Devant le diagnostique c'est certain.snip a écrit :Et 1 pour 70 pour les hommes. Nous ne sommes pas tous égaux.
La question de femme ayants la même base de trouble mais restant moins décelable reste ouverte.
Si elle ont (en moyenne biensur) des capacités de compensation plus forte en raison d'une capacité a la communication un peut plus développé par nature, ça fait du monde dans cet espace de difficulté intermédiaire non identifié.
De là a y reconnaître pas mal de mère d'enfants autistes injustement accusée elle même ...
Mais a-t-on encore la possibilité de l'évoquer quant tout évoque la triste accusation faite aux mères qui ont été acculé a une apparence de perfection, alors que rien de prouve que la distance relative ne tiens pas simplement du respect de l'enfant, et peut être même d'une complicité, d'une affinité inaccessible a certains psy qui n'ont donc eut de cesse de la casser.
(décidément c'est matinée polémique, mais j'aimerais tellement que ça ne soit plus tabou cette histoire.)
Le site aapel propose un différentiel qui expose les point commun et les différences.Jean a écrit :Tu veux bien dire : diagnostic bipolaire, puis ensuite diagnostic d'aspie ? Ou le contraire ?
Mais les deux peuvent se rencontrer ensemble, non ?
http://www.aapel.org/asp/AGaspergerornot.html
En terme diagnostique généralement une case interdit l'autre (souvent en petit caractère dans le CIM : si aucun autre diagnostique de conviens mieux)
Si on vise des considérations autres ça peut vite devenir ardu, risqué aussi, mais intéressant.