Sarili a écrit : ↑samedi 3 octobre 2020 à 8:51
On est obligés de marquer notre présence à chaque cours, sauf pour un seul cours en amphi. En plus vu que je risque de me faire suspendre ma bourse si je commence à être absente, je me sens coincée.
Avec l'aménagement "dispense d'assiduité" tu n'es pas obligée d'être assidue donc tu n'es pas notée absente. Après si tu n'arrives pas du tout à demander les cours ça va être compliqué d'étudier depuis chez toi sans support de cours...
Peut être que quelqu'un pourrais t'aider à demander les cours sur le groupe Whatsapp? (voir même le faire pour toi) La mère de ton copain? Ta psychologue? Une personne du bureau handicap/du service santé de l'université?
Sarili a écrit : ↑samedi 3 octobre 2020 à 8:51Les cours en distanciel sont un supplice à suivre pour moi
Après avoir vécu l'école comme un enfer, j'ai adoré la fac, d'ailleurs je n'ai jamais vraiment quittée. J'aimais étudier et travailler à mon rythme, mais j'avais du mal avec certains aspects rigides et je me retrouvais toujours à bout de souffle au bout d'un moment. J'ai eu la chance d'être dans des filières pas trop chargées où les profs étaient arrangeants avec les étudiants de bonne volonté, et j'ai toujours plus ou moins réussi à aménager les choses pour qu'elles soient vivables (malgré des grosses périodes de stress quand même). J'avais souvent plusieurs cursus, donc d'office une dispense d'assiduité et une certaine compréhension des profs face à des besoins d'infos ou d'aménagements... ça m'a probablement empêchée d'exploser en vol...
Bon, la fac a évolué depuis "mon époque" (arg), je trouve qu'on y a un peu moins de liberté qu'avant avec pas mal d'options imposées (pour aider l'orientation et l'insertion professionnelle, ce qui est bien en théorie, mais en pratique ça me semble chronophage et pas toujours très utile, je suppose que ça dépend des facs).
Tout ça pour dire qu'une question qui me vient à l'esprit est : toi, est-ce que tu as envie de faire des études ? Ou au moins un objectif derrière qui te motive à étudier ? Et est-ce que tu es dans une filière que tu as choisie, qui t'intéresse ? Nulle part tu ne parles de tes propres choix... Or, ça me semble aussi un critère important pour trouver le "courage" de surmonter les difficultés (attention je ne dis pas que c'est forcément suffisant... mais si en plus tu "subis" quelque chose où tu ne trouves aucun intérêt, c'est encore plus plombant).
Diag. à 37 ans "TSA sans DI ni altération du langage", avec HPI (2020) "Vous vous voyez comme un Asperger et vous pensez comme un Asperger, donc c'est très bien"
Fille 16 ans HPI + TSA, suspicion TDAH, 3 sauts de classe.
Jolteon a écrit : ↑samedi 3 octobre 2020 à 20:22
Il faut que je surmonte ma timidité et que je demande les cours à quelqu'un je pourrais passer par un intermédiaire mais je ne sais pas trop vers qui me tourner en priorité. Concernant les dispenses d'assiduité il faudra que je me renseigne (édit:je viens de me renseigner et apparemment les boursiers n'ont pas droit à la dispense d'assiduité. Maintenant que j'y pense,il me semble qu'une prof nous l'avait également dit) ., j'en suis à un point où je n'ai pas eu la force de faire le TD a rendre pour cette semaine. J'avais un devoir à rendre jusqu'à aujourd'hui mais je n'ai pas de motivation, j'ai mal à la tête. Les cours en visio sont un supplice car : écouter un prof pendant 1h30+regarder les diapos+ prendre des notes font que je sens que je m'endors, j'ai des énormes maux de tête, je n'ai plus la force décrire et j'ai besoin de me distraire pour ne pas péter un plomb. Je passe mon temps à observer l'heure pour savoir encore combien de temps je vais devoir subir ce cours. Au bout de 5 minutes de cours j'ai l'impression que mon esprit se dissocie de mon corps.
Concernant mon choix d'études, je fais quelque chose qui me plaît c'est à dire apprendre des langues, mais même si cela me plaît je ne me vois pas continuer dans ça. A vrai dire j'ai l'impression de faire des études pour avoir une sorte d'intégration dans la société, j'ai juste l'impression de suivre le mouvement. Je ne sais même pas ce que je veux faire plus tard, la marché du travail ne m'attire pas. J'ai l'impression de n'avoir aucun but dans ma vie, mais je ne peux pas passer ma vie à rien faire mais bon. De toute façon ma mère ne me comprendra pas, je n'ai aucune ambition dans la vie. Tout ce que je veux c'est pouvoir guérir de ma depression et me reprendre en main mais je suis en train de sombrer
Diagnostic TSA avec troubles anxio dépressifs en février 2021
Ben d'après ce que je lis Sarili c'est que tes condition d'apprentissage ne sont pas non plus optimales, ton épuisement vient en partie de ton quotidien (t'occuper de ton petit frère de 3,5 ans pr exemple là dessus ce ne devrait pas être négociable, ta mère te prend pour 1 nounou gratos?? Elle doit bien te faire culpabiliser si tu refuses de t'en occuper -as-tu déjà refusé?)
Je rejoins certains qui te conseillent d'aller voir 1 psychiatre, c'est remboursé...
Et là il est urgent que tu te rapproches du service pour les étudiants handicapés.
Tu es dans quelle matière? (Simple curiosité)Le CNED peut- être 1 bonne alternative sinon...
Je comprends que demander de faire appel à 1 autre étudiant soit 1 épreuve, peut être qu'avec le service handicapé tu pourrais avoir 1 sorte de tuteur?
TSA (diagnostic en 2019 par psychiatre spécialisé) - troubles anxio-dépressifs
Concernant les TD, est ce que tu peux éventuellement obtenir des horaires qui t'arrangent plus, à défaut de dispense ? (de mémoire, mes amis boursiers qui bossaient en plus avaient pu choisir leurs horaires, de même pour moi du fait de mon handicap).
Sinon, tu peux toujours te réorienter, il existe des possibilités pour éviter de "perdre" une année, que ça soit en BTS, en IUT etc.. (rentrée en janvier); la fac n'est pas faite pour tout le monde et ce n'est pas "grave" de se réorienter (j'ai abandonné ma prépa au bout de 6 mois pour aller en fac, sur le moment je l'ai mal vécu mais finalement c'était vraiment la meilleure décision à prendre pour moi, à ce moment).
En BTS, tu es dans un lycée, donc moins de perte de repères par rapport à ce que tu as connu avant, avec des petites promos et des profs plus attentifs (et plus accessibles). Quant à l'IUT, tu es dans un milieu davantage axé professionnel, dans des locaux davantage à taille humaine et une certaine liberté (de ce que mon mari m'a expliqué de son IUT réseaux/télécoms les profs le traitaient vraiment comme un adulte, s'il voulait se lever et prendre une pause en plein cours ou en louper, il pouvait), les profs sont accessibles, les cours ressemblaient à des cours de lycée (dans le sens petite promo, profs attentifs).
Que ce soit le BTS ou l'IUT, tu as des examens réguliers, si j'ai bien compris, contrairement à la fac où tu dois bosser en autonomie et "performer" à l'examen final. Peut être qu'il existe d'autres types d'enseignements supérieurs qui pourraient te convenir (il y a aussi les écoles, mais c'est sur concours, ou les prépa par exemple) mais vu ce que tu dis, j'ai l'impression que tu as besoin d'être accompagnée davantage.
On est au début de l'année, les vacances à venir pourraient être le moment de te poser, et de faire le point (est ce que tu vas réussir à passer le cap ou est ce que tu te diriges droit sur un burn out ? Qu'est ce que tu aimes ? Qu'est ce qui t'attire ?). Il y a souvent des asso étudiantes sur les campus des fac qui justement aident pour tout cela (que ça soit aider les nouveaux en difficulté, les questions liées au handicap, l'aide à l'orientation et à la réorientation).
09/21: diagnostiquée TSA - anciennement Asperger, par le CRA de Nancy
(J'ai une maladie pulmonaire depuis toujours)
C'est vrai que je ne supporte plus de m'occuper de mon frère. En ce moment je fais tout pour éviter de l'emmener à l'école, des fois c'est mon frère de 15 ans qui s'en charge. Ma mère l'emmene seulement le lundi, quand elle ne travaille pas, en fait nous devons l'amener parce que c'est plus avantageux pour elle de ne pas l'emmener à la garderie avant l'école, mais les jours où il n'y a pas le choix elle me sollicite alors qu'elle peut très bien le déposer avant d'aller au travail. Après l'école c'est moi qui vais le chercher en général, quand mon autre frère est là il se peut qu'il refuse d'aller le chercher malgré ma fatigue, il y a même des fois où il me laisse me gérer tout seul pour jouer aux jeux vidéo. Le pire c'est le samedi, ma mère travaille toute la journée du coup on s'occupe de lui toute la journée et des fois mon autre frère m'abandonne pour sa console (il m'arrive de m'isoler du bruit mais il me le reproche en disant que je suis toujours fatiguée et que je suis paresseuse des fois).
Je ne peux pas me permettre de refuser de garder mon frère c'est impossible elle prendra ça comme un manque de respect je la connais, quand ma mère demande un truc il faut juste dire oui. Si je refuse de faire les courses elle commence à avoir des paroles culpabilisantes, de toute façon pour les courses elle ne s'en charge pas souvent, pour la vaisselle c'est pire elle l'a fait moins de 10 fois par an.
De toute façon quand je me repose on me laisse faire et puis des fois je l'entends dire que je passe mon temps à être couchée, pourtant elle passe aussi son temps allongée dans le canapé du salon. Quand mon frère fait des bêtises dans la cuisine alors qu'elle est dans la pièce d'à côté, elle m'appelle alors que je suis dans ma cjam à l'autre bout de la pièce pour que je le ramène au salon.
J'ai l'impression parfois d'être une sorte d'esclave, c'est aussi pour ça que j'aimerais vivre seule, c'est trop épuisant. Quand elle me demande d'aller le chercher à l'école j'ai envie de pleurer, quand je dois m'organiser pour des rendez vous je dois toujours prendre en compte le fait de savoir si je dois m'occuper de mon frère ou pas, je ne suis pas sa maman, elle compte beaucoup trop sur moi, son père ne prend pas assez ses responsabilités, elle ne veut pas vraiment compter sur lui parce qu'il n'est pas fiable mais moi ça détruit la santé mentale, j'ai l'impression de vivre à travers mon petit frère.
Je me suis déjà rapprochée du service pour étudiants handicapés justement, c'était pour une demande d'aménagements. Je suis en LLCER indonésien, je ne suis pas sociable, avec le CNED ça va empirer les choses. D'ailleurs j'ai besoin de voir du monde mais personne n'est disponible (à part peut être mon copain mais je vais devoir mentir si je veux le voir).
Il faudrait que je reprenne rendez vous avec le service handicap pour régler tout ça parce que là je vais tout droit dans le mur, je suis tellement fatiguée....
Concernant les TD j'ai fait exprès de choisir le groupe de 8h30, j'en ai marre d'emmener mon frère à l'école, je fais tout pour esquiver cela, voir tous ces rassemblements de parents m'oppresse. Je ne sais pas trop ce que je pourrais faire en BTS ou IUT, ça ne m'attire pas trop.
Mes vacances sont le 29 octobre, les profs nous ont conseillé d'être très studieux parce que tout va s'accélérer d'un coup, ce sera juste une semaine pour réviser à fond. J'aime dessiner et lire des livres mais je n'ai plus l'énergie que j'avais auparavant, avant je faisais cela tous les jours et depuis environ 3 ans je dois limite me forcer. Je sais que je vais tout droit vers un bien out, je l'ai déjà vécu et je reconnais les signes que je ressens actuellement. Je n'en peux vraiment plus, j'ai besoin de repos. J'ai aussi très envie de voir mon copain, on essaiera peut être de trouver un moyen de se voir la semaine prochaine, maintenant on se verra très peu parce qu'il va habiter loin pendant plusieurs mois, sa présence à mes côtés m'aide vraiment à tenir face à mes problèmes mais je ne peux pas lui infliger ma depression
Diagnostic TSA avec troubles anxio dépressifs en février 2021
Sarili a écrit : ↑samedi 3 octobre 2020 à 23:01
je ne suis pas sociable, avec le CNED ça va empirer les choses.
Honnêtement, quand je vais à des cours en présentiels, que je suis au milieu d'un troupeaux d'étudiants bruyants et que je n'adresse la parole à personne je n'ai pas l'impression d'avoir plus d'interactions sociales que quand j'étudie seule chez moi.
Sarili a écrit : ↑samedi 3 octobre 2020 à 23:01Il faudrait que je reprenne rendez vous avec le service handicap pour régler tout ça parce que là je vais tout droit dans le mur, je suis tellement fatiguée....
Très bonne idée. Je pense que tu devrais insister sur le fait que tu as déjà fait un burn-out par le passé (car malheureusement la fatigabilité a tendance à être très minimisée...)+depression+diag d'austime en cours+ta situation familiale difficile.
Sarili a écrit : ↑samedi 3 octobre 2020 à 23:01Je sais que je vais tout droit vers un bien out, je l'ai déjà vécu et je reconnais les signes que je ressens actuellement. Je n'en peux vraiment plus, j'ai besoin de repos.
Peut être en parler à ta psychologue? Est ce qu'elle ne pourrait pas te mettre en arrêt maladie pour que tu te reposes? (ou il faut que ce soit un médecin traitant? je me souviens que tu n'en as pas) Ce n'est pas évident quand tu es épuisée et que tout le monde te force à continuer et à te surpasser... Je connais très bien ça malheureusement.
Peut être demander de l'aide à ta psychologue par rapport à ta situation familiale également? Elle pourrait peut être te rediriger vers quelqu'un qui pourrait t'aider à prendre ton propre logement?
C'est vrai qu'un cours en amphi n'aide pas à a être sociable mais le fait de rester à la maison va encore plus me pousser à devoir m'occuper de mon frère,je le sens. Il y a quand même eu un jour cette semaine où ma mère a plus sollicité mon autre frère pour s'occuper du plus petit quand elle a vu mon état de fatigue. Elle me dit que ça ira sûre mieux quand j'aurai l'officialisation de mon diagnostic, qu'on pourra y voir plus clair. J'ai envie de tout arrêter honnêtement mais j'ai limite l'impression qu'il faut que je mette ma vie en danger pour qu'on me prenne au sérieux, j'ai envie que l'on m'écoute mais j'ai l'impression que personne ne fait vraiment attention à ce que je subis mentalement.
Je ne crois pas que la psy puisse me mettre en arrêt maladie, c'était mon ancienne pédopsychiatre qui l'avait fait auparavant. Ma psy me dit de tenir bon, que je pourrais bientôt vivre seule mais moi j'aimerais bien partir vite, pour l'instant je n'ai pas les ressources nécessaires, ça va être compliqué. La psychologue m'a dit qu'elle essaierai de prendre contact avec une assistante sociale mais je ne sais pas si cela va servir à quelque chose (et puis elle a sûrement oublié). Je ne sais pas trop ce que je pourrais faire pour avoir un logement, en plus ma mère va sûrement encore vouloir m'empêcher de partir. J'en ai marre des fois j'ai l'impression qu'elle dicte ma vie en fonction de ce qu'elle veut pour elle, comment elle veut que je sois indépendante si elle est derrière mon dos quand je n'en ai pas besoin et qu'elle n'est jamais là quand j'ai besoin d'elle ?
Diagnostic TSA avec troubles anxio dépressifs en février 2021
Sarili a écrit : ↑dimanche 4 octobre 2020 à 0:11
j'ai limite l'impression qu'il faut que je mette ma vie en danger pour qu'on me prenne au sérieux, j'ai envie que l'on m'écoute mais j'ai l'impression que personne ne fait vraiment attention à ce que je subis mentalement.
Il y ici des membres qui te prennent au sérieux et essayent de t'aider, de trouver des solutions même si ce n'est pas facile. Ta psychologue m'a l'air d'être à l'écoute également. Courage!
Sarili a écrit : ↑dimanche 4 octobre 2020 à 0:11moi j'aimerais bien partir vite, pour l'instant je n'ai pas les ressources nécessaires, ça va être compliqué.
Un étudiant que je connais avait réussi à obtenir une aide financière (pas une bourse, ça s'appelle une aide exceptionnelle je crois) en expliquant sa situation à une assistance sociale du CROUS. Peut être une piste à tenter qui te permettrait d'obtenir un peu plus de ressources financières pour prendre un logement? Tu pourrais peut être aussi prétendre à un logement en cité universitaire s'il leur reste de la place?
Pour les repas il y a dans certaines villes des associations qui donnent des courses gratuitement aux étudiants ayant peu de ressources, et les repas sont à 1 euro pour les étudiants boursiers en restaurant universitaire.
Sarili a écrit : ↑dimanche 4 octobre 2020 à 0:11La psychologue m'a dit qu'elle essaierai de prendre contact avec une assistante sociale mais je ne sais pas si cela va servir à quelque chose
Ça vaut le coup de tenter!
Sarili a écrit : ↑dimanche 4 octobre 2020 à 0:11ma mère va sûrement encore vouloir m'empêcher de partir.
Ce n'est pas évident mais il ne faut pas lui laisser le choix! Tu es adulte...
Sarili a écrit : ↑dimanche 4 octobre 2020 à 0:11
j'ai limite l'impression qu'il faut que je mette ma vie en danger pour qu'on me prenne au sérieux, j'ai envie que l'on m'écoute mais j'ai l'impression que personne ne fait vraiment attention à ce que je subis mentalement.
Il y ici des membres qui te prennent au sérieux et essayent de t'aider, de trouver des solutions même si ce n'est pas facile. Ta psychologue m'a l'air d'être à l'écoute également. Courage!
Sarili a écrit : ↑dimanche 4 octobre 2020 à 0:11moi j'aimerais bien partir vite, pour l'instant je n'ai pas les ressources nécessaires, ça va être compliqué.
Un étudiant que je connais avait réussi à obtenir une aide financière (pas une bourse, ça s'appelle une aide exceptionnelle je crois) en expliquant sa situation à une assistance sociale du CROUS. Peut être une piste à tenter qui te permettrait d'obtenir un peu plus de ressources financières pour prendre un logement? Tu pourrais peut être aussi prétendre à un logement en cité universitaire s'il leur reste de la place?
Pour les repas il y a dans certaines villes des associations qui donnent des courses gratuitement aux étudiants ayant peu de ressources, et les repas sont à 1 euro pour les étudiants boursiers en restaurant universitaire.
Sarili a écrit : ↑dimanche 4 octobre 2020 à 0:11La psychologue m'a dit qu'elle essaierai de prendre contact avec une assistante sociale mais je ne sais pas si cela va servir à quelque chose
Ça vaut le coup de tenter!
Sarili a écrit : ↑dimanche 4 octobre 2020 à 0:11ma mère va sûrement encore vouloir m'empêcher de partir.
Ce n'est pas évident mais il ne faut pas lui laisser le choix! Tu es adulte...
J'avais pensé au rendez vous avec une assistante sociale mais il n'y a pas de place avant un mois, c'est déjà mieux que rien.
Je n'ai pas envie de devoir rester jusqu'à la fin de mes études et vu comment ça se passe je ne sais même pas si j'arriverai au bout. De toute façon en ce moment je passe mon temps à dire que je veux vivre seule à ma psy. Je vais sûrement être déprimée au début si ça m'arrive mais je sais que je n'aurai plus de contraintes liées à ma famille
Diagnostic TSA avec troubles anxio dépressifs en février 2021
là dessus ce ne devrait pas être négociable, ta mère te prend pour 1 nounou gratos?? Elle doit bien te faire culpabiliser si tu refuses de t'en occuper -as-tu déjà refusé?)