Pour revenir au sujet du départ, l'hygiène et la sexualité ont des liens entre elles. J'ai cité les week-end mais ce sont les vacances qui me semblent problématiques. Ne pas se laver durant deux jours, OK c'est pas top mais ça ne joue pas sur la santé. Pendant une semaine voire deux ou trois, là ça commence à être problématique.Christian a écrit :Idem pour moi, et pas de parade... Mes proches supportent comme ils peuventcalande a écrit :Avez-vous trouvé une parade ? J'ai aussi ce problème-là de négliger cet aspect le week-end, mais j'ai l'impression que c'est lié à la décompensation du week-end et à la grosse fatigue associée...-Nora- a écrit :
J'ai beau être adulte, non déficiente mentale, vivre seule etc ... mais ouais, j'ai quand même du mal avec ça.
La sexualité sans hygiène ben c'est risqué, pour soi et pour le(la) partenaire éventuel(le).
C'est à ce titre que j'ai évoqué l'hygiène parce que des personnes asperger que j'ai observées ont des soucis avec ce champ là du quotidien.
Même si par ailleurs elles n'ont aucune déficience et qu'elles peuvent se révéler obsessionnelles sur certains points (se laver les mains quinze fois par jour, ne pas toucher la rampe par peur des microbes et garder les mêmes chaussettes pendant quinze jours par exemple). Du coup les maladies sexuellement transmissibles, les infections gynéco ... ça arrive plus sur un organisme qui a une hygiène chaotique.
La difficulté est de trouver des repères claires pour la personne quand les structures de son quotidien ne lui en donnent plus. On peut bien calquer tous les emplois du temps qu'on veut, si ça ne fait pas sens ben ça ne sert à rien. Du coup, je rejoins had, c'est là que l'accompagnement est nécessaire et si les accompagnants ne sont pas formés ben ça ne sert à rien.
Je la vois là l'utilité de cette conférence .
Je suis pas sûre d'être très claire .