Je viens de visionner l'extrait en question. J'ai eu tort, on n'apprend rien.
Tout ce qu'on entend c'est un conférencier avec un talent d'orateur globalement très inférieur au mien, commencer à exprimer des alternatives devant des gens qui n'attendent que de l'interrompre.
Le coup du "choix de sujet", à partir du moment où il est intégré que l'autisme se déclare chez les bébés, on peut y lire un truc positif, qu'effectivement les autistes naissent autistes et le resteront. C'est à peu près le même choix que celui de naître humain plutôt que, je ne sais pas moi, poulpe ?
Peut être voulait il exprimer qu'avec des séances de psychanalyses il estime possible de "persuader les autistes de revenir sur ce choix", auquel cas effectivement il y aurait ostracisme, stigmatisation et probablement discrimination, mais si vous le coupez si tôt, on ne saura jamais...
Parmi les réactions outrancières, j'ai cru sentir que l'autisme était considéré comme un fléau qui "tombe" sur les enfants. C'est pas vraiment mieux, hein. Il faudrait ne pas oublier que l'autisme est également dans le regard à l'autre.