). Ce week-end, cela m'a valu de papoter 1/2 heure avec une charmante dame de St Setiers pendant que Spyder mettait les chaînes... 
Hé hé, ce serait rigolo, ça!bernard a écrit :Si on échange nos "boites", tu ne seras pas dépaysée
+1 Murielle, pour la politesse. Et d'abord, pourquoi elle te regardait, hein, est-ce qu'on regarde les gens qu'on ne connaît pas!?gauthier a écrit :Il y a quelque temps, (il faut dire que je suis myope), je vois dans notre petit bourg, une dame qui me regarde. Je ne la reconnais pas car je ne distingue pas bien ses traits. Je lui dis "bonjour" et elle me répond:" pourquoi vous me dites bonjour? je ne vous connais pas!!!" Que répondre à cela?
Tu as tout à fait raison Mars.Mars a écrit :On dit "bonjour" pour faire comprendre à celui qui parle que l'on n'est pas une machine mais un être humain.
Mais non, mais non ...bernard a écrit :Bon d'un autre côté, si mon mulot tchate avec les autres mulots de la maison, quand mon doigt se présente à lui, ça va pas cliquer correctement, et c'est moi qui va stresser ...
Question intéressée: sur quels critères ou comportements se base-t-on, pour dire qu'un animal a un comportement autistique?bernard a écrit :Au congrès de Lyon, il a été cité l'expérience de la souris a qui on a fait une intervention pour qu'elle ait un comportement autistique.
Quelle genre d'intervention ? On peut donc transformer un être vivant volontairement en autiste ?bernard a écrit : Au congrès de Lyon, il a été cité l'expérience de la souris a qui on a fait une intervention pour qu'elle ait un comportement autistique.
Eh oui, il y a des lignées de rats autistes.Jonquille57 a écrit :Quelle genre d'intervention ? On peut donc transformer un être vivant volontairement en autiste ?
En neurobiologie, l’exploration de la synapse à glutamate confirme l’implication génétique. Sur un schéma figurant la jonction entre un neurone et une cellule effectrice (musculaire, par exemple), S. Briault explique comment la transmission d’une information dépend de neuro médiateurs comme le glutamate. Par des expérimentations sur des souris avec X fragile, il a étudié la fonction de régulateur chimique qui s’effectue par l’intermédiaire de la protéine FRMP, « chef d’orchestre » du codage Si la réaction impulsée par le glutamate est défaillante, on constate un désordre des interactions sociales, caractéristique de l’autisme.
Une recherche parallèle portant sur la fonction de l’astrocyte chez des souris avec X fragile a mis en évidence l’action positive du lithium.
J'ai lu un truc sur ce sujet. Il faut que je le retrouve. Il y avait deux expériences. Il me semble que ce ne serait pas directement adaptable à un cheval.omega a écrit :On parle de "désordre des interactions sociales", mais ça ne décrit pas concrètement les signes observables pour déterminer qu'une souris est autiste.
La mise au point de ces traitements passe par la création d’animaux modèles porteurs de l’une ou l’autre de ces variations identifiées. Il existe déjà trois modèles pour des formes particulières de l’autisme, ils ont permis d’identifier des traitements pharmacologiques spécifiques qui ont donné des résultats encourageants. Des souris atteintes de déficits sévères ont ainsi vu leurs symptômes inversés. Des essais cliniques sont actuellement en cours.
