Mon résultat :
Majorité de B
Vous êtes un(e) petit(e) con(ne) ! On ne vous l’avait jamais dit ? Bah maintenant vous le savez, votre attitude est vraiment très limite. D’ailleurs quand il se passe quelque chose de mal dans votre immeuble on dit, en parlant de vous, “ c’est encore un coup de le (la) petit(e) con(ne) du 3ème”
Diagnostic TSA avec suspicion de TDA associé,trouble anxio-dépressif de type épuisement.
Majorité de A
Vous êtes un pommeau encrassé par le calcaire et au jet peu puissant. Une déception systématique lorsqu’on a besoin d’une bonne douche chaude. Vous êtes la honte des pommeaux de douche.
Décidément
Diagnostic TSA avec suspicion de TDA associé,trouble anxio-dépressif de type épuisement.
Une majorité de B :
Vous n'êtes pas un peuplier mais un vulgaire bouleau. En plus d'avoir un nom ridicule, vous êtes donc incapable de faire la différence entre un peuplier et vous. Vous méritez d'être abattu sans ménagement par un bûcheron canadien écoutant du Céline Dion et gavé aux « American Bun's ».
Diagnostic TSA avec suspicion de TDA associé,trouble anxio-dépressif de type épuisement.
Sortir dehors: bon contre la dépression, mauvais pour l'anxiété.
Rester à la maison: bon contre l'anxiété, mauvais pour la dépression.
Pour mon équilibre mental, je reste dans le cadre de la porte. [Je suis déprimé et anxieux. C'est équilibré.]
Cogito, ergoseum.
TSA niveau 1 (ex-Asperger) dans contexte HPI (hétérogène) confirmé en CRA fin 2019.
La plupart des gens font l'erreur.
L'orthographe correcte n'est pas « bille » mais « bille », l'usage ne tolère malheureusement que trop l'inversion du premier « l » avec le second.
Cogito, ergoseum.
TSA niveau 1 (ex-Asperger) dans contexte HPI (hétérogène) confirmé en CRA fin 2019.
Well, au sens strict du terme, c'est à peine exact : ce sont surtout les cendres qui ont tué les Pompéiens. Ce qui explique pourquoi les infrastructures sont si bien conservées.
Tests passés le 29/02/2024. Diagnostic officialisé le 26/03/2024.
"All these words I don't just say, and nothing else matters"
Je m'appelle Junkie, un jeune avion anthropomorphe. J'ai eu la chance d'être engagé par le groupe Hangar House, qui loue des hangars. Au début, j'étais agent d'accueil, puis j'ai été muté au service Attribution. À l'époque, notre directeur général était Skipper, et on a vu arriver Sparky en tant que directeur adjoint, embauché par Dotty.
Mais après le départ de Skipper, j'ai rapidement compris que quelque chose ne tournait pas rond dans les attributions de hangars. Tous les premiers mercredis du mois, Harland, un membre du Conseil d'Administration, débarquait au siège de Hangar House avec une liste de familles d'avions anthropomorphes avec enfants à caser dans les hangars disponibles. On devait se plier à cette liste, même si les dossiers des candidats n'étaient pas complets ou ne répondaient pas aux critères légaux.
Cette commission secrète, à laquelle participait Sparky devenu entre-temps directeur général, n'était ni annoncée ni documentée. Après chaque réunion, Sparky filait en Cheferie avec le tableau des attributions pour rencontrer Walrus. Moi et ma collègue, on était souvent obligés de modifier la liste, encore une fois en dehors des règles, et de compléter les dossiers pour qu'ils soient acceptés par la commission officielle.
La procédure normale basée sur un système de points était complètement bafouée. Certains dossiers repassaient en boucle, tandis que d'autres restaient oubliés dans un tiroir. Le critère d'ancienneté des demandes ? Inexistant. La gestion des dossiers en souffrance était tellement chaotique que des justificatifs se perdaient régulièrement.
En plus de tout ça, des critères non légaux étaient appliqués pour les hangars en périphérie d'aéroport, notamment ceux du square Plane Stadium, réservés aux demandeurs d'origine martienne. Lors de la commission officielle le lundi suivant, on présentait un tableau déjà rempli, alors qu'en théorie, cette commission était censée examiner et choisir les dossiers en fonction du nombre de points et des caractéristiques des hangars. Les membres extérieurs de la commission n'avaient aucune idée des manigances qui se déroulaient la semaine précédente.
Et puis, malgré mon bon travail, j'ai été licencié sous de faux prétextes. J'attends maintenant le verdict des prud'avions, persuadé que mon licenciement vise à maintenir ce système opaque en place.
Je suis marié et père de deux jeunes enfants qui ne sont pas encore autonomes à voler de nuit, et je m'inquiète pour notre avenir. J'accepte que mon témoignage soit publié et je suis prêt à répondre à la Justice.
:
