L’intelligence artificielle dans votre quotidien

[lucius]

L'IA m'a été très utile pour m'aider a trouver des pistes de reflexions sur des problemes dans du code. Il m'a proposé une alternative simple à laquelle je n'avais pas pensé.
Il m'a aussi à corriger du code verilog (langage que je ne maitrise pas)

Se servir de l'IA comme appui est assez intéressant. un jour, je m'en suis servi pour me faire les bases de fichiers (d'un logiciel UML) pour faire differents diagrammes car je ne trouvais pas les explications de configuration pour chaque fichier. Sinon après, 95% du contenu était de moi mais je ne voyais pas comme écrire avec ce logiciel UML les fichiers pour des diagrammes de classes, de sequences... J'avais pourtant cherché sur le net des exemples sans en trouver. D'un coup il m'en a fait 6-8 fichiers templates de diférentes natures

La calculatrice nous rend aussi trop dépendant.
Au moins 95% des personnes que je connais ne savent pas calculer sur une feuille de papier cosinus ou sinus.

Mais 60% de mes demandes doivent etre compliquees car il se trompe sans arret. Que cela soit chatgpt ou mistral ai, on me donne les mêmes réponses erronées. C'est affolant. Et lorsque je dignale l'erreur, il se corrige en me redonnant la meme erreur. Et cela en boucle. Je lui ai demande le lien d'un d'un d'une présentation d'un institut, il me donne le lien d'un annuaire (pas à la bonne page en plus).

[Lilas]

Je viens de me réabonner à Midjourney pour créer des images afin d'illustrer les poèmes publiés sur mon blog.

[Hydrean]

première vue, ce pourrait être une bonne chose. Ces thérapeutes seront moins cher et disponibles 24h/24. Les patients ressentiraient moins la peur du jugement avec des chatbots qu’avec des humains, moins de frictions donc.

Mais, c’est oublier que la friction est bien souvent au cœur de la thérapie : “C’est dans le malaise que le vrai travail commence”. Alors que les compagnons IA deviennent source de soutien émotionnel par défaut – pas seulement en tant que thérapeutes, mais aussi en tant qu’amis, confidents, complices ou partenaires amoureux, c’est-à-dire désormais ceux avec qui l’on discute et qui sont capables de répondre à nos discussions, qui nous donnent l’impression d’être au plus proche de nous et qui bien souvent nous font croire qu’ils nous connaissent mieux que quiconque – “nous risquons de devenir de plus en plus intolérants aux défis qui accompagnent les relations humaines”.

https://danslesalgorithmes.net/2025/04/ ... -chatbots/