le savoir à défaut de bien le comprendre.
C'est à mes yeux la source d'incompréhensions entre "NT" et "aspies": discours & perceptions d'abord émotionnels d'un côté; logiques et factuels, de l'autre.
Alors forcément, dans une situation débordante de souffrance et d'émotions, comme c'est visiblement le cas de Jonquille, il y a potentiellement de l'incompréhension +++++ et il devient alors quasiment impossible de se comprendre ou de parler de la même chose, entre quelqu'un qui analyse et quelqu'un qui souffre.
Je suis d'accord aussi au sujet des précisions de Manu concernant l'empathie: ressentir les émotions des autres ou me mettre à leur place, je n'ai fichtrement aucune idée de ce que c'est. Par contre, je perçois de manière très très aiguë les émotions des autres (peur, colère, joie...), leur état mental/moral (fort ou faible, dépressif, serein...), les humeurs... Mais encore une fois, percevoir n'est point ressentir.
Pour ça aussi que cette distinction entre la souffrance de l'enfant et celle du parent est si évidente pour certains et si impossible pour d'autres.
Pour moi qui vis quotidiennement avec quelqu'un dont la vie est en sursis et qui souffre (en permanence, énormément): 1) j'en suis émotionnellement capable, de faire cette distinction 2) c'est effectivement elle qui me sauve la vie, sinon je me serais effondrée depuis très longtemps!
Pour moi, cette distinction est absolument vitale!
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Re: Médecine et autisme ?
Merci beaucoup oméga pour ta pensée. Tu vois, rien que de lire ta dernière phrase, j'en ai les larmes aux yeux.... je me rends compte qu'il y a un gouffre entre mes propres émotions et ce que je peux lire de part et d'autre.
J'ai abandonné le débat, car j'ai bien conscience que mes interventions n'apportent rien. Et quand je lis certains messages où vous ( adultes NAT ) essayer de nous expliquer comment vous ressentez les choses, je ne reconnais pas Mysterio. Mais il n'est pas aspie, et je pense que c'est aussi la raison pour laquelle je ne le reconnais pas dans vos propos, mais aussi la raison pour laquelle vous ne pouvez comprendre son fonctionnement.
Si nous ne parlons pas des mêmes choses, il est évident que nous ne pouvons avoir qu'un dialogue de sourds, chacun restant sur ses positions.
IL y a malgré tout une chose qui me dérange un peu dans tout ça, et bien sûr, ce n'est absolument pas un jugement de ma part : en vous lisant, on a l'impression que tous les NAT fonctionnent de la même façon. Pour moi, c'est aussi irraisonné que si l'on disait que tous les NT fonctionnaient de la même façon. Heureusement que ce n'est pas le cas !
Ceci dit, je préfère me retirer de la conversation plutôt que de continuer à prendre le risque que mes propos soient mal interprétés...
J'ai abandonné le débat, car j'ai bien conscience que mes interventions n'apportent rien. Et quand je lis certains messages où vous ( adultes NAT ) essayer de nous expliquer comment vous ressentez les choses, je ne reconnais pas Mysterio. Mais il n'est pas aspie, et je pense que c'est aussi la raison pour laquelle je ne le reconnais pas dans vos propos, mais aussi la raison pour laquelle vous ne pouvez comprendre son fonctionnement.
Si nous ne parlons pas des mêmes choses, il est évident que nous ne pouvons avoir qu'un dialogue de sourds, chacun restant sur ses positions.
IL y a malgré tout une chose qui me dérange un peu dans tout ça, et bien sûr, ce n'est absolument pas un jugement de ma part : en vous lisant, on a l'impression que tous les NAT fonctionnent de la même façon. Pour moi, c'est aussi irraisonné que si l'on disait que tous les NT fonctionnaient de la même façon. Heureusement que ce n'est pas le cas !
Ceci dit, je préfère me retirer de la conversation plutôt que de continuer à prendre le risque que mes propos soient mal interprétés...
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Re: Médecine et autisme ?
Si, c'est le cas ... et pas le cas. On a certainement des choses en commun, et autant d'autres qui nous sont personnelles.Jonquille57 a écrit :IL y a malgré tout une chose qui me dérange un peu dans tout ça, et bien sûr, ce n'est absolument pas un jugement de ma part : en vous lisant, on a l'impression que tous les NAT fonctionnent de la même façon. Pour moi, c'est aussi irraisonné que si l'on disait que tous les NT fonctionnaient de la même façon. Heureusement que ce n'est pas le cas !
J'ai aussi la même impression que tous les NT fonctionnent de la même façon, bien que chacun soit unique.
Mysterio et toi avez dû vivre des épreuves franchement dures, j'imagine qu'il faut déjà du temps rien que pour encaisser et évacuer le trop-plein d'émotions, avant que d'être capable d'y revenir pour analyser & rebondir.
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Re: Médecine et autisme ?
J'ai pas tout lu Jean, trop long et un peu compliquez , peut tu me m'expliquer le post ?Jean a écrit :***[modéré le 2/7]Mars a écrit : C'est juste que tu es à peu près la seule maman aspie ou assimilée et que nous ne l'avons pas encore intégré...Quand on entend parler des personnes qui travaillent dans les HP, c'est malheureusement courant. Si les pédopsychiatres et les professionnels s'occupant des enfants évoluent - par la force des choses et la pression des parents - , ce n'est pas du tout le cas de la psychiatrie adulte, qui se contente de bons principes sur la psychose et qui ne préoccupe pas des avancées scientifiques sur le sujet.nicolew a écrit :Dans le reportage TV, j'ai été particulièrement choquée par le fait que Mounir passe la moitié de la journée attaché au lit par les pieds. Il est à l'hôpital depuis plus de 20 ans pour 'psychose infantile depuis l'adolescence'.
Merci
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Re: Médecine et autisme ?
Résumer ce post ? Je crois que partirais en vacances avant
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: Médecine et autisme ?
Alors là, Jean, tu n'y mets pas de la bonne volonté !