Les problèmes de compréhension de l'entourage
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Re: Les problèmes de compréhension de l'entourage
Ne serait-il pas souhaitable dans ce cas de couper les ponts avec la famille, si vraiment ils ne veulent rien savoir ?
Fils de 16 ans dont le diagnostic est confirmé.
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Re: Les problèmes de compréhension de l'entourage
Je ne suis pas le mieux placé pour répondre dans le sens qu'ayant une famille dysfonctionnelle, ils ne sont déjà pas prêt à accueillir les avis, sentiments et émotions donc question la question de partager le fait d'être TSA ne se pose pas.
Tout dépend l'importance combien il importe à la personne d'être comprise par son entourage. J'entends par là que certaines personnes se satisferont de relations superficielles et épisodiques avec leur famille tandis que pour d'autres il est important de maintenir des relations profondes comme fréquentes.
Je crois qu'en tant qu'autiste nous devons faire tenter en partie de masquer nos difficultés pour nous intégrer mais uniquement jusqu'à une certaine limite (différente pour chacun) faute de quoi nous risquons de perdre de vue qui nous sommes réellement et nous épuiser inutilement à nous adapter aux autres.
C'est très personnel mais je trouve qu'il y a un dogme des "parents dieu" autant au sein des familles que de la société qui peut nous donner l'impression que nous sommes de mauvaises personnes si nous prenons de la distance avec nos parents et nous culpabiliser le cas échéant. Evidemment que c'est tout faux, les parents sont des personnes adultes comme n'importe quelles autres et si la relation avec eux nous nuit (comme le fait de ne pas être compris), il n'y a aucun mal à prendre de la distance pour se préserver, l'important étant que cela ne nous impacte pas trop.
L'idéal étant de favoriser des relations qui nous font du bien, dans la famille ou en dehors, et pour que ces relations nous fassent du bien, il faut que nous puissions être autant que possible nous même dans la relation. Je crois qu'il n'est pas facile pour un non autiste de comprendre ce que représente réellement l'autisme mais cela n'empêche pas les non autistes de nous accepter tel que nous sommes.
Bref, autant nous entourer de personnes qui nous acceptent, nous font du bien et nous comprennent (en partie) car me concernant je ne me sens jamais aussi moi-même que lorsque je n'ai pas besoin de masquer (et croyez-moi je suis le champion du masking, genre à faire la courverture de "masking magazine").
Tout dépend l'importance combien il importe à la personne d'être comprise par son entourage. J'entends par là que certaines personnes se satisferont de relations superficielles et épisodiques avec leur famille tandis que pour d'autres il est important de maintenir des relations profondes comme fréquentes.
Je crois qu'en tant qu'autiste nous devons faire tenter en partie de masquer nos difficultés pour nous intégrer mais uniquement jusqu'à une certaine limite (différente pour chacun) faute de quoi nous risquons de perdre de vue qui nous sommes réellement et nous épuiser inutilement à nous adapter aux autres.
C'est très personnel mais je trouve qu'il y a un dogme des "parents dieu" autant au sein des familles que de la société qui peut nous donner l'impression que nous sommes de mauvaises personnes si nous prenons de la distance avec nos parents et nous culpabiliser le cas échéant. Evidemment que c'est tout faux, les parents sont des personnes adultes comme n'importe quelles autres et si la relation avec eux nous nuit (comme le fait de ne pas être compris), il n'y a aucun mal à prendre de la distance pour se préserver, l'important étant que cela ne nous impacte pas trop.
L'idéal étant de favoriser des relations qui nous font du bien, dans la famille ou en dehors, et pour que ces relations nous fassent du bien, il faut que nous puissions être autant que possible nous même dans la relation. Je crois qu'il n'est pas facile pour un non autiste de comprendre ce que représente réellement l'autisme mais cela n'empêche pas les non autistes de nous accepter tel que nous sommes.
Bref, autant nous entourer de personnes qui nous acceptent, nous font du bien et nous comprennent (en partie) car me concernant je ne me sens jamais aussi moi-même que lorsque je n'ai pas besoin de masquer (et croyez-moi je suis le champion du masking, genre à faire la courverture de "masking magazine").
TSA diagnostiqué