Tout cela est en effet difficile à vérifier
Il te faudrait vivre à niveau 0 durant plusieurs mois en t'entraînant régulièrement, réaliser un test de Luc Léger, repartir en altitude durant 3 semaines en t’entraînant, puis redescendre au niveau de la mer et refaire un test Luc Léger.
Cela impliquerais un séjour en France, plus de 3 mois peu probable. J'aurais l'occasion d'y aller, j'espère octobre novembre, en plus refaire de l'aviron (du skiff et de la barque) mais pour la comparaison c'est difficile: il faudrait que je fasse des tests de rapport puissance sur poids mesurables à travers la vitesse ascensionnelle. Mon vélo de La Réunion est plus lourd, avec des pneus qui consomment beaucoup plus pour pouvoir subir les chemins pour mesurer une différence, il faudrait le faire sur la route avec un même vélo de route.
Pour me passer du vélo, le plus fiable pour comparer France-Réunion serait de faire ces tests en montée pédestre sur des chemins en pente.
À la Réunion on appelle ces test le "test témor" (le test "t'es mort"), mais j'ai plus confiance au test sous maximal (faire un nuage de points de cordonnée f(FC)=(fc,perf)
f(FC)=(fc,perf) est en aérobie une équation de droite le virage est le début de la zone annaérobie.
Un indice serait éventuellement de comparer ton temps de récupération (toujours a charge physique égale) après effort, en altitude et au niveau de la mer (en contrôlant ton pouls ainsi que ta fréquence respiratoire par exemple).
Difficile mais possible il me faudrait un cardio et un vario et faire une relation f(FC)=(fc,perf) à plusieurs tranches d'altitude, sachant que je vis à 1200m et me dépense généralement à 1500m (là où je passe mes demi-journées à piocher). Je pourrais en fait le faire si équipé, assez facilement mais en hiver (sinon trop chaud), avec le même vélo en mesurant la vitesse ascensionnelle sur des montées proches de la mer jusqu'à des montées sur le volcan ou l'ouest jusqu'à 2300m.
Pour que ce genre de test soit comparable, le problème est l'accès au lieu du test: il faut cumuler des mesures de lieux différents à des niveau de fatigue équivalente, c'est assez difficile de ne pas être pas plus fatigué presque en haut du volcan après 2000m de dénivelé que en en bas.
Il faudrait faire en plusieurs fois, avec des test en basse altitude fait avec un niveau de fatigue cumulé préalablement équivalente à celle concernant un test fait en haute altitude après juste l'accès..
Le terme "calisthenics" provient du grec ancien kalos (κάλος), qui signifie "beau" (pour souligner le développement harmonieux du corps),
Ça c'est bien, pour le narcissisme et la possibilité d'être pris dans des bras...
Pour le moment, en plus de la résistance du poids du corps, il y a celle de la pioche et des racines, je passe beaucoup de temps à affûter les outils pour le faire dans la précision plutôt que la force brute (et que ça soit pas trop épuisant).
La gymnastique suédoise se réfère aux exercices de gymnastique qui impliquent deux participants ou plus qui s’aident mutuellement à effectuer l’exercice. Ces exercices sont également connus sous le nom d'exercices de partenaire ou d'exercices de poids corporel avec un partenaire. Habituellement, une personne effectue l'exercice et l'autre personne ajoute une résistance. Par exemple, une personne effectuant des squats avec une personne sur le dos.
On faisait ça dans un petit club d'aviron dans les années 2000, c'était AVANT la névrose anti-contact et j'adorais le coté contact de ces portages, je le pratiquais avec un autre rameur, on faisait des séries de 80 demi-flexion à cadence 30 avec son coéquipier sur le dos, ou des pleines flexions à cadence 15. Ce que je rêve qu'on me fasse actuellement et qu'on me refuse systématiquement par peur d'être PD, c'est à dire me prendre par la taille et me porter en serrant fort, était souvent fait en descendant des bateau pour se remettre les lombaires en place. À l'époque, on se portait facilement et ça donnait toutes ces occasions de contact physique tels des câlins forts en fait, ces contact en expérimentant la force donnaient ce lien permettant de mieux se sentir ensemble. Les filles osaient même se mettre en tas collées entre elles. C'était à peine une plaisanterie quand il était conseillé par un entraîneur de "faire couple avec son coéquipier, de l'aimer et dormir avec" pour être effectivement comme un une fois en double (en deux de couple ou deux de pointe, une rame chacun étant possible on n'est pas forcément en couple... il n'y a que quand on est seul sur son skiff qu'on est obligatoirement en couple, sinon on tournerait en rond. Quand on ne rame pas dans la vie c'est souvent l'inverse, c'est dans la vie de couple que ça tourne en rond, et tout seul ça n'avance pas plus et alors on se dit qu'on galère)
Vers 2010 rien que de toucher les fesses d'une fille pour la remettre droite sur sa coulisse a fait virer le président du club pour acte de pédophilie, plus personne ne se touche, le moindre portage en sortie de bateau expose à de la mouquate sexiste et c'est tout de suite "la honte", le matériel sophistiqué remplace tous ces exercices qu'on faisait en se portant ou en s'appuyant contre un autre. Dans le domaine de la barque, plus rustique, la peur du contact est venue plus tard que dans l'aviron, le contact est resté possible jusqu'en 2010.
J'ai vu que dans les pays pauvres, les pays de l'est, c'est resté encore possible il est encore osé de se porter pour à la fois se faire du bien, se renforcer, et se muscler, pour la lutte ou la musculation. Dans les pays riches et occidentaux, on ne se touche plus. La cerise sur le gâteau fut le covid: on ne s'approche plus...