Etablissements
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Re: Etablissements
Article sur un IME de Carhaix, dans le Finistère. Je connais certains jeunes autistes qui y sont allés. La réduction de l'internat n'est admissible que si dans les autres "territoires", des solutions sont proposées. Cet IME - je crois - acceptait des enfants qui n'étaient pas acceptés ailleurs, à cause de leurs troubles du comportement.
http://www.letelegramme.com/local/finis ... 277744.php
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père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: Etablissements
La newsletter N° 5 du CeRESA (Toulouse) est disponible.
http://www.ceresa.fr/newsletter/Ceresa_5_201107.pdf
Objectifs du CeRESA
Le CeRESA (Centre Régional, d'Education et de Services pour l’Autisme en Midi-Pyrénées) est une association loi 1901, qui propose une véritable plateforme innovante de services agissant en faveur des personnes avec autisme et de leurs familles.
Le CeRESA a vue le jour sous l'impulsion du professeur Bernadette ROGÉ en association avec les parents d'enfant autiste.
En 2007, le CeRESA a obtenu la création d’un Service d’Éducation Spéciale et de Soins à Domicile (SESSAD) à Toulouse. L'association gère donc 2 structures distinctes.
A noter dans l'article sur ACCES 46 : l'ARS (agence régioanle de santé) subordonnait la création de ce service expérimental à une convention avec le principal HP du département. Come si l'incompétence démontrée des HP en matière d'autisme pouvait faire le poids par rapport aux compétences de Bernadette Rogé.
http://www.ceresa.fr/newsletter/Ceresa_5_201107.pdf
Objectifs du CeRESA
Le CeRESA (Centre Régional, d'Education et de Services pour l’Autisme en Midi-Pyrénées) est une association loi 1901, qui propose une véritable plateforme innovante de services agissant en faveur des personnes avec autisme et de leurs familles.
Le CeRESA a vue le jour sous l'impulsion du professeur Bernadette ROGÉ en association avec les parents d'enfant autiste.
En 2007, le CeRESA a obtenu la création d’un Service d’Éducation Spéciale et de Soins à Domicile (SESSAD) à Toulouse. L'association gère donc 2 structures distinctes.
A noter dans l'article sur ACCES 46 : l'ARS (agence régioanle de santé) subordonnait la création de ce service expérimental à une convention avec le principal HP du département. Come si l'incompétence démontrée des HP en matière d'autisme pouvait faire le poids par rapport aux compétences de Bernadette Rogé.
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: Etablissements
Autisme : la leçon de vie d’un papa
Clicanoo.re - journal de l'Ile de la Réunion - publié le 1er août 2011
Denis Tainturier et son fils Vivien. L’équitation fait partie des nombreuses activités qu’affectionne le jeune homme. (photo V.B.)
Vivien, jeune homme autiste de 25 ans, a été exclu d’un foyer d’accueil de Saint-Paul pour des faits de violence. De la révolte à l’adaptation, son père, Denis Tainturier, nous raconte comment ce coup dur a changé sa vie.
Il témoigne en guise d’exutoire, mais aussi pour toutes les familles confrontées au handicap. Denis Tainturier, patron d’une agence immobilière à Saint-Gilles, est le père d’un enfant autiste, Vivien, âgé de 25 ans. Depuis dix ans, le garçon est pris en charge par des instituts spécialisés. L’IMpro de Cambaie, puis l’Alefpa de Saint-Paul. Tout se passe bien jusqu’en avril dernier. Après des violences sur un encadrant, Vivien se retrouve exclu du foyer. Un choc pour ses parents. “Il a d’abord été exclu trois jours, mais au moment de le ramener, le directeur m’a dit qu’il n’en voulait plus”, témoigne Denis Tainturier. Le père ne conteste pas les faits mais cette rupture brutale est dure à encaisser. D’autant que l’homme a toujours été impliqué dans les instances associatives du FAO. “Au départ, je l’ai très mal vécu, comme une injustice”, confie-t-il. Du jour au lendemain, la vie professionnelle et familiale des Tainturier bascule. L’urgence s’impose : comment retrouver une prise en charge pour leur enfant dépendant à 100% ? Hormis celui de Saint-Paul, le seul autre foyer d’activité en mesure d’accueillir des autistes est situé à la Plaine-des-Palmistes. Trop loin pour le couple qui travaille dans l’Ouest. Et pas souhaitable non plus puisque Vivien ne s’est jamais senti à l’aise au sein du FAO les Cascavelles.
Transformé par la vie dehors
Après réflexion, Denis Tainturier décide d’embaucher deux jeunes encadrants, à mi-temps, pour s’occuper de son fils. Un choix qui condamne en partie son activité professionnelle. “Entre la paperasse administrative, le planning des activités, c’est comme si je me retrouve à gérer un centre d’accueil tout seul”. Mais à l’arrivée, les retombées sont bien plus positives qu’il ne le pensait. “Depuis trois mois, Vivien est transformé par sa prise en charge individuelle. Il est plus apaisé, il a maigri, il dort mieux”, constate son père. Les bénéfices d’une vie active et extra-muros. Avec Alan et Marylin, ses aidants, et grâce à la solidarité de quelques bénévoles altruistes (Francine du tennis-club de la Baie), Vivien pratique le tennis, la randonnée, l’équitation, des activités nautiques, etc. Un quotidien ouvert, plus en phase avec ses aspirations. Car Vivien, malgré son handicap lourd, a toujours été habitué une vie sociale “normale” en public. Ses parents ne l’ont jamais caché. Au cinéma, au restaurant, dans les grandes surfaces, “les gens le connaissent”, confie son père. “Vivien est un garçon qui s’intéresse aux choses, il voit les détails, il sait ce qu’il veut”, témoigne la gérante du restaurant la Boucherie à Saint-Gilles, adresse où les Tainturier ont leurs habitudes.
Aucun souci avec le regard du public
L’acceptation du handicap, fruit d’un travail de longue haleine pour l’entourage familial. “On passe par plusieurs étapes : une certaine révolte d’abord, puis la prise de conscience, la reconstruction et l’intégration. Dès que l’on apprend à vivre avec, c’est gagné et on ne se soucie plus du tout du regard du public”, témoigne Denis Tainturier. Processus long et exigeant qui finit bien souvent par faire exploser la cellule familiale. Denis, marié depuis 27 ans, n’est pas peu fier d’y avoir résisté. “La plupart des couples qui ont un enfant handicapé ne tiennent pas, observe-t-il. Pour nous, ça n’a pas toujours été évident, mais aujourd’hui, on est blindés”. Avec le recul, et par la force des choses, le père de famille n’a plus la même perception des structures collectives pour handicapés. “Ce sont des institutions lourdes, trop hiérarchisées, qui ne répondent pas aux réelles attentes du monde du handicap”. À l’arrivée, le coup dur vécu par les Tainturier sonne presque comme un virage salvateur. Avec ce nouveau fonctionnement, Denis se prépare à une nouvelle vie. Il a mis en vente son agence immobilière, va repartir en métropole, à la campagne, et songe y créer une famille d’accueil pour handicapés. “Un lieu où je m’occuperai de trois ou quatre enfants comme Vivien, et pourquoi pas quelques personnes âgées, histoire de casser les cloisons”. Avant de mûrir ce projet, Denis et Vivien - qu’il aime à qualifier “de géant aux pieds d’argile”, en raison de son gabarit imposant - envisagent de s’offrir “un pèlerinage laïque” sur la route de Compostelle (Espagne). “Je l’appréhende comme un jeûne, l’occasion de lâcher prise, de se ressourcer”, confie ce père exemplaire, que les épreuves ont fini par rendre philosophe. “Vivre avec le handicap, c’est un peu comme être plongé dans une rivière. Sois tu suis le courant et tu te laisses porter. Sois tu luttes contre, tu t’épuises et tu finis par sombrer”
Vincent Boyer
Clicanoo.re - journal de l'Ile de la Réunion - publié le 1er août 2011
Denis Tainturier et son fils Vivien. L’équitation fait partie des nombreuses activités qu’affectionne le jeune homme. (photo V.B.)
Vivien, jeune homme autiste de 25 ans, a été exclu d’un foyer d’accueil de Saint-Paul pour des faits de violence. De la révolte à l’adaptation, son père, Denis Tainturier, nous raconte comment ce coup dur a changé sa vie.
Il témoigne en guise d’exutoire, mais aussi pour toutes les familles confrontées au handicap. Denis Tainturier, patron d’une agence immobilière à Saint-Gilles, est le père d’un enfant autiste, Vivien, âgé de 25 ans. Depuis dix ans, le garçon est pris en charge par des instituts spécialisés. L’IMpro de Cambaie, puis l’Alefpa de Saint-Paul. Tout se passe bien jusqu’en avril dernier. Après des violences sur un encadrant, Vivien se retrouve exclu du foyer. Un choc pour ses parents. “Il a d’abord été exclu trois jours, mais au moment de le ramener, le directeur m’a dit qu’il n’en voulait plus”, témoigne Denis Tainturier. Le père ne conteste pas les faits mais cette rupture brutale est dure à encaisser. D’autant que l’homme a toujours été impliqué dans les instances associatives du FAO. “Au départ, je l’ai très mal vécu, comme une injustice”, confie-t-il. Du jour au lendemain, la vie professionnelle et familiale des Tainturier bascule. L’urgence s’impose : comment retrouver une prise en charge pour leur enfant dépendant à 100% ? Hormis celui de Saint-Paul, le seul autre foyer d’activité en mesure d’accueillir des autistes est situé à la Plaine-des-Palmistes. Trop loin pour le couple qui travaille dans l’Ouest. Et pas souhaitable non plus puisque Vivien ne s’est jamais senti à l’aise au sein du FAO les Cascavelles.
Transformé par la vie dehors
Après réflexion, Denis Tainturier décide d’embaucher deux jeunes encadrants, à mi-temps, pour s’occuper de son fils. Un choix qui condamne en partie son activité professionnelle. “Entre la paperasse administrative, le planning des activités, c’est comme si je me retrouve à gérer un centre d’accueil tout seul”. Mais à l’arrivée, les retombées sont bien plus positives qu’il ne le pensait. “Depuis trois mois, Vivien est transformé par sa prise en charge individuelle. Il est plus apaisé, il a maigri, il dort mieux”, constate son père. Les bénéfices d’une vie active et extra-muros. Avec Alan et Marylin, ses aidants, et grâce à la solidarité de quelques bénévoles altruistes (Francine du tennis-club de la Baie), Vivien pratique le tennis, la randonnée, l’équitation, des activités nautiques, etc. Un quotidien ouvert, plus en phase avec ses aspirations. Car Vivien, malgré son handicap lourd, a toujours été habitué une vie sociale “normale” en public. Ses parents ne l’ont jamais caché. Au cinéma, au restaurant, dans les grandes surfaces, “les gens le connaissent”, confie son père. “Vivien est un garçon qui s’intéresse aux choses, il voit les détails, il sait ce qu’il veut”, témoigne la gérante du restaurant la Boucherie à Saint-Gilles, adresse où les Tainturier ont leurs habitudes.
Aucun souci avec le regard du public
L’acceptation du handicap, fruit d’un travail de longue haleine pour l’entourage familial. “On passe par plusieurs étapes : une certaine révolte d’abord, puis la prise de conscience, la reconstruction et l’intégration. Dès que l’on apprend à vivre avec, c’est gagné et on ne se soucie plus du tout du regard du public”, témoigne Denis Tainturier. Processus long et exigeant qui finit bien souvent par faire exploser la cellule familiale. Denis, marié depuis 27 ans, n’est pas peu fier d’y avoir résisté. “La plupart des couples qui ont un enfant handicapé ne tiennent pas, observe-t-il. Pour nous, ça n’a pas toujours été évident, mais aujourd’hui, on est blindés”. Avec le recul, et par la force des choses, le père de famille n’a plus la même perception des structures collectives pour handicapés. “Ce sont des institutions lourdes, trop hiérarchisées, qui ne répondent pas aux réelles attentes du monde du handicap”. À l’arrivée, le coup dur vécu par les Tainturier sonne presque comme un virage salvateur. Avec ce nouveau fonctionnement, Denis se prépare à une nouvelle vie. Il a mis en vente son agence immobilière, va repartir en métropole, à la campagne, et songe y créer une famille d’accueil pour handicapés. “Un lieu où je m’occuperai de trois ou quatre enfants comme Vivien, et pourquoi pas quelques personnes âgées, histoire de casser les cloisons”. Avant de mûrir ce projet, Denis et Vivien - qu’il aime à qualifier “de géant aux pieds d’argile”, en raison de son gabarit imposant - envisagent de s’offrir “un pèlerinage laïque” sur la route de Compostelle (Espagne). “Je l’appréhende comme un jeûne, l’occasion de lâcher prise, de se ressourcer”, confie ce père exemplaire, que les épreuves ont fini par rendre philosophe. “Vivre avec le handicap, c’est un peu comme être plongé dans une rivière. Sois tu suis le courant et tu te laisses porter. Sois tu luttes contre, tu t’épuises et tu finis par sombrer”
Vincent Boyer
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: Etablissements
A ce sujet, voir le site mis en place par Autisme France :
http://www.autismequalite.com/
http://urvillecity.free.fr/prat_remarq1.htm
Lors d'une évaluation, l'équipe d'enquête relève les pratiques remarquables. Il s'agit de pratiques exceptionnellement bonnes, innovantes, ou intéressantes dont peuvent s'inspirer les autres établissements.
Etablissements accrédités
Trampoline - Maurice et Tillie Wolfe - Centre de Stimulation Précoce 0-6 ans - MONTREAL
L'Envol- Centre de Stimulation 0-6 ans - VICTORIAVILLE - Québec
Les Petites Victoires - IME externat - 75011 PARIS
La Ferme au Bois - FAM pour adultes - 59242 GENECH
Le C.A.A.P. - Centre pour Adultes avec Autisme en Poitou - FAM pour adultes - 86580 VOUNEUIL SOUS BIARD
Un FAM est un Foyer d'Accueil Médicalisé (plus encadré qu'un Foyer de Vie, avec moins de personnel qu'une MAS - Maison d'Accueil Spécialisée).
http://www.autismequalite.com/
http://urvillecity.free.fr/prat_remarq1.htm
Lors d'une évaluation, l'équipe d'enquête relève les pratiques remarquables. Il s'agit de pratiques exceptionnellement bonnes, innovantes, ou intéressantes dont peuvent s'inspirer les autres établissements.
Etablissements accrédités
Trampoline - Maurice et Tillie Wolfe - Centre de Stimulation Précoce 0-6 ans - MONTREAL
L'Envol- Centre de Stimulation 0-6 ans - VICTORIAVILLE - Québec
Les Petites Victoires - IME externat - 75011 PARIS
La Ferme au Bois - FAM pour adultes - 59242 GENECH
Le C.A.A.P. - Centre pour Adultes avec Autisme en Poitou - FAM pour adultes - 86580 VOUNEUIL SOUS BIARD
Un FAM est un Foyer d'Accueil Médicalisé (plus encadré qu'un Foyer de Vie, avec moins de personnel qu'une MAS - Maison d'Accueil Spécialisée).
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: Etablissements
Bizarre que la Maison d' Hestia ne fasse pas partie de la liste, mais peut-être est-elle trop récente.
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Re: Etablissements
J'ai eu la même réaction que toi Jonquille.!
Murielle,
Maman de Pauline 21 ans,Léo (asperger) 17 ans et demi .
Savoir profiter du moment présent ,
Savoir vivre pleinement chaque instant et ne pas uniquement penser aux jours à venir, voilà un défi à relever maintenant.
Maman de Pauline 21 ans,Léo (asperger) 17 ans et demi .
Savoir profiter du moment présent ,
Savoir vivre pleinement chaque instant et ne pas uniquement penser aux jours à venir, voilà un défi à relever maintenant.
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Re: Etablissements
Pour faire partie de la liste, il faut avoir demandé l'évaluation - et que l’évaluation soit terminée, bien sûr.
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: Etablissements
Merci pour la réponse, Jean. ( je savais bien que tu en aurais une... )
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Re: Etablissements
Ce soir, sur la 6, il y avait un reportage sur un organisme en Belgique qui n'emploie que des personnes handicapées. Cela me semblait intéressant ( même si cela ne concerne pas spécifiquement les personnes autistes ).
http://www.fermenospilifs.be/index.php?v=
Les personnes interrogées avaient vraiment l'air heureux de travailler dans cet endroit.
En Dordogne, il est question qu'un lieu de ce type s'ouvre, ( mais dans les métiers de bouche ), mais cette fois-ci, uniquement pour des personnes autistes. A suivre...
http://www.fermenospilifs.be/index.php?v=
Les personnes interrogées avaient vraiment l'air heureux de travailler dans cet endroit.
En Dordogne, il est question qu'un lieu de ce type s'ouvre, ( mais dans les métiers de bouche ), mais cette fois-ci, uniquement pour des personnes autistes. A suivre...
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- Prolifique
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Re: Etablissements
Il y'a pleins d'ESAT en France qui fonctionne un peu sur ce principe
Maman bizarroïde d'un grand ado de 16 ans (EIP TDA) et d'un ado de 14 ans Asperger TDAH.
Tous différents , tous humains!
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Re: Etablissements
Ceci dit, je ne sais pas si il y a beaucoup d' ESAT consacrés aux personnes autistes. En Dordogne, ce sera le cas.
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- Prolifique
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Re: Etablissements
A mon boulot c'est un ESAT qui fait le jardin et meme si on ne sais pas quel handicap ont ces personnes j'ai l'impression que certaines sont autistes.
Je dois pouvoir avoir des informations a ce sujet, faudrait que je farfouille un peu.
Je dois pouvoir avoir des informations a ce sujet, faudrait que je farfouille un peu.
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Re: Etablissements
Ce qu'il peut y avoir de nouveau, c'est que certains ESAT vont être spécialisés dans l'accueil des personnes autistes : les prises en charge, les méthodes de travail, seront alors adaptés. Il parait qu'il y a plusieurs projets de ce type pour 2012 et + ....
Encore faut-il voir comment cette prise en charge sera instaurée... et si c'est vraiment adapté aux personnes autistes.
Encore faut-il voir comment cette prise en charge sera instaurée... et si c'est vraiment adapté aux personnes autistes.
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Re: Etablissements
C'est la crainte : celle de l'adaptation des méthodes utilisées.
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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- Prolifique
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Re: Etablissements
Je dois pouvoir me renseigner sur les ESAT , mais j'ai un gros doute sur le fait que les Esat se specialise vu les dernieres reformes dans le monde associatif, l'etat cherche a privilegier les grosses associations , actuellement on a plutot affaire a des regroupements. Mais les ESAT ne sont pas des associations, mais des entreprises a but lucratif ils ont veritablement un statut particulier.
Maman bizarroïde d'un grand ado de 16 ans (EIP TDA) et d'un ado de 14 ans Asperger TDAH.
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