Je ne suis pas contre en hôpital SI les membres hospitaliers sont OK. Mais dire que j'ai connu une femme qui souffrait du dos et qui cherchait à avoir sur le marché noir un médicament car déjà atteint la dose maxi que la médecine lui autorisait... ET dépendante, accroc.hazufel a écrit : ↑dimanche 12 mai 2024 à 13:47Dans les exemples que je mentionne, il ne peut y avoir de dérives en pratiques hospitalières encadrées par des protocoles, des validations des organisations de santé, de pratiques de remboursement de la Cpam et des mutuelles. Étant donné le prix du médicament, ces prescriptions sont très surveillées.Spoiler :
Je ne vous souhaite pas de souffrir d’une de ces pathologies sans possibilités d’autres solutions thérapeutiques, dans ce « contre » non argumenté.
Il ne faut pas perdre de vue que l'accoutumance et la dépendance peuvent entrainer des effets secondaires entre deux doses... dont la douleur (avoir mal pour inciter à reprendre une dose. Douleur non causée par la vraie cause de douleur naturelle, soignée, mais uniquement par le cerveau et sa dépendance... Et donc de créer tjrs + de douleur si accro.) Ça, c'est un premier point... (Tout comme d'autres médicaments vont créer une anxiété accrue entre deux doses de quelque chose sensée faire passer l'angoisse.)
Le deuxième point vu avec ces personnes devenues accrocs: elles REFUSENT de tester un autre traitement (essayer aussi l'hypnose et d'autres choses). On ne leur dit pas qu'on va les priver de ce traitement si on voit que les autres techniques ne marchent pas, on leur demande juste d'essayer EN PARALLELE, aussi pour voir si on peut baisser les doses, les éloigner entre elles, voir aussi faire des fenêtres thérapeutiques.
Et dire que je ne connais pas la douleur: depuis l'adolescence j'ai mal aux genoux et on s'en moquait... maintenant on sait que lié à croissance bloquée, usure prématurée, etc. Je suis très inflammatoire par nature. Actuellement (heure)? Mal aux genoux (mais niveau 2-3 totalement supportable) et à un talon. La nuit il m'arrive de peiner à dormir. Mais, selon si vital (/travail par exemple), je ne prendrais pas forcément cachet et forcément somnifère. Et j'ai voulu voir et je sais que l'électrostimulation peut me soulager bcp + parfois (Quand multifractures, dans un lit à l'hôpital, certains de leurs cachets ne suffisaient pas. Et j'ai vu que utiliser mon truc me soulageait/mes genoux. La glace aussi/fractures mais pas que. Mais là encore, EUX, à surtout et uniquement me proposer cachets (marché financier...) plutôt que me proposer de la glace, etc., surtout entre deux prises médicamenteuses.)
La Santé devrait favoriser l'utilisation des différentes méthodes (surtout que la glace ou l'hypnose ou... n'empêche pas la prise d'un médicament en parallèle...) mais elle favorise SURTOUT la prise de médicaments et n'encourage pas de voir si on peut les limiter en utilisant aussi d'autres méthodes... qui ne rapportent rien à la bourse de Paris ou de New York ou...
C'est comme post une intervention hémorroïdopexie où infecté + crise hémorroïdaire (et si!!!) + non cicatrisé... tellement mal qu'à pouvoir, quand besoin de faire, devoir me coucher au sol car à la limite de perdre connaissance... et le problème de réussir à uriner ou déféquer quand mal... Car la douleur entraine la crispation qui accentue la douleur...
Alors on ne va vous dire que... cachet.
Ayant bossé un peu auprès de jeunes polyhandicapés qui peuvent avoir mal... là, toutes les solutions n'étaient pas médicaments... mais des fois prendre dans les bras et serrer pour certains (/angoisse), d'autres... et pour le problème de ne pas réussir à uriner, déféquer pour x raisons: bain et avec le pommeau, à faire des cercles chauds (mais pas brûlants) sur le ventre, sorte de hydromassage. Ben ça marchait.
Et moi, tordue douleur, aller dans ma douche, et tant pis si ça inonde un peu, etc. à me faire couler de l'eau chaude, penser à un endroit rassurant, plaisant (essayer) et prier en chantant, peu à peu on finit par se détendre un peu, et, même si encore mal, la douleur a vraiment diminuer, on finit par réussir déjà à uriner (eurêka...) puis s'aider à faire ses selles (et le premier chir était mieux que le second salopard (car j'ai eu d'abord une ectomie avant la pexie des années + tard): il m'avait prescrit un tube de gel anesthésiant (que j'avais gardé et bien fait. Car utile aussi pour d'autres douleurs): ça anesthésie LOCALEMENT pendant une certaine durée, et permet ainsi de déféquer tranquille, etc.)) en réfléchissant +: éviter de constiper, etc.
Alors que si un médicament... on ne va pas chercher à faire attention, ni se dire qu'il faut maigrir/poids qui accentue la douleur, etc.
On m'a donné des tonnes de médicaments de niveau 2 (j'avoue pas 3. Ou je ne pense pas). J'en ai encore des tonnes de boite... Mais j'ai tjrs essayé de faire sans. Et garder une douleur parfois pour me rappeler que si je faisais du sport ou si je maigrissais, que si je fais mon électrostimulation, si je me mets mon GSIL, etc. ben, souvent, ça suffit ou ça avec un Doliprane.
Et ma douleur des hémorroïdes, c'est finalement un gastro qui au lieu de me prescrire encore... m'a prescrit pour stopper l'inflammation ET surtout une pommade cicatrisante (ce, en + des urgences, qui m'avait prescrit du Daflon à 1g/j que le gastro a dit de passer à 3g/j). Vrai bonheur quand vu que, effectivement inflammation à diminuer et enfin cicatriser (en une semaine ça a cicatrisé. Vraiment du bonheur après + de 2 mois à n'avoir que des opïoides comme prescription à la con)
C'est comme pour les vaccins. Business is business. Je ne suis pas sûr à 300% que, au-dessus, ce qui les décide, ça soit vraiment le soucis de l'autre ET de son devenir dans la durée.
Et il suffit de discuter avec des MEDECINS addictologues qui exprimeront bien que c'est à double tranchant...
On m'a refilé à une époque de l'alprazolam: génial mais dépendance!!! A l'avoir senti (encore aujourd'hui. C'est comme la cigarette à une certaine époque) et j'ai eu des effets secondaires physiques... et où je me suis renseignée et ai dû résister, et pire que ne pas prendre au départ presque... (à trembler, +++ etc.)
Ma grand-mère est devenue diabétique insuline-dépendante après avoir eu de la cortisone...
Certains médecins, au fond, se moquent de ce qu'ils provoquent (vraiment. Regardez House mais c'est assez une réalité. Et, encore, lui, il se montre sincère!)
Donc j'ai appris à me méfier car, comme me l'ont dit des spécialistes pas revus depuis 15 ans (pas sur place), eux à me dire qu'on m'a + détruite ces dernières années que soignée. Qu'avant j'étais déjà ce que je suis et je ne prenais pas d'anti-dépresseur, je faisais du sport, je mangeais correctement, certes fatiguée par à coups, hyperactive par stress, les ets m'adoraient car j'évacuais mon stress par l'activité, etc. Que, là... Et mes amis de longue date pensent de même.
J'avais fait confiance en un médecin qui m'avait dit que je me sentirais bcp mieux en prenant...
Là, ceux à médicament, ils ne sont plus là et ne l'ont jamais été pour me faire faire du sport, pour les techniques intelligentes.
Pour mes genoux, j'avoue que le maintien apaise légèrement aussi (genouillères) ainsi que les bas de contention (action anti-douleur/circulation sanguine et maintien).
Moi, je suis plutôt à déjà essayer et commencer par TOUTES les autres techniques (je n'ai jamais testé l'hypnose) et ensuite cachet choisit selon la douleur et inflammation résiduelles.
En sachant en + qu'on a un foie et des reins. Et que même si plante, ben ça reste...
https://theconversation.com/antidouleur ... ance-76714
Donc EN HÔPITAL pas contre MAIS à condition de mettre AUSSI en place les AUTRES techniques.
Perso encore/mes fractures: ça a été du bonheur dès que plus le plâtre: à foncer à la piscine. Ça m'avait TERRIBLEMENT manqué. L'eau, c'est génial. Juste que, à l'heure actuelle, on réserve bcp les thermales aux riches. Je pense que si on couvrait vraiment, y compris voyage et logement, pour les pas riches certaines cures (alliant et/douleur et parfois pb de poids voir du manque de certaines sollicitations précises (car on peut faire du sport ET ne pas bien solliciter un muscle etc.) qui favorise la douleur), ceux-ci...!!!
Le cannabis ne soigne pas le tout, ni ne permet d'en guérir ou réduire dans le temps.
D'autres choses, si.