Etonnant : lorsque nous évoquons le parcours de Gwen du Finistère à la frontière italienne, aucune réaction (j'entends confusément penser "venez-en au fait"). Les communes sont petites, les locaux communaux peu nombreux et, franchement, je ne sens pas l'envie de se mouiller un peu pour nous le soyons moins (mouillés, je veux dire).
Enfin, nous avons quand même la promesse que nous serons abrités en cas pluie (mais pas s'il fait beau
, pour ça, il faut l'avis du maire, dixit le 1er adjoint).Dans une commune, le maire nous trouvera quelque chose dans les deux cas.
J'ai horreur de ces démarches, peut-être que ça se sent
Dans la Drôme, la grand route est bordée de très larges pistes cyclables, bien pour la sécurité
. Dans les Hautes-Alpes, ce n'est pas mal non plus même si les pistes sont parfois "riquiqui". Dans les Alpes de Haute-Provence, pas le choix, c'est la grand route, parfois sans accotements mais elle est bonne.Régulièrement, Gwen va se "perdre" dans des endroits paumé mais paumés, genre "St Nazaire le désert" qui mérite bien son nom. S'il y a du cagnard ce jour-là, l'étape sera dantesque, car la montée est rude et la descente pareillement.
Allez, une vue de la route au pied du col de Larche (en arrière plan, un camion dans le 1er lacet) :
