Recherches sur l'autisme
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Re: Recherches sur l'autisme
Autisme: risque plus grand qu'estimé dans une famille déjà affectée
http://www.cyberpresse.ca/sciences/2011 ... fectee.php
Dans les familles ayant déjà un enfant souffrant d'autisme, le taux du syndrome chez ses frères et soeurs plus jeunes est de 20,1%. Il passe à 32,2% si plusieurs sont autistes.
Agence France-Presse - Washington
Le risque qu'un enfant souffre d'autisme est plus grand qu'on ne le pensait jusqu'alors lorsque l'un ou plusieurs de ses frères ou soeurs aînés est déjà atteint de ce syndrome complexe, selon une nouvelle estimation publiée lundi aux États-Unis.
Cette probabilité, estimée avant cette recherche entre 3 et 10%, est en réalité de 18,7%, montre cette vaste étude internationale menée par des chercheurs de l'Université de Californie à Davis et par le M.I.N.D Institute qui en fait partie.
Pour les garçons, le risque d'autisme est encore plus grand -- plus de 26%-- et dépasse les 32% si deux ou plus de leurs aînés sont autistes.
Quelque 80% de tous les enfants autistes sont des garçons, ce qui a été confirmé dans cette dernière étude qui a porté sur 664 enfants âgés en moyenne de huit mois au début de la recherche, et dont les deux tiers ont été enrôlés avant l'âge de six mois.
Dans les familles ayant déjà un enfant souffrant d'autisme, le taux du syndrome chez ses frères et soeurs plus jeunes est de 20,1%. Il passe à 32,2% si plusieurs sont autistes.
Seulement 37 des participants de l'étude entraient dans cette dernière catégorie.
Les chercheurs ont suivi les participants jusqu'à trois ans, âge auquel ils ont été testés pour l'autisme.
«C'est l'étude la plus étendue portant sur les frères et soeurs cadets d'enfants autistes jamais effectuée», selon la Dre Sally Ozonoff, professeur de psychiatrie et de sciences du comportement au M.I.N.D Institute et principal auteur de cette recherche.
«Aucune autre étude n'avait jusqu'ici mis en évidence un risque aussi élevé d'autisme pour ces enfants», ajoute-t-elle dans un communiqué.
Article de la revue Pediatrics - pas trouvé en ligne encore. http://pediatrics.aappublications.org/
http://www.cyberpresse.ca/sciences/2011 ... fectee.php
Dans les familles ayant déjà un enfant souffrant d'autisme, le taux du syndrome chez ses frères et soeurs plus jeunes est de 20,1%. Il passe à 32,2% si plusieurs sont autistes.
Agence France-Presse - Washington
Le risque qu'un enfant souffre d'autisme est plus grand qu'on ne le pensait jusqu'alors lorsque l'un ou plusieurs de ses frères ou soeurs aînés est déjà atteint de ce syndrome complexe, selon une nouvelle estimation publiée lundi aux États-Unis.
Cette probabilité, estimée avant cette recherche entre 3 et 10%, est en réalité de 18,7%, montre cette vaste étude internationale menée par des chercheurs de l'Université de Californie à Davis et par le M.I.N.D Institute qui en fait partie.
Pour les garçons, le risque d'autisme est encore plus grand -- plus de 26%-- et dépasse les 32% si deux ou plus de leurs aînés sont autistes.
Quelque 80% de tous les enfants autistes sont des garçons, ce qui a été confirmé dans cette dernière étude qui a porté sur 664 enfants âgés en moyenne de huit mois au début de la recherche, et dont les deux tiers ont été enrôlés avant l'âge de six mois.
Dans les familles ayant déjà un enfant souffrant d'autisme, le taux du syndrome chez ses frères et soeurs plus jeunes est de 20,1%. Il passe à 32,2% si plusieurs sont autistes.
Seulement 37 des participants de l'étude entraient dans cette dernière catégorie.
Les chercheurs ont suivi les participants jusqu'à trois ans, âge auquel ils ont été testés pour l'autisme.
«C'est l'étude la plus étendue portant sur les frères et soeurs cadets d'enfants autistes jamais effectuée», selon la Dre Sally Ozonoff, professeur de psychiatrie et de sciences du comportement au M.I.N.D Institute et principal auteur de cette recherche.
«Aucune autre étude n'avait jusqu'ici mis en évidence un risque aussi élevé d'autisme pour ces enfants», ajoute-t-elle dans un communiqué.
Article de la revue Pediatrics - pas trouvé en ligne encore. http://pediatrics.aappublications.org/
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Re: Recherches sur l'autisme
C'est bien une réponse américaine, ça. Encore le syndrome NIH : Not Invented Here.Jean a écrit :«Aucune autre étude n'avait jusqu'ici mis en évidence un risque aussi élevé d'autisme pour ces enfants», ajoute-t-elle dans un communiqué.
En 2009, le Dr Tony Attwood donnait déjà le chiffre de 1/6 soit 16,7%.
Les américains trouvent aujourd'hui dans une nouvelle étude le chiffre de 18.7%, donc c'est ça la vérité.
On a de la chance que les chiffres soient proches.
Bernard (55 ans, aspie) papa de 3 enfants (dont 2 aspies)
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Re: Recherches sur l'autisme
Voilà le résumé de l'étude, daté du 15/08:
http://pediatrics.aappublications.org/c ... 5.abstract
Objective: The recurrence risk of autism spectrum disorders (ASD) is estimated to be between 3% and 10%, but previous research was limited by small sample sizes and biases related to ascertainment, reporting, and stoppage factors. This study used prospective methods to obtain an updated estimate of sibling recurrence risk for ASD.
Methods: A prospective longitudinal study of infants at risk for ASD was conducted by a multisite international network, the Baby Siblings Research Consortium. Infants (n = 664) with an older biological sibling with ASD were followed from early in life to 36 months, when they were classified as having or not having ASD. An ASD classification required surpassing the cutoff of the Autism Diagnostic Observation Schedule and receiving a clinical diagnosis from an expert clinician.
Results: A total of 18.7% of the infants developed ASD. Infant gender and the presence of >1 older affected sibling were significant predictors of ASD outcome, and there was an almost threefold increase in risk for male subjects and an additional twofold increase in risk if there was >1 older affected sibling. The age of the infant at study enrollment, the gender and functioning level of the infant's older sibling, and other demographic factors did not predict ASD outcome.
Conclusions: The sibling recurrence rate of ASD is higher than suggested by previous estimates. The size of the current sample and prospective nature of data collection minimized many limitations of previous studies of sibling recurrence. Clinical implications, including genetic counseling, are discussed.
http://pediatrics.aappublications.org/c ... 5.abstract
Objective: The recurrence risk of autism spectrum disorders (ASD) is estimated to be between 3% and 10%, but previous research was limited by small sample sizes and biases related to ascertainment, reporting, and stoppage factors. This study used prospective methods to obtain an updated estimate of sibling recurrence risk for ASD.
Methods: A prospective longitudinal study of infants at risk for ASD was conducted by a multisite international network, the Baby Siblings Research Consortium. Infants (n = 664) with an older biological sibling with ASD were followed from early in life to 36 months, when they were classified as having or not having ASD. An ASD classification required surpassing the cutoff of the Autism Diagnostic Observation Schedule and receiving a clinical diagnosis from an expert clinician.
Results: A total of 18.7% of the infants developed ASD. Infant gender and the presence of >1 older affected sibling were significant predictors of ASD outcome, and there was an almost threefold increase in risk for male subjects and an additional twofold increase in risk if there was >1 older affected sibling. The age of the infant at study enrollment, the gender and functioning level of the infant's older sibling, and other demographic factors did not predict ASD outcome.
Conclusions: The sibling recurrence rate of ASD is higher than suggested by previous estimates. The size of the current sample and prospective nature of data collection minimized many limitations of previous studies of sibling recurrence. Clinical implications, including genetic counseling, are discussed.
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Re: Recherches sur l'autisme
Des détails supplémentaires dans la traduction publiée par Autisme Information Science
http://autisme-info.blogspot.com/2011/0 ... unger.html
traduction de http://www.sciencedaily.com/releases/20 ... 095019.htm
http://autisme-info.blogspot.com/2011/0 ... unger.html
traduction de http://www.sciencedaily.com/releases/20 ... 095019.htm
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Re: Recherches sur l'autisme
Les traits autistiques dans la population générale sont-ils stables au cours du développement?
Whitehouse AJ, Hickey M, Ronald A.
Whitehouse AJ, Hickey M, Ronald A.
Voir le reste sur http://autisme-info.blogspot.com/2011/0 ... neral.htmlcette étude a trouvé une légère stabilité développementale des troubles sociaux de la petite enfance à l'âge adulte chez les garçons.
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: Recherches sur l'autisme
La conscience syntaxique: corrélations probables avec une cohérence centrale et intelligence non verbale dans l'autisme.
Varanda CD, Fernandes FD.
Varanda CD, Fernandes FD.
Le reste sur http://autisme-info.blogspot.com/2011/0 ... bable.htmlLes résultats suggèrent que ces enfants semblent suivre le modèle de développement d'un développement normal d'un enfant de 6 ans dont les capacités de conscience syntaxique, sont seulement retardées.
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: Recherches sur l'autisme
Autism and cancer risk - B. Crespi - 5/08/2011
Article intégral en ligne (anglais)
Traduction sur http://autisme-info.blogspot.com/2011/0 ... -risk.html
Résumé :
Une revue de littérature a été menée sur les bases génétiques et développementales de l'autisme par rapport aux gènes et des voies associées à un risque de cancer.
Lignes convergentes de preuves à partir de quatre types d'analyse:
(
Cette preuve devrait motiver d'autres études épidémiologiques, et il fournit des indications utiles sur la nature des facteurs génétiques, épigénétiques et environnementaux qui sous-tendent les étiologies de l'autisme, d'autres affections neurologiques, et la carcinogenèse.
Extraits :
La théorie du cerveau masculin extrême,(...) prédit que les taux de cancer devraient être élevés dans l'autisme pour les cancers dont le développement est potentialisé ou médié par la testostérone et les stéroïdes sexuels, telles que les cancers du sein, des ovaires et l'utérus.
(...) les femmes ayant des troubles du spectre autistique ou un enfant autiste ont rapporté une incidence significativement plus élevée d'un ou plusieurs parents proches atteints de cancer des ovaires (a), de tumeurs ou excroissances, (b) cancer de l'utérus, les tumeurs, ou des croissances, ou (c) de cancer de la prostate. De même, les mères de beaucoup plus d'enfants avec autisme rapportent des antécédents familiaux de cancer du sein, des ovaires, ou des cancers utérins ou des excroissances, par rapport aux groupes contrôles. Ces données fournissent un support préliminaire pour l'hypothèse que les taux de testostérone à médiation du cancer peut être plus élevés chez les individus du spectre autistique, étant donné que l'autisme est fortement héréditaire. Les mécanismes de risque de cancer accru peuvent impliquer à la fois des effets prénataux sur les pools de cellules souches, qui potentialisent le risque de cancer [Baik et al., 2005], et les effets directs des niveaux d'hormones sur le développement de cancers dans la vie ultérieure.
Une étude récente [a] trouvé des corrélations hautement significatives du taux d'autisme avec l'incidence de cancer du sein in situ, mais pas avec les taux des autres cancers, à travers les Etats, après contrôle parmi les-différences méthodes de déclaration.
Pris ensemble, cette preuve de schizophrénie, la maladie de Parkinson et d'Alzheimer suggère que les maladies neurologiques impliquant un certain degré de neurodégénérescence peuvent engendrer des risques relativement faibles de cancer.
Article intégral en ligne (anglais)
Traduction sur http://autisme-info.blogspot.com/2011/0 ... -risk.html
Résumé :
Une revue de littérature a été menée sur les bases génétiques et développementales de l'autisme par rapport aux gènes et des voies associées à un risque de cancer.
Lignes convergentes de preuves à partir de quatre types d'analyse:
(
- 1) de récentes études théoriques sur les causes de l'autisme,
(2) les études épidémiologiques,
(3) les analyses génétiques reliant l'autisme avec des mutations dans des gènes suppresseurs de tumeurs et autres cancers associés à des gènes et des voies, et
(4) contraste avec la schizophrénie, maladie de Parkinson et la maladie d'Alzheimer indiquent que l'autisme peut impliquer un risque de cancer altéré.
Cette preuve devrait motiver d'autres études épidémiologiques, et il fournit des indications utiles sur la nature des facteurs génétiques, épigénétiques et environnementaux qui sous-tendent les étiologies de l'autisme, d'autres affections neurologiques, et la carcinogenèse.
Extraits :
La théorie du cerveau masculin extrême,(...) prédit que les taux de cancer devraient être élevés dans l'autisme pour les cancers dont le développement est potentialisé ou médié par la testostérone et les stéroïdes sexuels, telles que les cancers du sein, des ovaires et l'utérus.
(...) les femmes ayant des troubles du spectre autistique ou un enfant autiste ont rapporté une incidence significativement plus élevée d'un ou plusieurs parents proches atteints de cancer des ovaires (a), de tumeurs ou excroissances, (b) cancer de l'utérus, les tumeurs, ou des croissances, ou (c) de cancer de la prostate. De même, les mères de beaucoup plus d'enfants avec autisme rapportent des antécédents familiaux de cancer du sein, des ovaires, ou des cancers utérins ou des excroissances, par rapport aux groupes contrôles. Ces données fournissent un support préliminaire pour l'hypothèse que les taux de testostérone à médiation du cancer peut être plus élevés chez les individus du spectre autistique, étant donné que l'autisme est fortement héréditaire. Les mécanismes de risque de cancer accru peuvent impliquer à la fois des effets prénataux sur les pools de cellules souches, qui potentialisent le risque de cancer [Baik et al., 2005], et les effets directs des niveaux d'hormones sur le développement de cancers dans la vie ultérieure.
Une étude récente [a] trouvé des corrélations hautement significatives du taux d'autisme avec l'incidence de cancer du sein in situ, mais pas avec les taux des autres cancers, à travers les Etats, après contrôle parmi les-différences méthodes de déclaration.
Pris ensemble, cette preuve de schizophrénie, la maladie de Parkinson et d'Alzheimer suggère que les maladies neurologiques impliquant un certain degré de neurodégénérescence peuvent engendrer des risques relativement faibles de cancer.
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Re: Recherches sur l'autisme
La découverte des chercheurs américains promet des réponses sur l'autisme
Publié le 10 septembre http://autisme-info.blogspot.com/2011/0 ... mises.html
Des chercheurs ont pour la première fois identifié deux souches biologiquement différentes de l'autisme dans une percée majeure étant comparée à la découverte des différentes formes de cancer dans les années 1960. (...)
Un groupe d'enfants - tous des garçons - avaient un cerveau plus volumineux et la plupart avaient régressé dans l'autisme après 18 mois d'âge; un autre groupe semblait avoir un système immunitaire qui ne fonctionnait pas correctement. (...)
David Amaral, Professeur de psychiatrie qui a mené l' étude longitudinale du MIND Institute's, dit que les résultats pourraient conduire à un traitement plus individualisé. «Le but ultime, c'est quand un enfant arrive à la clinique, plutôt que de dire que vous êtes autiste, d'être en mesure de dire que vous avez le type d'autisme A, B, type ou, ou de type C», le Dr Amaral dit.
"Et puis en fonction de cette description, nous saurions s'il y a un profil de traitement différent que nous devrions recommander aux familles.
"Par exemple, si un enfant a une forme immunitaires de l'autisme, il se peut que ce que nous voulons faire est de manipuler le système immunitaire plutôt que d'essayer autre chose qui peut être lié à des fonctions synaptiques dans le cerveau."
Source : The Australian - US researchers' discovery promises answers on autism
L'information a été diffusée à l'occasion de
Publié le 10 septembre http://autisme-info.blogspot.com/2011/0 ... mises.html
Des chercheurs ont pour la première fois identifié deux souches biologiquement différentes de l'autisme dans une percée majeure étant comparée à la découverte des différentes formes de cancer dans les années 1960. (...)
Un groupe d'enfants - tous des garçons - avaient un cerveau plus volumineux et la plupart avaient régressé dans l'autisme après 18 mois d'âge; un autre groupe semblait avoir un système immunitaire qui ne fonctionnait pas correctement. (...)
David Amaral, Professeur de psychiatrie qui a mené l' étude longitudinale du MIND Institute's, dit que les résultats pourraient conduire à un traitement plus individualisé. «Le but ultime, c'est quand un enfant arrive à la clinique, plutôt que de dire que vous êtes autiste, d'être en mesure de dire que vous avez le type d'autisme A, B, type ou, ou de type C», le Dr Amaral dit.
"Et puis en fonction de cette description, nous saurions s'il y a un profil de traitement différent que nous devrions recommander aux familles.
"Par exemple, si un enfant a une forme immunitaires de l'autisme, il se peut que ce que nous voulons faire est de manipuler le système immunitaire plutôt que d'essayer autre chose qui peut être lié à des fonctions synaptiques dans le cerveau."
Source : The Australian - US researchers' discovery promises answers on autism
L'information a été diffusée à l'occasion de
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Re: Recherches sur l'autisme
Même conférence à Perth (Australie) : signalé par referentiel autisme
Perth study seeks autism signs in unborn
http://www.perthnow.com.au/news/western ... 6132836782
Une étude à Perth recherche des signes d'autisme avant la naissance
Belinda Tasker De: AAP 9 septembre 2011 - Traduction Asperansa
Une étude de Perth va essayer de trouver des signes de l'autisme chez les enfants à naître des femmes qui ont déjà donné naissance à un enfant autiste.
Décider s'il faut avoir un autre bébé après avoir élevé un enfant autiste est un processus plein d’angoisse pour de nombreux parents
Les femmes qui ont un enfant autiste font face à un risque de 18 % d'avoir ensuite un bébé développant ce trouble neurobiologique, qui provoque des problèmes dans les compétences sociales et de communication.
Contre toute attente, un manque de preuves concrètes sur les causes du désordre, et ce qui est souvent un long processus pour obtenir un diagnostic pour leur enfant autiste basé sur les symptômes comportementaux, de nombreuses familles vont de l'avant et ont un autre bébé.
Une étude a commencé à Perth pour évaluer s'il pourrait y avoir des signes pendant la seconde grossesse de ces femmes à haut risque qui pourraient signaler si leurs bébés à naître vont également développer l'autisme.
Dirigé par Andrew Whitehouse, Senior Research Fellow à l'Institut Téléthon de la recherche en santé des enfants, l'étude s'appuie sur les données de l'étude de longue durée Raine, qui a révélé des liens entre l'exposition élevée de testostérone dans l'utérus et les mesures d’une tête plus large chez les bébés qui ont développé plus tard l'autisme .
Deux cents femmes enceintes, dont la moitié ont déjà des enfants autistes, sont recrutées pour l'étude, qui comprendra des images échographiques de haute technologie, images de cerveaux de leurs bébés à naître durant toute la grossesse.
Un collègue du Dr Whitehouse, Tony Murphy, a développé une méthode unique en créant des modèles 3D du cerveau de l'enfant à naître qui permettra aux scientifiques pour la première fois de mesurer l'organe dans les moindres détails, y compris sa largeur et sa profondeur.
Des études antérieures ont indiqué que les enfants qui ont développé l'autisme avaient des têtes plus grandes in utero à 18 semaines, suggérant un développement atypique du cerveau.
`` Nous avons tous la preuve circonstancielle que le développement atypique peut commencer in utero pour l'autisme », dit le Dr Whitehouse à AAP.
`` Ce que nous faisons est d'utiliser cette technologie dans le monde d'abord pour voir si c'est effectivement le cas et nous croyons certainement que nous aurons des résultats solides.
`` Ce que nous espérons faire est d'identifier les facteurs de risque ou des marqueurs biologiques qui peuvent nous dire si ce foetus pourrait être à risque accru d'autisme tard dans la vie afin que nous puissions accroître la surveillance de cet enfant après sa naissance.''
Une fois que les bébés naissent, leurs cordons ombilicaux seront testés pour voir si les mamans qui ont eu des enfants autistes dans le passé ont des niveaux élevés de testostérone, ce qui a déjà été relié à des retards de langage chez les enfants.
Le Dr Whitehouse a dit que si les scientifiques ont pu découvrir les marqueurs biologiques communs à l'autisme tandis qu'un bébé était encore dans l'utérus, il serait beaucoup plus facile d'identifier les enfants à risque de développer la maladie, en particulier dans les familles qui ont déjà un enfant qui a été diagnostiqué.
`` Nous voyons souvent des familles avec des enfants de deux, trois et quatre autistes,''a-t-il dit.
`` Alors cette situation sur l'opportunité de concevoir à nouveau est enveloppé dans tellement d'angoisse.
`` Alors que les familles reconnaissent les talents uniques qu’ont leurs enfants, elles reconnaissent aussi les difficultés qu'ils rencontrent.''
Le Dr Whitehouse va discuter cette recherche à une conférence internationale sur l'autisme organisée par l'Association de l'autisme de l'Australie-Occidentale à Perth aujourd'hui.
Perth study seeks autism signs in unborn
http://www.perthnow.com.au/news/western ... 6132836782
Une étude à Perth recherche des signes d'autisme avant la naissance
Belinda Tasker De: AAP 9 septembre 2011 - Traduction Asperansa
Une étude de Perth va essayer de trouver des signes de l'autisme chez les enfants à naître des femmes qui ont déjà donné naissance à un enfant autiste.
Décider s'il faut avoir un autre bébé après avoir élevé un enfant autiste est un processus plein d’angoisse pour de nombreux parents
Les femmes qui ont un enfant autiste font face à un risque de 18 % d'avoir ensuite un bébé développant ce trouble neurobiologique, qui provoque des problèmes dans les compétences sociales et de communication.
Contre toute attente, un manque de preuves concrètes sur les causes du désordre, et ce qui est souvent un long processus pour obtenir un diagnostic pour leur enfant autiste basé sur les symptômes comportementaux, de nombreuses familles vont de l'avant et ont un autre bébé.
Une étude a commencé à Perth pour évaluer s'il pourrait y avoir des signes pendant la seconde grossesse de ces femmes à haut risque qui pourraient signaler si leurs bébés à naître vont également développer l'autisme.
Dirigé par Andrew Whitehouse, Senior Research Fellow à l'Institut Téléthon de la recherche en santé des enfants, l'étude s'appuie sur les données de l'étude de longue durée Raine, qui a révélé des liens entre l'exposition élevée de testostérone dans l'utérus et les mesures d’une tête plus large chez les bébés qui ont développé plus tard l'autisme .
Deux cents femmes enceintes, dont la moitié ont déjà des enfants autistes, sont recrutées pour l'étude, qui comprendra des images échographiques de haute technologie, images de cerveaux de leurs bébés à naître durant toute la grossesse.
Un collègue du Dr Whitehouse, Tony Murphy, a développé une méthode unique en créant des modèles 3D du cerveau de l'enfant à naître qui permettra aux scientifiques pour la première fois de mesurer l'organe dans les moindres détails, y compris sa largeur et sa profondeur.
Des études antérieures ont indiqué que les enfants qui ont développé l'autisme avaient des têtes plus grandes in utero à 18 semaines, suggérant un développement atypique du cerveau.
`` Nous avons tous la preuve circonstancielle que le développement atypique peut commencer in utero pour l'autisme », dit le Dr Whitehouse à AAP.
`` Ce que nous faisons est d'utiliser cette technologie dans le monde d'abord pour voir si c'est effectivement le cas et nous croyons certainement que nous aurons des résultats solides.
`` Ce que nous espérons faire est d'identifier les facteurs de risque ou des marqueurs biologiques qui peuvent nous dire si ce foetus pourrait être à risque accru d'autisme tard dans la vie afin que nous puissions accroître la surveillance de cet enfant après sa naissance.''
Une fois que les bébés naissent, leurs cordons ombilicaux seront testés pour voir si les mamans qui ont eu des enfants autistes dans le passé ont des niveaux élevés de testostérone, ce qui a déjà été relié à des retards de langage chez les enfants.
Le Dr Whitehouse a dit que si les scientifiques ont pu découvrir les marqueurs biologiques communs à l'autisme tandis qu'un bébé était encore dans l'utérus, il serait beaucoup plus facile d'identifier les enfants à risque de développer la maladie, en particulier dans les familles qui ont déjà un enfant qui a été diagnostiqué.
`` Nous voyons souvent des familles avec des enfants de deux, trois et quatre autistes,''a-t-il dit.
`` Alors cette situation sur l'opportunité de concevoir à nouveau est enveloppé dans tellement d'angoisse.
`` Alors que les familles reconnaissent les talents uniques qu’ont leurs enfants, elles reconnaissent aussi les difficultés qu'ils rencontrent.''
Le Dr Whitehouse va discuter cette recherche à une conférence internationale sur l'autisme organisée par l'Association de l'autisme de l'Australie-Occidentale à Perth aujourd'hui.
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Re: Recherches sur l'autisme
Je tiens à signaler que hormis le discrédit des théories des chapelles de la psychanalyse la détection in utero de l'autisme a déjà suscité de nombreux commentaires.
Notamment des prix nobel de mathématiques ont indiqué qu'une politique eugéniste liée à la détection in utero visant à pratiquer un génocide de la population neuro-atypique conduirait inmanquablement à un recul dans l'évolution scientifique de lespèce humaine et notammment parce que le constat est clair que les avancées de la science et en particulier des mathématiques est avant tout l'oeuvre de neuro-atypiques comme les avancées en mathématique le prouve ainsi que le nombre de prix nobel neuro-atypique.
Ceci rejoint une théorie darwiniennne développée par des aspies qui prone que l'autisme n'est qu'une variante génétique de ce que préfigure un homme nouveau où la part intellectuelle du fonctionnement du cerveau prime sur la part émotionnelle (mammiférien ancien).
Notamment des prix nobel de mathématiques ont indiqué qu'une politique eugéniste liée à la détection in utero visant à pratiquer un génocide de la population neuro-atypique conduirait inmanquablement à un recul dans l'évolution scientifique de lespèce humaine et notammment parce que le constat est clair que les avancées de la science et en particulier des mathématiques est avant tout l'oeuvre de neuro-atypiques comme les avancées en mathématique le prouve ainsi que le nombre de prix nobel neuro-atypique.
Ceci rejoint une théorie darwiniennne développée par des aspies qui prone que l'autisme n'est qu'une variante génétique de ce que préfigure un homme nouveau où la part intellectuelle du fonctionnement du cerveau prime sur la part émotionnelle (mammiférien ancien).
Modifié en dernier par snip le lundi 12 septembre 2011 à 0:17, modifié 2 fois.
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Re: Recherches sur l'autisme
La détection in utero ouvrirait, jusqu'à présent, la voie à la sélection génétique.
Mais ce n'est pas automatique. Cela dépend des autres avancées de la recherche et des pratiques d'éducation.
Cela dépend aussi d'une vision de l'autisme comme étant autre chose qu'un "fléau".
Mais ce n'est pas automatique. Cela dépend des autres avancées de la recherche et des pratiques d'éducation.
Cela dépend aussi d'une vision de l'autisme comme étant autre chose qu'un "fléau".
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Re: Recherches sur l'autisme
L'autisme vu commme élément de l'évolution de l'espèce humaine est un élément de réflexion qui n'est pas à négliger.Jean a écrit :La détection in utero ouvrirait, jusqu'à présent, la voie à la sélection génétique.
Mais ce n'est pas automatique. Cela dépend des autres avancées de la recherche et des pratiques d'éducation.
Cela dépend aussi d'une vision de l'autisme comme étant autre chose qu'un "fléau".
Depuis que l'univers existe les mutations génétiques ont joué un grand rôle et celles de l'autisme ne peuvent que nous interroger.
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Re: Recherches sur l'autisme
Ou régression!snip a écrit :L'autisme vu comme élément de l'évolution de l'espèce humaine est un élément de réflexion qui n'est pas à négliger.
Au sens neutre, sans aucune notion de mieux ou moins bien, comme dans le principe d'évolution, on a déjà vue que le mode de fonctionnement autistique a pas mal de lien de parenté avec un mode de fonctionnement d'avant celui du social, comme les TDA ont été rattaché a l'époque chasseur cueilleur (un peut moins social aussi que le sédentaire).
Si ce membre social abstrait et lacunaire dans l'autisme est lié a une besoin spécifique a une époque, si l'évolution du contexte fait que cet organe fonctionnel n'est plus nécessaire, alors l'autisme aura quelque chose d'un élément non pas d'évolution, mais de révolution.
Reconnu humain à la naissance.
Aucun diagnostique plus pertinent depuis!
"L'homme qui sait ne parle pas, L'homme qui parle ne sait pas." (Lao Tseu) ... J'arrête pas d'le dire!
Aucun diagnostique plus pertinent depuis!
"L'homme qui sait ne parle pas, L'homme qui parle ne sait pas." (Lao Tseu) ... J'arrête pas d'le dire!
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Re: Recherches sur l'autisme
Les sauts dans le temps des autistes japonais
C'est dans la préfecture d’Ishikawa, située sur la plus grande île du Japon, Honshû, que deux jeunes hommes autistes auraient vécu des « glissements temporels». Ceux-ci ont été diagnostiqués par S. Tochi moto, K. KurataetT. Munesue, auteurs d’un récent article sur ces cas. De quoi s’agit-il ? Les deux autistes dont il est fait mention dans l’étude ont en quelque sorte « revécu » des souvenirs d’un événement passé. Et dans chacun des cas, ces remémorations très vivantes d’événements parfois fort peu plaisants ont donné lieu à des réactions violentes.
Pour le premier patient, l’épisode « revécu » était traumatisant. Le jeune homme avait 16 ans lorsqu’il fut reçu dans une unité de l’hôpital de Kahuko, où travaille l’un des trois auteurs de l’article. L’adolescent n’accusait pas de retard de langage mais restait solitaire et n’entretenait aucune relation amicale avec autrui depuis l’enfance. Maltraité par un autre élève au collège, il avait ensuite refusé de retourner à l’école et s’était isolé chez lui. Quelques années plus tard, il s’est remémoré l’incident et a expérimenté les mêmes sentiments de peur et de frustration que ceux vécus à l’époque. Même s’il ne souhaitait pas s’en rappeler ; le même souvenir «vivant» s’est manifesté à nouveau, plusieurs fois de suite. Le jeune homme a alors pensé que la détresse causée par le fait de revivre cet événement cesserait s’il se vengeait de l’adolescent qui l’avait brutalisé. Il s’est donc rendu au domicile de ce dernier armé d’un couteau. C’est alors qu’il a été admis aux urgences de l’hôpital de Kahuko.
On pourrait penser que les réactions violentes dues à ces glissements temporels sont causées par des souvenirs traumatisants. Mais dans le second cas, l’épisode incriminé était plus trivial — d’où la perplexité des chercheurs de l’étude. Le jeune autiste avait 27 ans lors de sa première admission à l’hôpital de Kahuko. Il éprouvait des difficultés à avoir des amis. Battu par d’autres élèves, il avait abandonné ses études pour s’isoler. Un jour, il vit son voisin jeter un mégot de cigarette devant sa maison. Par la suite, à chaque fois qu’il voyait le voisin ou qu’il entendait le son de sa voix, le jeune autiste voulait quitter la maison et maudissait l’homme en question. Son comportement se fit de plus en plus violent, jusqu’à menacer le voisin avec un sabre de bois.
Les trois auteurs de l’étude indiquent que sur 7 patients autistes reçus dans l’unité d’urgences psychiatriques de l’hôpital de Kahuko, pas moins de 4 avaient fait l’expérience de ces «glissements temporels ». Plus surprenant, le phénomène semble inconnu en dehors du Japon. Ces glissements temporels affectent-ils d’autres autistes dans le monde? Impossible de le savoir actuellement...
JUSTINE CANONNE
S.Tochimoto, K. Kurataetî. Munesue, ‘“Time slip” phenomenon in adolescents and adults with autism spectrum disorders: case series », Psychiatry and Clinical Neuroscieuces, 2011, 65(4).
LE CERCLE PSY N°2 SEPTEMBRE/OCTOBRE/NOVEMBRE 2011
C'est dans la préfecture d’Ishikawa, située sur la plus grande île du Japon, Honshû, que deux jeunes hommes autistes auraient vécu des « glissements temporels». Ceux-ci ont été diagnostiqués par S. Tochi moto, K. KurataetT. Munesue, auteurs d’un récent article sur ces cas. De quoi s’agit-il ? Les deux autistes dont il est fait mention dans l’étude ont en quelque sorte « revécu » des souvenirs d’un événement passé. Et dans chacun des cas, ces remémorations très vivantes d’événements parfois fort peu plaisants ont donné lieu à des réactions violentes.
Pour le premier patient, l’épisode « revécu » était traumatisant. Le jeune homme avait 16 ans lorsqu’il fut reçu dans une unité de l’hôpital de Kahuko, où travaille l’un des trois auteurs de l’article. L’adolescent n’accusait pas de retard de langage mais restait solitaire et n’entretenait aucune relation amicale avec autrui depuis l’enfance. Maltraité par un autre élève au collège, il avait ensuite refusé de retourner à l’école et s’était isolé chez lui. Quelques années plus tard, il s’est remémoré l’incident et a expérimenté les mêmes sentiments de peur et de frustration que ceux vécus à l’époque. Même s’il ne souhaitait pas s’en rappeler ; le même souvenir «vivant» s’est manifesté à nouveau, plusieurs fois de suite. Le jeune homme a alors pensé que la détresse causée par le fait de revivre cet événement cesserait s’il se vengeait de l’adolescent qui l’avait brutalisé. Il s’est donc rendu au domicile de ce dernier armé d’un couteau. C’est alors qu’il a été admis aux urgences de l’hôpital de Kahuko.
On pourrait penser que les réactions violentes dues à ces glissements temporels sont causées par des souvenirs traumatisants. Mais dans le second cas, l’épisode incriminé était plus trivial — d’où la perplexité des chercheurs de l’étude. Le jeune autiste avait 27 ans lors de sa première admission à l’hôpital de Kahuko. Il éprouvait des difficultés à avoir des amis. Battu par d’autres élèves, il avait abandonné ses études pour s’isoler. Un jour, il vit son voisin jeter un mégot de cigarette devant sa maison. Par la suite, à chaque fois qu’il voyait le voisin ou qu’il entendait le son de sa voix, le jeune autiste voulait quitter la maison et maudissait l’homme en question. Son comportement se fit de plus en plus violent, jusqu’à menacer le voisin avec un sabre de bois.
Les trois auteurs de l’étude indiquent que sur 7 patients autistes reçus dans l’unité d’urgences psychiatriques de l’hôpital de Kahuko, pas moins de 4 avaient fait l’expérience de ces «glissements temporels ». Plus surprenant, le phénomène semble inconnu en dehors du Japon. Ces glissements temporels affectent-ils d’autres autistes dans le monde? Impossible de le savoir actuellement...
JUSTINE CANONNE
S.Tochimoto, K. Kurataetî. Munesue, ‘“Time slip” phenomenon in adolescents and adults with autism spectrum disorders: case series », Psychiatry and Clinical Neuroscieuces, 2011, 65(4).
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père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: Recherches sur l'autisme
Un test pour détecter l’autisme à un an
Extrait de l'article du JIM reproduit sur le blog Autisme Information Science (étude de l'université de San Diego)
Extrait de l'article du JIM reproduit sur le blog Autisme Information Science (étude de l'université de San Diego)
Au total, le test de dépistage de terrain à 12 mois des troubles du développement a montré une valeur prédictive positive de 75%.
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans