Ayant une maladie et des soucis en plus, on m'a pré-diagnostiqué Asperger et j'ai eu une confirmation assez incertaine depuis. Résultat, je continue de douter.
J'ai fait le test 2 fois. Parce que mon mode de fonctionnement ne permet pas d'avoir une réponse fiable en un seul résultat (soit je nuance trop, soit pas assez mais ça ne colle pas forcément à mon ressenti)
59 puis 66 pour moi, ce qui fait une moyenne dans la tranche 60-69. J'aurais pensé plus haut.
Idem pour le "souvent", là tel que c'est présenté, c'est vraiment très mal exprimé... Puis j'aime pas les QCM avec juste 4 niveaux d'appréciations. Un nombre impair permet d'avoir une valeur "neutre", un entre deux qui m'est souvent utile...
Non diagnostiquée
Pré-diagnostic : positif.
Dossier au CRA : refusé.
63
Mais comme les autres, je pense que le profond fossé entre "parfois" et "toujours" a joué. Je me suis forcée à mettre des "toujours" quand "parfois" semblait insuffisant, mais c'est inexact car il y a bien des moments où la phrase n'est pas valide, même si ces temps sont rares. Par ailleurs, parfois il s'agit d'une question fermée à laquelle on ne peut pas répondre par un adverbe de fréquence...
43 !
J'ai deux très proches amis que j'ai beaucoup de chance d'avoir, et qui font contrepoids à un sentiment de solitude que je ressens durement quand ils ne sont pas près de moi.
Je trouve ce test assez bizarre. Le principe qui sous-tend les questions me semble être qui si on est seul, on souffre de solitude.
Pour moi, on souffre de solitude quand on recherche de la compagnie qu'on ne trouve pas. Pas nécessairement quand on est seul (c'est une situation qui peut tout à fait nous convenir).
EDIT : j'ai oublié de mentionner mon score = 60.
Modifié en dernier par Fift le mercredi 25 juin 2025 à 11:18, modifié 1 fois.
Tests passés le 29/02/2024. Diagnostic officialisé le 26/03/2024.
"All these words I don't just say, and nothing else matters"
J'ai eu un score de 41, mais je rejoins les avis précédents concernant le manque d'une catégorie de réponse, et sur les questions parfois trop fermées.
Un test qui pour moi est très perfectible, et qui nécessiterait d'être adapté... Sachant que tout le monde n'a pas du tout les mêmes besoins sociaux...
Diagnostiquée TSA en janvier 2021. Conjoint diagnostiqué TSA en octobre 2020.
Fift a écrit : ↑mardi 24 juin 2025 à 16:09
Je trouve ce test assez bizarre. Le principe qui sous-tend les questions me semble être qui si on est seul, on souffre de solitude.
Pour moi, on souffre de solitude quand on recherche de la compagnie qu'on ne trouve pas. Pas nécessairement quand on est seul (c'est une situation qui peut tout à fait nous convenir).
Exactement. On peut être très solitaire et très bien le vivre.
Cogito, ergoseum.
TSA niveau 1 (ex-Asperger) dans contexte HPI (hétérogène) confirmé en CRA fin 2019.
Fift a écrit : ↑mardi 24 juin 2025 à 16:09
Je trouve ce test assez bizarre. Le principe qui sous-tend les questions me semble être qui si on est seul, on souffre de solitude.
Pour moi, on souffre de solitude quand on recherche de la compagnie qu'on ne trouve pas. Pas nécessairement quand on est seul (c'est une situation qui peut tout à fait nous convenir).
Exactement. On peut être très solitaire et très bien le vivre.
Oui le test mesure plus à quel point on est solitaire que la le sentiment de solitude (qui est plus difficilement quantifiable par ce genre de test)
TSA confirmé .
Je suis un rat de bibliothèque aussi bien dans le monde physique que sur internet.
68.
Tout comme beaucoup d'entre vous, je regrette qu'il n'y ait pas un souvent entre le parfois et le toujours.
Ca me donne envie de creuser le sujet.
A chaud, j'ai envie de distinguer:
- l'isolement subi qui peut être dû à un sentiment de rejet ou l'absence de soutien en cas de difficultés.
- la solitude assumée qui est une forme de liberté, d'absence d'effort à faire pour s'adapter aux autres.
"Diagnostic de traits obsessionnels handicapant les relations aux autres"
75 ce qui est particulièrement ironique en ayant des enfants, un compagnon, et des collègues de travail, ce qui amène les gens à croire que je ne suis pas vraiment isolée.
J'ai abandonné l'idée de me faire des amis un jour depuis pas mal de temps déjà.
Diagnostiquée Autiste Asperger et TDA.
Mère de 3 enfants : fils Aîné TDAH et TSA atypique, cadet TSA de type Asperger, benjamin TDAH.
J'ai la chance d'avoir une famille qui fait l'effort de me comprendre, et le soutien de professionnels de santé, donc je ne suis pas démunie de personnes à qui parler ou me confier.
Par contre, niveau amitié, je suis très isolée en ce moment. Je ressens un fort sentiment d'exclusion/d'isolement de manière générale, et je n'ai que très rarement eu l'impression de faire partie intégrante d'un groupe d'amis.
Je reconnais en revanche que je ne suis pas la seule à me sentir comme ça (en partie à cause de l'autisme). Sur ce forum par exemple, il me suffit de parcourir quelques sujets pour m'en rendre compte.
Comme d'autres l'ont pointé, ce n'est pas parce qu'on se dit seul ou isolé que l'on est malheureux. Personnellement j'apprends à vivre avec, même si parfois on ne peut pas s'empêcher de se comparer à ceux qui ont une meilleure vie sociale que soi.