
Je crois que j'en ai trop entendu, trop et par tout le monde, même dans le corps médical (son psychiatre qui lui dit: "si ça va pas faut changer de boulot"=> euréka, quoi!!!)
Donc pardon mais oui ça me fait bondir

je crois que je suis comme toi. J'y arrive plutôt bien mais je mets le temps et je fonctionne par élimination pour chaque réponse possible...Flower a écrit :J'ai passé ce test dans le cadre de mon bilan, oui. J'ai eu un score dans la moyenne (24) certes, mais j'ai pris 3-5 minutes par visage, donc ce n'est absolument d'aucune utilité dans la vie réelle, comme l'a d'ailleurs noté le médecin. Et sans les réponses, je n'aurais rien trouvé du tout.![]()
Arriver à reconnaître une émotion grâce à un processus de réflexion conscient n'empêche pas d'être aspie. Mais pour vraiment le savoir, il n'y a qu'une chose effectivement, aller voir un professionnel.
je vois tout à fait ce dont tu parles. Comme je ne sais pas trop comment réagir non plus, j'adopte la technique du demi-sourire: je fais le début d'un sourire mais pas trop non plus (je n'y arrive pas sur commande alors c'est le maximum que je puisse faire).calande a écrit :Oui, je suis habitué à voir ce genre de comportement mais je ne saurais pas faire non plus !
Autre chose qui me met mal à l'aise: quelqu'un me croise et me fait un sourire, je ne comprends pas pourquoi cette personne me fait un sourire, la circonstance ne le justifie pas. Sur le coup, je ne rends pas le sourire, je reste tel quel (car je ne suis pas spontané), puis j'ai l'impression que la personne est surprise car elle attend un sourire en retour de ma part et qui ne vient pas. Son sourire retombe soudainement et j'ai l'impression que ce qui suit c'est comme un malaise, un froid...J'ai déjà essayé de faire un sourire comme ça, pour quand on croise quelqu'un dans un couloir, mais j'ai l'impression que ça sonne tellement faux...Le sourire forcé c'est vraiment pas mon truc
Oui je vois exactement de quoi tu parles et je ne sais pas du tout comment le gérer.Athéna a écrit :Est-ce que vous voyez ce dont je parle et comment gérez vous ça ?
C'est de l'hypocrisie. Cependant, si c'est son supérieur hiérarchique, il est difficile de le fusiller du regard.Athéna a écrit :Exemple: une personne est très énervée contre une autre, mais quand celle-ci arrive, elle lui fait un grand sourire ! je n'arrive pas à comprendre cela et ça me dérange beaucoup !
ben moi si je suis énervée après quelqu'un, même si c'est mon patron, je lui fais pas de grands sourires ! Mais j'ai du mal avec l'autorité en général, je n'adopte pas un comportement bien différent avec un supérieur hiérarchique...Aby a écrit :C'est de l'hypocrisie. Cependant, si c'est son supérieur hiérarchique, il est difficile de le fusiller du regard.Athéna a écrit :Exemple: une personne est très énervée contre une autre, mais quand celle-ci arrive, elle lui fait un grand sourire ! je n'arrive pas à comprendre cela et ça me dérange beaucoup !
C'est aussi un sacré problème pour moi en entreprise...Je traite mes supérieurs comme les simples exécutants exactement de la même manière, et ça passe mal...Athéna a écrit :ben moi si je suis énervée après quelqu'un, même si c'est mon patron, je lui fais pas de grands sourires ! Mais j'ai du mal avec l'autorité en général, je n'adopte pas un comportement bien différent avec un supérieur hiérarchique...
Même chose pour moi. Avec les chefs, ça n'a jamais collé.calande a écrit :C'est aussi un sacré problème pour moi en entreprise...Je traite mes supérieurs comme les simples exécutants exactement de la même manière, et ça passe mal...Athéna a écrit :ben moi si je suis énervée après quelqu'un, même si c'est mon patron, je lui fais pas de grands sourires ! Mais j'ai du mal avec l'autorité en général, je n'adopte pas un comportement bien différent avec un supérieur hiérarchique...![]()
Je ne fais pas de sourires forcés non plus. Je peux faire un sourire à un chef si ça se justifie, ou bien lui faire la tête.
Très justemisty a écrit :Je pense que le souci, c'est quand on ne comprend pas la finalité du truc, ou quand la personne/autorité à laquelle on devrait se soumettre ne nous paraît pas légitime.
Je renvoies aux messages plus haut quant à la nécessité de consulter un professionnel pour avoir un regard clair, et ne pas partir dans des interprétations ou des recherches trop poussés où on a du mal à interpréter des choses pour lesquelles on n'est pas formé (mais je pense qu'on passe tous par làLOUNA a écrit :J'ai trouvé le test intéressant et obtenu un score de 29, ce qui est très conforme à la moyenne. Toutefois, j'ai beaucoup hésité sur certaines réponses et je pense que le choix multiple influence grandement la réponse. Dans la vraie vie, je commence à m'exercer à la reconnaissance des émotions et ce que je lis est en fait assez limité : content, triste, soucieux, concentré et quelques autres.
D'ailleurs mes propres émotions se limitent à : contente, pas contente, stressée, angoissée.
Que pensez-vous de ce test ? En connaissez-vous d'autres plus sérieux ou plus appropriés pour déceler un éventuel autisme ? Selon l'état de vos connaissances, le défaut des décodages des émotions est-il une caractéristique incontournable du SA ?
Merci pour vos réponses..