(1) Ok(1)L'expérience vécue n'est qu'un témoignage, qui ne constitue pas une connaissance, et n'est donc pas généralisable. C'est au mieux un point de départ, qui doit être creusé sérieusement par l'expérimentation.
(2) Se contenter de l'expérience vécue, c'est se rendre indiscernable des charlatans, qui justement remplacent le corpus de preuves de l'expérimentation par un corpus de témoignages.
(2) Si on est précurseur ou seul, donc soit on passe pour un charlatan, soit on ne dispose pas d'un biais d'autorité
Je ne pense pas être un charlatan, mais je me sens seul, je constate que je ne dois plus en parler, je ne sais pas en parler "comme il faut".
Ok, on Jette tout alors... et on n'y pense plus, et je n'en parlerais plus.Dans un contexte de psychologie, et sans mention explicite, c'est logique de considérer que c'est de la notion contemporaine de Freud dont il est question.
Et quand bien même, dans ce même contexte, les notions antérieures ne sont guère pertinentes.
J'ai de grande difficulté à voir tout ce qui est lié même de loin à Freud afin de le censurer, ce qui m'incite à éviter tout simplement de parler de psychologie, d'enfance, de besoins d'enfant, de ressentis, de câlins, de sexe, ou de n'importe quoi liant la conscience aux perceptions: trop compliqué pour moi de cliver entre ce qu'il est permis d'évoquer, et ce qu'il ne faut pas évoquer.
Je comprend bien que souvent, pour ne pas dire quasiment tout le temps en dehors des "blagues" ou "citations" de trouvailles, ce que j'écris (partage de ce que j'en pense) n'est pas sérieux, subversif, et, le mots est sortit semble charlatanesque (c'est grave). J'ai soit évolué, soit le contexte a évolué, et tel que je m'exprime ici selon ce que j'ai vécu et tente de partager, il me semble de plus en plus que "ça ne passe pas".Il n'est pas question de diabolisation, mais d'exigence d'un minimum de sérieux. Et on ne peut pas parler de « cursus de connaissance » à propos de théories très marginales voire personnelles.
Abaisser le niveau d'exigence a pour conséquence de ne plus pouvoir distinguer un propos sérieux d'un propos charlatanesque. Ce n'est donc pas négociable.
Je vais plus sérieusement réfléchir à traiter le problème du temps que je perds ici, façon forums de cyclistes... J'ai arrêté et tout va mieux, je fais maintenant du vélo tranquille comme je le sens sans partager plus.
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Je n'y participe plus par ce qu'à chaque fois ça devenait conflictuel: nous ne sommes jamais d'accord sur les points techniques: le vélo étant un moyen de transport et de santé et moyen de rouler pour moi, pour eux semble-il un moyen de loisir et de narcissisme, pour frimer, avec un effet de mode et l'influence d'influenceurs commerciaux... on ne parviens plus à communiquer sans se disputer.
