De l'art de faire de bonnes réponses sur un mauvais cynisme (le mien).
Trouble de la communication = Souffrance de part et d'autre
L'équation est imprenable.
C'est a se demander comment on arriver a enfermer le problème "dans le porteur" du handicap.
A l'empacker en lui...
Au delà des aigreurs qui montent a cause présent sujet du packing, on est effectivement devant une mise en évidence d'un problème incroyable :
Si on visait le soin, on s'occuperait de la souffrance engendré en générale, or on ne vise que la "réparation".
C'est comme une fuite d'eau qui coule depuis des années et la société qui ne vise qu'a réparer la conduite d'eau en ignorant les énorme dégât des eaux que ça a engendré.
En fait ça explique même précisément le problème qui oppose des asso comme "defed autisme now" (vaincre l'autisme maintenant) qui vise a réparer, et les revendication autistes qui disent "ho, du calme, on fonctionne nous, on nous empêche juste de fonctionner a notre façon".
Tout se recolle une fois qu'on arrive a comprendre que la souffrance se situe dans l'entre deux, ce qui reste finalement le dernier tabou puisque si c'est entre deux la mère souffre, et si elle souffre elle deviens la mauvaise mère a l'origine de l'autisme.
Je crois que c'est le mécanisme qui se cache derrière le texte de michelle dawson
Le pire crime de bettelheim.
Les premières victimes après les enfants, ou avec les enfants, doivent conserver une image de non souffrance pour ne pas être perçu comme des bourreaux. Ca empêche de voir que la souffrance est dans la communication et pas dans l'enfant, qui vas et fonctionne souvent pas si mal sans communication.
Le problème est dans le social, dans l'entre deux.
Delion autorise a ne pas le voir.
Tous ceux qui ne veulent pas non plus le voir lui donne de la puissance!
