oui il est asperger HQI. il a dix ans aussi.
Mais je ne comprend pas en quoi tu pense qu'il ne l'ai pas? par ce que j'ai dis qu'il voulait se sociabiliser en s'amusant avec les autres au sport?
Petit questionnement sur deux façons de penser.
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Re: Petit questionnement sur deux façons de penser.
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Re: Petit questionnement sur deux façons de penser.
Philippe100, c'est bizarre de remettre en cause un diagnostic juste en lisant quelques lignes...
Finalement, ici c'est moi qui suis un peu paumée...
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Re: Petit questionnement sur deux façons de penser.
crilo : surtout pas ! Philippe a une façon bien à lui de voir les choses, en général, bien loin de l'opinion de la majorité ci présente. Ne t'en préoccupe pas... (excuse moi Philippe mais à la longue, voilà quoi. t'arrives, tu balances ton venin, et tu te casses. Tu m'étonnes que tu galères après niveau blondes.. )
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Je ne suis pas très typique, sans avoir pourtant creusé la question d'une façon ou d'une autre.
Je ne suis pas très typique, sans avoir pourtant creusé la question d'une façon ou d'une autre.
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Re: Petit questionnement sur deux façons de penser.
je suis tout de même capable de reconnaître ces choses malgré mon diagnostic .1. il ne reconnait pas ses propres émotions
2. une fois qu'il est en crise c'est trop tard. il faut réussir a identifier les facteurs déclencheur avant.
3. lorsque ca va pas il ne va pas le dire par ce qu'il ne le sais pas lui même.
disons le léger dans mon cas . sur le tard a 27 ans . cela a peux-être été affecté ma façon
d'être élevé .
cela ma surpris beaucoup de lire ça . de lire sur ce forum de garder tout le monde asperger dans le même groupe avec ce genre de degré de différence . pour moi j'ai de la misère avec ça . je ne fais qu'exprimer mon opinion .
philippe diagnostiqué syndrome asperger .
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Re: Petit questionnement sur deux façons de penser.
tu fais bien de préciser. je n'avais pas tout saisi de ton message, mais je comprend mieux, tu es canadien et tu ne parle pas le même français que moi. désolé j'aurai du faire plus gaffe.philippe1100 a écrit :je suis tout de même capable de reconnaître ces choses malgré mon diagnostic .1. il ne reconnait pas ses propres émotions
2. une fois qu'il est en crise c'est trop tard. il faut réussir a identifier les facteurs déclencheur avant.
3. lorsque ca va pas il ne va pas le dire par ce qu'il ne le sais pas lui même.
disons le léger dans mon cas . sur le tard a 27 ans . cela a peux-être été affecté ma façon
d'être élevé .
cela ma surpris beaucoup de lire ça . de lire sur ce forum de garder tout le monde asperger dans le même groupe avec ce genre de degré de différence . pour moi j'ai de la misère avec ça . je ne fais qu'exprimer mon opinion .
En fait je me suis posé la même question. mais j'ai l'impression que ce que tu dis n'est pas possible dans l’état actuel des avancées scientifiques. l'autisme étant un spectre, dont les couleurs sont toute emmêlées, les diagnostiques ne sont pas suffisamment performant pour séparer chaque catégorie toute seule. un autre obstacle est le fait que les "symptômes" sont très varié et dispatché un peu partout, difficile de faire le trie vu la complexité de la nature humaine.
mon fils est encore jeune. son handicap est plutôt lourd. au point qu'il prend un sourire pour une grimace. il n'apprend pas vite c'est vrai. Mais je ne saurais pas te dire si cela est du a l'éducation qu'il reçoit. Si je la compare a l'éducation que moi j'ai reçu, ( très dure) je me dis que l'instinct de survit a fait que j'ai retenue plus vite les leçons. c'est peut être aussi ton cas, je ne peux pas être catégorique a 100% a ce sujet. d'autant plus que je ne sais même pas si notre degrés d'autisme est comparable.
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Re: Petit questionnement sur deux façons de penser.
Chawacee, quand je dis à philippe100, "c'est bizarre", c'est parce que c'est super direct comme réaction, et puis pour moi réaction ressentie comme agressive, mais apparemment pas pour Tempus Fugit, c'est aussi pour ça que je suis paumée !
Après le coté lourd ou léger de l'autisme, c'est compliqué... la classification aussi. Mon fils n'est pas asperger (le haut du continuum), et pourtant il est considéré comme léger. Quand on fait des recherches sur Internet sur l'autisme atypique (classification de mon fils), il est précisé qu'une déficience mentale y'est pratiquement toujours associée. Mon fils, coté intelligence, est dans la moyenne haute. Donc, ça ne correspond pas vraiment. Moi, je dirais bien qu'il est asperger atypique, mais ça n'existe pas. Et finalement, le plus important, c'est de connaître ses caractéristiques et de pouvoir avancer.
La classification, c'est sans doute plus dur dans le regard des autres. C'est aujourd'hui bien plus "socialement acceptable" d'être asperger qu'autiste, mais il faut savoir appeler un chat, un chat.
Après le coté lourd ou léger de l'autisme, c'est compliqué... la classification aussi. Mon fils n'est pas asperger (le haut du continuum), et pourtant il est considéré comme léger. Quand on fait des recherches sur Internet sur l'autisme atypique (classification de mon fils), il est précisé qu'une déficience mentale y'est pratiquement toujours associée. Mon fils, coté intelligence, est dans la moyenne haute. Donc, ça ne correspond pas vraiment. Moi, je dirais bien qu'il est asperger atypique, mais ça n'existe pas. Et finalement, le plus important, c'est de connaître ses caractéristiques et de pouvoir avancer.
La classification, c'est sans doute plus dur dans le regard des autres. C'est aujourd'hui bien plus "socialement acceptable" d'être asperger qu'autiste, mais il faut savoir appeler un chat, un chat.
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Re: Petit questionnement sur deux façons de penser.
Il serait souhaitable, pour que tu ai une meilleur compréhension de ton fils, que tu intègre le fait que ce qui est normal pour toi ne l'ai pas pour quelqu'un d'autre. La réaction de Philippe n'est pas agressive pour moi par ce que je ne prend pas en considération l'affect lorsque j'analyse une situation. l'affect est trop flou pour moi et sujet a interprétation et a pas mal de changement. c'est la solution que j'ai trouvé pour être le plus objective possible et arriver plus rapidement a des solutions qui me correspondent.crilo a écrit :Chawacee, quand je dis à philippe100, "c'est bizarre", c'est parce que c'est super direct comme réaction, et puis pour moi réaction ressentie comme agressive, mais apparemment pas pour Tempus Fugit, c'est aussi pour ça que je suis paumée !
Je ne connais pas philipe, mais je part du principe que malgré une façon maladroite (pour certain) de s'exprimer, dans le fond il a posé une question, donc il mérite une réponse.
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Re: Petit questionnement sur deux façons de penser.
Il paraît que les souffrances font partie de la vie. Bon, pas toutes. On peut s'en éviter certaines, comme celles liées à la discrimination sociale, à la stigmatisation.
Pour ma part, je vois le côté positif à être Asperger : beaucoup moins esclave des interactions sociales et des formes de langage non verbal ainsi que de la désirabilité sociale, des normes sociales (normes intra-groupe), de conformisme ou d'anti-conformisme (de manichéisme, quoi), moins naïf quant aux généralités, aux stéréotypes, aux préjugés, aux rumeurs et autres croyances. Un autre côté positif est qu'on a découvert de plus en plus de choses sur les formes d'autisme, sur le syndrome d'Asperger, et que les personnes s'en informent lentement mais sûrement.
Je ne prends pas de pilules et pense que je n'en prendrai pas une fois que je serai diagnostiqué (en juillet 2014). Si je peux m'en passer, tant mieux.
S'il s'intéresse au syndrome d'Asperger, il y a quelques livres pour enfants, tandis que là, c'est plus détaillé (mais moins pour enfants).
Tôt ou tard, il aura toujours la possibilité de rencontrer d'autres personnes Asperger (de son âge) pour remarquer des différences et similitudes. En plus, s'il trouve d'autres personnes qui aiment les mêmes activités que lui, le courant peut mieux passer.
De toute façon, on en apprend tous les jours, on s'adapte, même si ça demande des efforts plus conséquents pour les personnes Asperger. Être seul, c'est souvent reposant. On n'a pas besoin de faire attention à l'autre, de parler pour ne rien dire (juste pour tenir la conversation).
Pour ma part, je vois le côté positif à être Asperger : beaucoup moins esclave des interactions sociales et des formes de langage non verbal ainsi que de la désirabilité sociale, des normes sociales (normes intra-groupe), de conformisme ou d'anti-conformisme (de manichéisme, quoi), moins naïf quant aux généralités, aux stéréotypes, aux préjugés, aux rumeurs et autres croyances. Un autre côté positif est qu'on a découvert de plus en plus de choses sur les formes d'autisme, sur le syndrome d'Asperger, et que les personnes s'en informent lentement mais sûrement.
Je ne prends pas de pilules et pense que je n'en prendrai pas une fois que je serai diagnostiqué (en juillet 2014). Si je peux m'en passer, tant mieux.
S'il s'intéresse au syndrome d'Asperger, il y a quelques livres pour enfants, tandis que là, c'est plus détaillé (mais moins pour enfants).
Tôt ou tard, il aura toujours la possibilité de rencontrer d'autres personnes Asperger (de son âge) pour remarquer des différences et similitudes. En plus, s'il trouve d'autres personnes qui aiment les mêmes activités que lui, le courant peut mieux passer.
De toute façon, on en apprend tous les jours, on s'adapte, même si ça demande des efforts plus conséquents pour les personnes Asperger. Être seul, c'est souvent reposant. On n'a pas besoin de faire attention à l'autre, de parler pour ne rien dire (juste pour tenir la conversation).
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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