Ce n'est ni une pathologie, ni une différence, et surtout, pas un handicap.













Je suis d'accord. Par contre, quand ces étudiants enchainentIxy a écrit :Je ne pense pas qu'on atteigne les 95% de HPI dans les grandes écoles, même les meilleures (et même de loin).
Il y a bien d'autres causes pour se suicider ...Ixy a écrit :Dans mon école il y a eu plusieurs suicides récemmentet je ne connaissais pas ces personnes mais apparemment c'était insoupçonnable
Tu préfères qu'on parle d'oreille absolue?Bubu a écrit :Quand est-ce que vous allez arrêter de nous faire chier avec votre psychose sur le HPI ?
Ce n'est ni une pathologie, ni une différence, et surtout, pas un handicap.
![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
![]()
Tugdual a écrit :Je suis d'accord. Par contre, quand ces étudiants enchainentIxy a écrit :Je ne pense pas qu'on atteigne les 95% de HPI dans les grandes écoles, même les meilleures (et même de loin).
une thèse, ou la commence même pendant leurs études d'ingé
(par exemple), il commence à y avoir anguille sous roche ...
![]()
Je crois (à vérifier) que c'est Ramus qui en parle dans un article
(ou une conférence ?), et dit qu'il est à peu près sûr d'être entouré
dans son job (CNRS) de HQI qui s'ignorent parce qu'ils vont bien ...
Tu pourras nous faire un retour "en direct de l'intérieur" ...Ixy a écrit :c'est drôle parce que justement je vais être amené à travailler avec son labo en thèse et sur ses premiers travaux
Je ne sais pas, c'est possible (malgré mes recherches je ne pense pas avoir saisi le concept de "phobie sociale"Manichéenne a écrit :Pour l'impossibilité des rencontres, c'est tout de même plutôt de la phobie sociale, non ?
Ca j'en doute vraiment, car mon copain est HQI et est très stimulé et "porté" par le fait de rencontrer des gens et d'interagir avec. Ca ne signifie pas que c'est le cas de tous les HQI, mais il me semble que beaucoup sont très sociaux (comme disait Flower). Dans notre cas c'est une évidence: les contacts avec d'autres personnes lui donnent beaucoup d'énergie alors que moi ils m'épuisent complètement.Astragale a écrit :Plus on est intelligent, moins on a besoin des autres et plus on s'intéresse à autre chose qu'à la sécurité induite par le groupe et ce, en dehors de tout autisme.
Ca fait longtemps que c'est fait (sur les conseils de ma psychiatre) et honnêtement ça ne m'a rien apporté. Non parce qu'ils ne sont pas bons, mais je pense que je n'ai pas la capacité de les assimiler, il ne me reste rien de leur lecture. Tout est question de sensations, de ressentis, d'estime de soi et cie... Pour moi c'est "le retour de windows chez les pygmées". Pour quelqu'un comme moi qui quand il court doit souvent attendre d'être au bord du malaise pour comprendre qu'il faut s'arrêter, ou qui ne va avoir l'idée de manger que parce qu'il tremble comme une feuille, a le vertige et envie de pleurer; les concepts genre "se sentir d'humeur dépressive", ce n'est pas simple...alexis a écrit :à lire notamment : Jeanne Siaud Facchin, Monique de Kermadec, Béatrice Millêtre...
Tant que tu ne l'auras pas fait, tu ne pourras pas savoir. La seule rencontre que j'ai faite, c'est avec le forum à la dernière rencontre de Paris, je ne sais si je sais à quoi ressemble un asperger ou un autiste diagnostiqué ou pas, mais je sais maintenant qu'il y a moyen de communiquer autrement que sur le mode NT, qui épuise et qui n'apporte rien de plus au contraire. C'était bien la première fois de ma vie, où j'ai pu suivre ce qui se disait, alors qu'il y avait 10 personnes, et je ne me suis pas demandé ce que je faisais là, car habituellement au bout d'une demie heure, c'est le black out, je ne peux plus rien entendre et je m'ennuie à mourir. Et j'ai pu parler, quand il n'y avait plus que trois personnes, de mon intérêt spécifiquemisty a écrit : Je me dis que ce sera probablement la même chose lors de rencontres: je verrais des gens mais je ne me cernerais pas mieux moi (je ne sais pas si c'est clair)
on fait parti du même club làmisty a écrit :Pour moi c'est "le retour de windows chez les pygmées". Pour quelqu'un comme moi qui quand il court doit souvent attendre d'être au bord du malaise pour comprendre qu'il faut s'arrêter, ou qui ne va avoir l'idée de manger que parce qu'il tremble comme une feuille, a le vertige et envie de pleurer; les concepts genre "se sentir d'humeur dépressive", ce n'est pas simple...Manichéenne a écrit :Pour l'impossibilité des rencontres, c'est tout de même plutôt de la phobie sociale, non ?![]()