Bravo à l'équipe de réalisation et un grand merci aux personnes qui ont témoigné. J'étais scotchée à mon écran, dans le film j'ai reconnu des tas de jeunes autistes que je connais, c'était parfaitement observé et reconstitué
J'espère que beaucoup d'enseignants et professionnels ont vu et apprécié ce très bon programme.
Atypique sans être aspie. Maman de 2 jeunes filles dont une aspie.
et ca risque de ne pas finir les témoignages ! tu vas etre reconue ds la rue peut etre;.et regarder de pres.
mais bon, tu as été super!! tous ont éét supers!!
J'ai regardé, et j'ai beaucoup aimé. C'est très intéressant et pleins de témoignages très touchants. Je ne regrette absolument pas d'avoir regardé. A voir, pour les personnes ne l'ayant pas encore regardé !
Nous l'avons regardé en famille et nous l'avons trouvé juste.
Merci a toutes les personnes qui ont témoigné, c'est la première fois que nous avons pu voir un panel large qui montre la diversité.
Nathalie Leca , maman de 3 phénomènes et passionnée
Par rapport au film précédent sur les transplantations cardiaques, je trouve que la "fiction" est très bien mélangée aux témoignages et aux images d'archives : la fiction n'est pas si différente des témoignages.
Il y a des témoins qui s'expriment très bien, qui passent la rampe, comme Josef, Valentin, Luna, Lucile avec Pierre par exemple, mais ils parlent pour les autres, ils expriment leurs difficultés avec l’environnement. Et Nielse avec sa sœur ...
Certes, il a été question des talents de Josef et de Valentin. Et pas de ceux de Luna. Ou des autres. Ce qui prédomine largement, c'est bien la difficulté sociale. Au point de vue professionnel, Josef, Valentin et Luna n'ont pas de situation stable. Beaucoup de progrès encore à accomplir.
Nous pouvons maintenant aller nous régaler des suppléments et du reste sur le site de France 2.
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
J'ai apprécié le film, montage parfait, alternance entre témoignages et fiction bien équilibré. Cependant j'ai trouvé qu'il montrait l'autisme d'un point de vue ... je ne sais pas comment dire? flatteur peut-être? sympathique? et sympathique n'est pas le mot que j'emploierais pour qualifier un aspi au premier abord. Je ne pense pas être sympathique, les gens ne se battent pas pour me fréquenter, et Jo non plus. Le film a quand même eu le mérite de me forcer à arrêter de me voiler la face, quand Luna parlait, j'avais l'impression qu'elle parlait à ma place, pour moi. Et j'ai eu un rapport similaire à la musique que Hugo. Le débat était trop court, j'ai réalisé le tour de force que cela a dû être pour les deux déléguées ministérielles de ne pas se balancer à travers la figure les amabilités politiques en usage en France. J'espère que d'autres personnes que celles concernées par l'autisme ont visionné ce programme. Il y avait concurrence, Jo a préféré regarder l'émission sur la crise... Il ne voyait pas l'intéret de regarder quelque chose sur un sujet dans lequel il vit toute la journée.
Ma grande question est: va t'il enfin y avoir de l'aide pour les adultes? une aide adaptée aux besoins de chacun, individuellement? une aide respectueuse de la personne,de sa famille? parce qu'il a fallu se démerder tout seul tout le temps, toute la vie, que nous avons "essuyé les plâtres" comme on dit couramment ( on faisait "esssuyer les plâtres" d'une maison neuve par des locataires pendant quelque avant que les vrais propriétaires puissent vivre dans la demeure neuve sans abimer leurs habits et leurs poumons par le plâtre frais et l'humidité dégagée par les travaux). Nous avons subi une situation sans avoir aucun choix que celui d'avancer au jour le jour, que ce soit en tant que parent ou en tant que personne autiste. Mon souhait est que les politiques dans leur mansuétude nous laissent des choix, nous donnent des ouvertures, des possibilités de soutien, d'aides, selon nos besoins, souhaits, envies, sans nous considérer comme la plupart des services de santé nous ont traité jusqu'à présent, avec cette condescendance bienveillante/jugeante au choix.
"Ne le secouez pas, cet homme est plein de larmes." Charles Dickens.