Le député insoumis a été interpellé en flagrant délit alors qu’il achetait de la 3-MMC, une drogue de synthèse, dans le métro, dans le 18e arrondissement, ce jeudi 17 octobre.
Il est convoqué pour notification d’une ordonnance pénale, indique le parquet de Paris à Valeurs actuelles.
https://www.valeursactuelles.com/politi ... tupefiants
[Index Politique] Pour discuter de politique, c'est par ici !
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Re: [Index Politique] Pour discuter de politique, c'est par ici !
Fils de 16 ans dont le diagnostic est confirmé.
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Re: [Index Politique] Pour discuter de politique, c'est par ici !
PetitNuage a écrit : ↑mercredi 6 novembre 2024 à 9:35 Les résultats des élections aux Etats-Unis.
Qu'un président qui nie le dérèglement climatique se retrouve à la tête du deuxième pays le plus pollueur de la planète, ça fait froid dans le dos.
Je ne comprends pas qu'un homme qui a été reconnu coupable dans une affaire pénale puisse être candidat à ce poste.
Partageant votre incompréhension totale, j'ai, en cherchant rapidement, trouvé un article datant de juin 2023 qui offre des explications sur ces différents points :
Cette nouvelle inculpation, comme les affaires et scandales précédents, a peu de chances d’entamer le soutien des électeurs républicains à l’ancien président. Elle pourrait même le renforcer, d’autant que, s’il est reconnu coupable, Trump resterait de toute façon éligible.
En effet, selon la Constitution et le 14ᵉ amendement, seule une condamnation pour insurrection ou rébellion pourrait le disqualifier. Théoriquement, il pourrait donc faire campagne depuis une prison, comme l’a déjà fait un autre candidat, Eugene Debbs, en 1920. Et s’il venait à être élu, il tenterait sans doute de se gracier lui-même de ses crimes fédéraux.
Et, ce que j'ai trouvé très éclairant quant au vote pro-Trump :Le problème réside dans le fait que, hormis cette base pro-Trump très radicalisée, homogène et unie autour de l’ancien président, les électeurs républicains sont divisés. Ceux qui seraient éventuellement prêts à opter pour un autre candidat que lui le sont pour des raisons variées et à des degrés divers. Et presque un tiers d’entre eux (soit 20 % des électeurs républicains) semblent ne pas avoir trouvé de candidat alternatif et se disent donc prêts à se rallier à Trump.
Le défi de n’importe quel concurrent de l’ancien président consiste non seulement à rassembler un pourcentage suffisamment important d’électeurs républicains sous une même bannière, mais aussi à se placer à la fois comme héritier et rival de Donald Trump. Or ce dernier n’hésite pas à attaquer violemment tout adversaire pouvant constituer une menace sérieuse, comme il le fait avec DeSantis.
Note pour le dernier paragraphe : et l'attaque contre lui en juillet 2024 a, je pense, été bien exploitée (cf. la fameuse image du pansement sur l'oreille, et tout le discours qui s'en est suivi) pour que cela aille nourrir cette image du martyr.Le ressentiment racial et une crise identitaire comme facteurs d’unité
Dès que l’ancien président est mis en difficulté, par exemple au moment de sa première mise en examen, une vaste majorité (70 %) de sympathisants républicains s’est ralliée à lui et a semblé adhérer à l’idée que toute inculpation est motivée par des considérations politiques. De même, et de façon plus inquiétante, une majorité continue de croire que l’élection de 2020 leur a été volée, y compris une partie de ceux qui reconnaissent, aujourd’hui, l’absence de preuve.
Cette permanence du soupçon illustre non seulement que la perception compte davantage que la réalité, mais aussi qu’il existe une forme de paranoïa symptomatique d’une crise identitaire dont les racines se situent dans l’anxiété économique et le ressentiment racial. La recherche a largement documenté (ici, ici, ici ou ici) que les électeurs de Donald Trump étaient essentiellement blancs, non diplômés, évangéliques et de classe moyenne. Ces études concluent également que ce sont d’abord les questions d’identité – surtout liées à la race, à l’immigration, à la religion et au genre –, davantage que l’économie, qui ont été les forces motrices de l’élection de Trump en 2016.
Pour une partie de cet électorat américain blanc, il existe en effet ce que la sociologue Arlie Hochschild appelle « une histoire profonde » :celle de Blancs de la classe moyenne qui seraient mis à l’écart par des groupes minoritaires, abandonnés par le gouvernement, victimisés et traités avec mépris par une élite de gauche.
Le ressentiment de ces Blancs non diplômés qui se jugent délaissés vient en partie de leur affaiblissement démographique : leur part dans l’électorat est passée de 69 % en 1980 à 39 % en 2020, et devrait tomber à 30 % d’ici à 2032.
Une stratégie de l’émotion
Le succès de Donald Trump vient de son charisme et de sa capacité à utiliser une stratégie de l’émotion basée sur la peur, le sentiment de rancune et d’humiliation. Ceci en s’appuyant sur sa propre rancœur envers les élites new-yorkaises, puis envers Barack Obama à travers ses allégations de birtherism, l’élection d’un président noir ayant contribué à polariser encore plus la politique américaine autour de la question raciale.
Ce qui est remarquable, et peut-être contre-intuitif, c’est que ce récit de ressentiment racial est parfois même adopté par des minorités qui éprouvent de l’antipathie à l’égard d’autres groupes minoritaires. Une étude récente montre, par exemple, la croissance du nombre de Latinos, comme d’autres personnes de couleur, dans le mouvement suprémaciste blanc.
Enfin, Trump a pu s’appuyer sur la peur des chrétiens blancs évangéliques, comme l’a montré Kristin Kobes Du Mez, en leur offrant un récit du « carnage américain » qui résonne avec leurs croyances eschatologiques de déclin et de destruction à la fin des temps.
Trump, martyr et superhéros
Donald Trump a construit autour de sa personne un récit où il est une victime, voire un martyr, auquel s’identifie cet électorat et, en même temps, un superhéros hypemasculinisé dans lequel ses partisans peuvent se projeter, y compris quand la victime annonce qu’elle se fera bourreau des responsables de leurs malheurs . À la veille des élections de 2016 il se disait ainsi être la voix des « oubliés » ; avant celles de 2024, il se présente comme leur « guerrier » et leur justicier, promettant d’être la « rétribution » et le « châtiment » pour « ceux qui ont été lésés et trahis ».
Edit : du même auteur, spécialiste des questions politiques américaines, il y a cet article d'octobre 2024 :
Diagnostiquée TSA en janvier 2021. Conjoint diagnostiqué TSA en octobre 2020.
Site : Tout Sur l'Autisme (ressources et documents)
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Re: [Index Politique] Pour discuter de politique, c'est par ici !
Il semblerait que l'enseignement général aux États-Unis soit d'un niveau très faible comparé à ce qu'on a l'habitude de voir en Europe. (On nous a probablement enseigné plus d'histoire américaine que d'histoire européenne aux Américains p. ex.) Du coup on peut effectivement imaginer que les Américains non diplômés manquent cruellement de connaissances sur le fonctionnement politique de leur propre pays et encore plus sur le reste du monde.
Spoiler :
Détectée HQI dans l'enfance, diagnostiquée TSA de type syndrome d'Asperger en juillet 2015.
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Re: [Index Politique] Pour discuter de politique, c'est par ici !
Ne critiquons pas les américains car en Europe, on ne se comporte pas mieux. Il suffit de voir que des candidats très douteux, incompétents ou ultra-provocateurs sont élus dans notre assemblée nationale. On ne vote pas avec la raison mais de manière très basique.
On ne vote plus pour des idées mais on vote contre les idées des autres ou pour revendiquer une identité politique. Et les américains sont comme les européens, ils votent sans rien attendre.
On ne vote plus pour des idées mais on vote contre les idées des autres ou pour revendiquer une identité politique. Et les américains sont comme les européens, ils votent sans rien attendre.
Ayant une maladie et des soucis en plus, on m'a pré-diagnostiqué Asperger et j'ai eu une confirmation assez incertaine depuis. Résultat, je continue de douter.
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Re: [Index Politique] Pour discuter de politique, c'est par ici !
Un sale type de plus dans un gouvernement,je suis dans l'incompréhension totale de ces élections.
Certaines personnes,tant que le porte monnaie est pleins,ne vont pas s'inquiéter outre mesure que ce type a tellement de casseroles aux fesses,que c'est même plus des casseroles,c'est des grands plats pour la paella,c'est une brocante le type,
Où comment lécher les bottes d'une grosse ordure dégueulasse,pour son petit nombril.
Ou alors c'est éventuellement truqué, j'arrive même pas a me dire que c'est possible,d'en revouloir une couche de cet immonde dégueulasse.
Ils ont remangé le vieux vomi séché d'il y a quelques années quoi.
Certaines personnes,tant que le porte monnaie est pleins,ne vont pas s'inquiéter outre mesure que ce type a tellement de casseroles aux fesses,que c'est même plus des casseroles,c'est des grands plats pour la paella,c'est une brocante le type,
Où comment lécher les bottes d'une grosse ordure dégueulasse,pour son petit nombril.
Ou alors c'est éventuellement truqué, j'arrive même pas a me dire que c'est possible,d'en revouloir une couche de cet immonde dégueulasse.
Ils ont remangé le vieux vomi séché d'il y a quelques années quoi.
Modifié en dernier par Ostara le mercredi 6 novembre 2024 à 17:42, modifié 1 fois.
Diagnostic TSA avec suspicion de TDA associé,trouble anxio-dépressif de type épuisement.
Ma page perso fragrantica: https://www.fragrantica.fr/members/58816
Savoir,Vouloir,Oser,
Se taire.
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Re: [Index Politique] Pour discuter de politique, c'est par ici !
lucius a écrit : ↑mercredi 6 novembre 2024 à 16:17 Ne critiquons pas les américains car en Europe, on ne se comporte pas mieux. Il suffit de voir que des candidats très douteux, incompétents ou ultra-provocateurs sont élus dans notre assemblée nationale. On ne vote pas avec la raison mais de manière très basique.
On ne vote plus pour des idées mais on vote contre les idées des autres ou pour revendiquer une identité politique. Et les américains sont comme les européens, ils votent sans rien attendre.
Si on ne votez pas pour une identité politique on ne serait plus vraiment dans une démocratie dont la force ou la faiblesse tout dépend du point de vue est la pluralité (en excès ? ) mais juste une république comme celle revendiqué idéalement par Platon ou celles plus pragmatique et "récentes" qui ont pu exister comme les Provinces unis (pays-bas maintenant ) ou les républiques italiennes ( Venise , Gênes etc )
TSA confirmé le 01/05/24.
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Re: [Index Politique] Pour discuter de politique, c'est par ici !
Ce n'est pas ce que je voulais dire. Je dis juste qu'un type choisit son/sa candidat-e comme on choisit son équipe de foot ou sa lessive savoir savoir si elle est plus efficace. C'est plus une question d'identité sans connaitre les idées. Je l'ai pu constater des gens qui suivait un candidat mais ignorait les 3/' de son programme et ne récitait que les grandes lignes. Personnellement, je préfére voter pour un projet réaliste, pragmatique, réaliste que voter pour un type qui communique bien mais qui n'a pas le niveau.Hydrean a écrit : ↑mercredi 6 novembre 2024 à 16:58lucius a écrit : ↑mercredi 6 novembre 2024 à 16:17 Ne critiquons pas les américains car en Europe, on ne se comporte pas mieux. Il suffit de voir que des candidats très douteux, incompétents ou ultra-provocateurs sont élus dans notre assemblée nationale. On ne vote pas avec la raison mais de manière très basique.
On ne vote plus pour des idées mais on vote contre les idées des autres ou pour revendiquer une identité politique. Et les américains sont comme les européens, ils votent sans rien attendre.
Si on ne votez pas pour une identité politique on ne serait plus vraiment dans une démocratie dont la force ou la faiblesse tout dépend du point de vue est la pluralité (en excès ? ) mais juste une république comme celle revendiqué idéalement par Platon ou celles plus pragmatique et "récentes" qui ont pu exister comme les Provinces unis (pays-bas maintenant ) ou les républiques italiennes ( Venise , Gênes etc )
Ayant une maladie et des soucis en plus, on m'a pré-diagnostiqué Asperger et j'ai eu une confirmation assez incertaine depuis. Résultat, je continue de douter.
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Re: [Index Politique] Pour discuter de politique, c'est par ici !
Curiouser a écrit : ↑mercredi 6 novembre 2024 à 15:17PetitNuage a écrit : ↑mercredi 6 novembre 2024 à 9:35 Les résultats des élections aux Etats-Unis.
Qu'un président qui nie le dérèglement climatique se retrouve à la tête du deuxième pays le plus pollueur de la planète, ça fait froid dans le dos.
Je ne comprends pas qu'un homme qui a été reconnu coupable dans une affaire pénale puisse être candidat à ce poste.Partageant votre incompréhension totale, j'ai, en cherchant rapidement, trouvé un article datant de juin 2023 qui offre des explications sur ces différents points :Cette nouvelle inculpation, comme les affaires et scandales précédents, a peu de chances d’entamer le soutien des électeurs républicains à l’ancien président. Elle pourrait même le renforcer, d’autant que, s’il est reconnu coupable, Trump resterait de toute façon éligible.
En effet, selon la Constitution et le 14ᵉ amendement, seule une condamnation pour insurrection ou rébellion pourrait le disqualifier. Théoriquement, il pourrait donc faire campagne depuis une prison, comme l’a déjà fait un autre candidat, Eugene Debbs, en 1920. Et s’il venait à être élu, il tenterait sans doute de se gracier lui-même de ses crimes fédéraux.Et, ce que j'ai trouvé très éclairant quant au vote pro-Trump :Le problème réside dans le fait que, hormis cette base pro-Trump très radicalisée, homogène et unie autour de l’ancien président, les électeurs républicains sont divisés. Ceux qui seraient éventuellement prêts à opter pour un autre candidat que lui le sont pour des raisons variées et à des degrés divers. Et presque un tiers d’entre eux (soit 20 % des électeurs républicains) semblent ne pas avoir trouvé de candidat alternatif et se disent donc prêts à se rallier à Trump.
Le défi de n’importe quel concurrent de l’ancien président consiste non seulement à rassembler un pourcentage suffisamment important d’électeurs républicains sous une même bannière, mais aussi à se placer à la fois comme héritier et rival de Donald Trump. Or ce dernier n’hésite pas à attaquer violemment tout adversaire pouvant constituer une menace sérieuse, comme il le fait avec DeSantis.
Note pour le dernier paragraphe : et l'attaque contre lui en juillet 2024 a, je pense, été bien exploitée (cf. la fameuse image du pansement sur l'oreille, et tout le discours qui s'en est suivi) pour que cela aille nourrir cette image du martyr.Le ressentiment racial et une crise identitaire comme facteurs d’unité
Dès que l’ancien président est mis en difficulté, par exemple au moment de sa première mise en examen, une vaste majorité (70 %) de sympathisants républicains s’est ralliée à lui et a semblé adhérer à l’idée que toute inculpation est motivée par des considérations politiques. De même, et de façon plus inquiétante, une majorité continue de croire que l’élection de 2020 leur a été volée, y compris une partie de ceux qui reconnaissent, aujourd’hui, l’absence de preuve.
Cette permanence du soupçon illustre non seulement que la perception compte davantage que la réalité, mais aussi qu’il existe une forme de paranoïa symptomatique d’une crise identitaire dont les racines se situent dans l’anxiété économique et le ressentiment racial. La recherche a largement documenté (ici, ici, ici ou ici) que les électeurs de Donald Trump étaient essentiellement blancs, non diplômés, évangéliques et de classe moyenne. Ces études concluent également que ce sont d’abord les questions d’identité – surtout liées à la race, à l’immigration, à la religion et au genre –, davantage que l’économie, qui ont été les forces motrices de l’élection de Trump en 2016.
Pour une partie de cet électorat américain blanc, il existe en effet ce que la sociologue Arlie Hochschild appelle « une histoire profonde » :celle de Blancs de la classe moyenne qui seraient mis à l’écart par des groupes minoritaires, abandonnés par le gouvernement, victimisés et traités avec mépris par une élite de gauche.
Le ressentiment de ces Blancs non diplômés qui se jugent délaissés vient en partie de leur affaiblissement démographique : leur part dans l’électorat est passée de 69 % en 1980 à 39 % en 2020, et devrait tomber à 30 % d’ici à 2032.
Une stratégie de l’émotion
Le succès de Donald Trump vient de son charisme et de sa capacité à utiliser une stratégie de l’émotion basée sur la peur, le sentiment de rancune et d’humiliation. Ceci en s’appuyant sur sa propre rancœur envers les élites new-yorkaises, puis envers Barack Obama à travers ses allégations de birtherism, l’élection d’un président noir ayant contribué à polariser encore plus la politique américaine autour de la question raciale.
Ce qui est remarquable, et peut-être contre-intuitif, c’est que ce récit de ressentiment racial est parfois même adopté par des minorités qui éprouvent de l’antipathie à l’égard d’autres groupes minoritaires. Une étude récente montre, par exemple, la croissance du nombre de Latinos, comme d’autres personnes de couleur, dans le mouvement suprémaciste blanc.
Enfin, Trump a pu s’appuyer sur la peur des chrétiens blancs évangéliques, comme l’a montré Kristin Kobes Du Mez, en leur offrant un récit du « carnage américain » qui résonne avec leurs croyances eschatologiques de déclin et de destruction à la fin des temps.
Trump, martyr et superhéros
Donald Trump a construit autour de sa personne un récit où il est une victime, voire un martyr, auquel s’identifie cet électorat et, en même temps, un superhéros hypemasculinisé dans lequel ses partisans peuvent se projeter, y compris quand la victime annonce qu’elle se fera bourreau des responsables de leurs malheurs . À la veille des élections de 2016 il se disait ainsi être la voix des « oubliés » ; avant celles de 2024, il se présente comme leur « guerrier » et leur justicier, promettant d’être la « rétribution » et le « châtiment » pour « ceux qui ont été lésés et trahis ».
Edit : du même auteur, spécialiste des questions politiques américaines, il y a cet article d'octobre 2024 :
Pour compléter et mettre à jour
https://www.ouest-france.fr/monde/etats ... 1c37658659
TSA confirmé le 01/05/24.
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Re: [Index Politique] Pour discuter de politique, c'est par ici !
https://www.youtube.com/watch?v=SMfkNtxjQzo
bonne synthèse je trouve.
bonne synthèse je trouve.
Diagnostic d'autisme chez un psychiatre. Pas certain du diagnostic." Glorieuse civilisation, certes, dont le grand problème est de savoir comment se débarrasser des monceaux de cadavres qu'elle a faits, une fois la bataille passée." Marx
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Re: [Index Politique] Pour discuter de politique, c'est par ici !
Ouais, va falloir prendre acte. f(47) = f(45)
Wait and see.
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Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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