antidepresseur et TSA
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antidepresseur et TSA
Bonjour
Je crée un autre sujet pour des questions du même thème mais différentes.
Aux personnes ayant un diag TSA.
Avez-vous pris un antidepresseur temporairement qui vous a aidé à traverser une période difficile puis pu l'arrêter sans besoin d'en reprendre ensuite ?
Vivez vous habituellement sous antidepresseur et est-ce que vous préférez le prendre que de ne pas en avoir ?
Merci
Je crée un autre sujet pour des questions du même thème mais différentes.
Aux personnes ayant un diag TSA.
Avez-vous pris un antidepresseur temporairement qui vous a aidé à traverser une période difficile puis pu l'arrêter sans besoin d'en reprendre ensuite ?
Vivez vous habituellement sous antidepresseur et est-ce que vous préférez le prendre que de ne pas en avoir ?
Merci
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Re: antidepresseur et TSA
Je les ai arrêtés début 2019 après quelques mois. Pas grand féru de m'envoyer de la chimie, mais c'était grandement nécessaire à l'époque.
C'était seulement la seconde fois de ma vie que j'en prenais. Je croise les doigts pour ne pas en avoir de nouveau besoin.
Cogito, ergo seum.
TSA niveau 1 (ex-Asperger) dans contexte HPI (hétérogène) confirmé en CRA fin 2019.
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Re: antidepresseur et TSA
Je suis sous brintellix et j'ai du lorazépam, un anxiolytique.
Par le passé j'ai été sous prozac,et sous venlafaxine.
Par le passé j'ai été sous prozac,et sous venlafaxine.
Diagnostic TSA avec suspicion de TDA associé,trouble anxio-dépressif de type épuisement.
Ma page perso fragrantica: https://www.fragrantica.fr/members/58816
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Se taire.
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Re: antidepresseur et TSA
En ce qui me concerne la période difficile a duré plus de 40 ans, jusqu'à ce que ma psychiatre me mette sous Prozac et Risperdal.
Depuis, j'ai découvert ce qu'était vraiment vivre, et nous n'avons pas, elle et moi, pour objectif d'arrêter ce traitement.
Depuis, j'ai découvert ce qu'était vraiment vivre, et nous n'avons pas, elle et moi, pour objectif d'arrêter ce traitement.
Lilas - TSA (AHN - Centre Expert - 2015)
Mes romans :
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- Ma dame aux oiseaux
- Galaxies parallèles
- Les enfants de la lune rouge
- Et à venir prochainement La pie baladeuse
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Re: antidepresseur et TSA
D'accord merci et tu te sens mieux avec tes traitements j'imagine ?
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Re: antidepresseur et TSA
Retour très interessant merci
Et si ce n'est pas indiscret le risperdal c'est par rapport au TSA ou autre chose ? ( parcours de vie etc) pas besoin de m'expliquer les details c'est juste pour savoir si c'est pour le TSA.
Je n'ai pas droit aux antipsychotiques ou neuroleptiques j'y suis allergique.
Je m'interroge beaucoup car les anxiolytiques et antidépresseurs m'ont toujours apporté, sur le long terme, plus de negatif que de positif ( sur le plus court terme j'ai deja pu avoir des effets positifs d'un antidépresseur, un seul). Peu importe je ne cherche pas à temoigner car je n'ai pas de diagnostic mais en attendant faut bien que je sache si je continue à accepter des traitements ou pas... du coup merci pour vos réponses vous m'aiguillez un peu pour me faire une idée ...
étant convaincue d'être autiste...
et n'étant pas assez bien comprise par ma psychiatre actuelle
traits autistiques
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Re: antidepresseur et TSA
Le prozac m'avait bien aidée pour la dépression malgré les effets secondaires,un peu moins sur l'anxiété,mais ça a été le traitement le plus efficace (je rejoins Lilas du coup sur son expérience personnelle,mais moi sans risperdal)
La venlafaxine ne me faisait rien du tout,ni sur ma dépression ni sur l'anxiété,
Le brintellix me fais de moins en moins d'effets je suis obligée de combiner avec le lorazépam dans les moments critiques.
Voilà après chaques personnes réagit différemment,je ne parle que de mon expérience personnelle.
Mon anxiété n'as jamais disparue avec un seul de ces traitements,c'est juste que l'intensité est rendue plus supportable pour moi,me permet de ne pas m'épuiser "nerveusement".
Diagnostic TSA avec suspicion de TDA associé,trouble anxio-dépressif de type épuisement.
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Re: antidepresseur et TSA
Je profite de passer un peu par là pour répondre :
De mon côté, je suis sous Fluoxétine depuis 2 ans maintenant (avec une dose moyenne, juste en dessous de la dose maximale en gros) et ça se passe très bien depuis que je suis sous traitement. Au niveau de la dépression, ça a littéralement changé ma vie parce que je vivais vraiment très très mal les symptomes physiques de la dépression (au-delà du "psychique" en fait) et j'étais dans un état de dépression sévère depuis de nombreuses années.
Au niveau de l'anxiété, je ne prends plus aucun anxiolytique depuis un peu plus de 2 ans et le traitement antidépresseur a quand même bien atténué les états d'anxiété sévères que je pouvais avoir. Cela n'a pas tout résolu mais je pars du principe que le traitement est là pour me stabiliser en même temps que de mon côté, je bosse en psychothérapie pour retrouver une sorte d'équilibre.
Pour le moment, l'arrêt du traitement antidépresseur n'est pas prévu et j'avoue que je ne sais pas comment je pourrais le vivre si je l'arrêtais. Je pense que j'envisagerai de l'arrêter quand j'aurai retrouvé une vie un peu plus stable sur pas mal de plans et que je me sentirai moins "débordée" constamment par les émotions ou les évènements. Et que j'aurai suffisamment bossé en psychothérapie pour stabiliser tout ça, de manière à trouver un équilibre où les évènements "compliqués" ne me paraîtront plus aussi "fatals" qu'actuellement.
De mon côté, je suis sous Fluoxétine depuis 2 ans maintenant (avec une dose moyenne, juste en dessous de la dose maximale en gros) et ça se passe très bien depuis que je suis sous traitement. Au niveau de la dépression, ça a littéralement changé ma vie parce que je vivais vraiment très très mal les symptomes physiques de la dépression (au-delà du "psychique" en fait) et j'étais dans un état de dépression sévère depuis de nombreuses années.
Au niveau de l'anxiété, je ne prends plus aucun anxiolytique depuis un peu plus de 2 ans et le traitement antidépresseur a quand même bien atténué les états d'anxiété sévères que je pouvais avoir. Cela n'a pas tout résolu mais je pars du principe que le traitement est là pour me stabiliser en même temps que de mon côté, je bosse en psychothérapie pour retrouver une sorte d'équilibre.
Pour le moment, l'arrêt du traitement antidépresseur n'est pas prévu et j'avoue que je ne sais pas comment je pourrais le vivre si je l'arrêtais. Je pense que j'envisagerai de l'arrêter quand j'aurai retrouvé une vie un peu plus stable sur pas mal de plans et que je me sentirai moins "débordée" constamment par les émotions ou les évènements. Et que j'aurai suffisamment bossé en psychothérapie pour stabiliser tout ça, de manière à trouver un équilibre où les évènements "compliqués" ne me paraîtront plus aussi "fatals" qu'actuellement.
TSA sans déficience intellectuelle et sans altération du langage + trouble anxiodépressif associé - CRA régional (2021)
Ce n'est qu'en essayant continuellement que l'on finit par réussir.
Plus ça rate, plus on a de chances que ça marche. ~ Les Shadoks
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Re: antidepresseur et TSA
ok merci beaucoup pour vos réponses Ostara et Fluxus ça m'intéresse beaucoup !!
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Re: antidepresseur et TSA
J'ai pris à deux moments de ma vie des antidépresseurs.
Le premier fut lors de ma dépression sévère + burn out + anxiété. J'avais pris du Seroplex jusqu'au maximum pendant 5 ans et j'avais réussi à les arrêter petit à petit. Il y avait à la fois une aide mais aussi des effets secondaires importants (que je mettais sur les changements de traitement pour mon épilepsie), un vaste chantier. J'avais même arrêté le suivi avec ce psychiatre qui ne prenait pas en compte mes plaintes niveau médicamenteux. Il me donnait très facilement des anxiolytiques comme si c'était des bonbons, j'en prenais énormément. Là aussi, j'ai diminué et arrêté mais par moi même.
Le second fut quelques années plus tard. Je m'étais posée la question d'un TSA ayant toujours des problèmes de santé malgré mes efforts. Ma psychiatre m'avait mis sous antidépresseurs car elle m'avait diagnostiquée un trouble anxieux généralisé. J'en ai essayé 3 différents et le Brintellix m'avait énormément aidée au niveau cognitif mais aussi au niveau de mon anxiété. L'anxiété était toujours là mais elle était plus lointaine ce qui permet d'avoir une plus grande marge de manœuvre. Et en support, des anxiolytiques. Mais plus à prendre tout le temps, juste en cas d'angoisse forte et à une dose thérapeutique.
Deux ans après, on a décidé ensemble d'arrêter les antidépresseurs petit à petit. Très difficile de redescendre, L'anxiété est devenue de plus en plus proche de moi (elle n'était jamais partie) mais j'ai pris vraiment mon temps pour l'arrêter complètement.
Je suis très heureuse de ne plus en avoir et je n'en veux plus (à part si rechute grave bien sûr ce que je n'espère pas).
Aujourd'hui, je me mets à fond sur le concret / ce que j'aime et sur l'apaisement sensoriel. Au besoin, je prend un anxiolytique.
Je sais au fond qu'à un moment donné, je vais devoir m'y attaquer en psychothérapie et encore je ne sais même pas si ça changera grand chose pour ma part.
Chacun est différent et le besoin médicamenteux est évalué en fonction de différents critères. Il est important de discuter du bénéfice/risque et d'être attentif à ses hypersensibilités aux médicaments (pour ceux qui le sont).
Le premier fut lors de ma dépression sévère + burn out + anxiété. J'avais pris du Seroplex jusqu'au maximum pendant 5 ans et j'avais réussi à les arrêter petit à petit. Il y avait à la fois une aide mais aussi des effets secondaires importants (que je mettais sur les changements de traitement pour mon épilepsie), un vaste chantier. J'avais même arrêté le suivi avec ce psychiatre qui ne prenait pas en compte mes plaintes niveau médicamenteux. Il me donnait très facilement des anxiolytiques comme si c'était des bonbons, j'en prenais énormément. Là aussi, j'ai diminué et arrêté mais par moi même.
Le second fut quelques années plus tard. Je m'étais posée la question d'un TSA ayant toujours des problèmes de santé malgré mes efforts. Ma psychiatre m'avait mis sous antidépresseurs car elle m'avait diagnostiquée un trouble anxieux généralisé. J'en ai essayé 3 différents et le Brintellix m'avait énormément aidée au niveau cognitif mais aussi au niveau de mon anxiété. L'anxiété était toujours là mais elle était plus lointaine ce qui permet d'avoir une plus grande marge de manœuvre. Et en support, des anxiolytiques. Mais plus à prendre tout le temps, juste en cas d'angoisse forte et à une dose thérapeutique.
Deux ans après, on a décidé ensemble d'arrêter les antidépresseurs petit à petit. Très difficile de redescendre, L'anxiété est devenue de plus en plus proche de moi (elle n'était jamais partie) mais j'ai pris vraiment mon temps pour l'arrêter complètement.
Je suis très heureuse de ne plus en avoir et je n'en veux plus (à part si rechute grave bien sûr ce que je n'espère pas).
Aujourd'hui, je me mets à fond sur le concret / ce que j'aime et sur l'apaisement sensoriel. Au besoin, je prend un anxiolytique.
Je sais au fond qu'à un moment donné, je vais devoir m'y attaquer en psychothérapie et encore je ne sais même pas si ça changera grand chose pour ma part.
Chacun est différent et le besoin médicamenteux est évalué en fonction de différents critères. Il est important de discuter du bénéfice/risque et d'être attentif à ses hypersensibilités aux médicaments (pour ceux qui le sont).
Diagnostiquée TSA en octobre 2021 et épileptique depuis l'âge de 16 ans.
Mari diagnostiqué TSA en 2016.
Mari diagnostiqué TSA en 2016.
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Re: antidepresseur et TSA
J'ai été sous antidépresseurs en 2019, puis j'ai arrêté pendant environ 2 ans. Ma nouvelle psychiatre m'en à nouveau prescrit, ne cessant d'augmenter la dose à chaque fois à cause de ma dépression mais sans aucun résultat, à part me fatiguer encore plus que je ne le suis déjà.
Depuis, je cherche une autre solution.
Depuis, je cherche une autre solution.
Atteint de TAS, TPE, TSA,dyspraxie constructive visuo-spatiale.
Sors de dépression nerveuse.
En attente de diagnostic TDAH et/TPB et de TAG/TP.
THPI potentiel.
Hyperimpulsif.
Hypersensible.
Sors de dépression nerveuse.
En attente de diagnostic TDAH et/TPB et de TAG/TP.
THPI potentiel.
Hyperimpulsif.
Hypersensible.
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Re: antidepresseur et TSA
coucou
merci pour ta réponse !
Quel courage...
Je connais le Seroplex, pas l'autre.
Et je suis d'accord avec toi chaque cas est unique...
merci pour ta réponse !
Quel courage...
Je connais le Seroplex, pas l'autre.
Et je suis d'accord avec toi chaque cas est unique...
Kumi_44 a écrit : ↑jeudi 11 avril 2024 à 22:32 J'ai pris à deux moments de ma vie des antidépresseurs.
Le premier fut lors de ma dépression sévère + burn out + anxiété. J'avais pris du Seroplex jusqu'au maximum pendant 5 ans et j'avais réussi à les arrêter petit à petit. Il y avait à la fois une aide mais aussi des effets secondaires importants (que je mettais sur les changements de traitement pour mon épilepsie), un vaste chantier. J'avais même arrêté le suivi avec ce psychiatre qui ne prenait pas en compte mes plaintes niveau médicamenteux. Il me donnait très facilement des anxiolytiques comme si c'était des bonbons, j'en prenais énormément. Là aussi, j'ai diminué et arrêté mais par moi même.
Le second fut quelques années plus tard. Je m'étais posée la question d'un TSA ayant toujours des problèmes de santé malgré mes efforts. Ma psychiatre m'avait mis sous antidépresseurs car elle m'avait diagnostiquée un trouble anxieux généralisé. J'en ai essayé 3 différents et le Brintellix m'avait énormément aidée au niveau cognitif mais aussi au niveau de mon anxiété. L'anxiété était toujours là mais elle était plus lointaine ce qui permet d'avoir une plus grande marge de manœuvre. Et en support, des anxiolytiques. Mais plus à prendre tout le temps, juste en cas d'angoisse forte et à une dose thérapeutique.
Deux ans après, on a décidé ensemble d'arrêter les antidépresseurs petit à petit. Très difficile de redescendre, L'anxiété est devenue de plus en plus proche de moi (elle n'était jamais partie) mais j'ai pris vraiment mon temps pour l'arrêter complètement.
Je suis très heureuse de ne plus en avoir et je n'en veux plus (à part si rechute grave bien sûr ce que je n'espère pas).
Aujourd'hui, je me mets à fond sur le concret / ce que j'aime et sur l'apaisement sensoriel. Au besoin, je prend un anxiolytique.
Je sais au fond qu'à un moment donné, je vais devoir m'y attaquer en psychothérapie et encore je ne sais même pas si ça changera grand chose pour ma part.
Chacun est différent et le besoin médicamenteux est évalué en fonction de différents critères. Il est important de discuter du bénéfice/risque et d'être attentif à ses hypersensibilités aux médicaments (pour ceux qui le sont).
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Re: antidepresseur et TSA
Je te comprends totalement...
rekkan a écrit : ↑jeudi 18 avril 2024 à 21:49 J'ai été sous antidépresseurs en 2019, puis j'ai arrêté pendant environ 2 ans. Ma nouvelle psychiatre m'en à nouveau prescrit, ne cessant d'augmenter la dose à chaque fois à cause de ma dépression mais sans aucun résultat, à part me fatiguer encore plus que je ne le suis déjà.
Depuis, je cherche une autre solution.
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Re: antidepresseur et TSA
Heu j'ai pas vraiment le choix d'arrêter mes traitements. Je peux en mourir tellement je réagis mal à l'arrêt du traitement, ça m'est arrivé d'être proche de la mort.
Diagnostic d'autisme chez un psychiatre. Pas certain du diagnostic." Glorieuse civilisation, certes, dont le grand problème est de savoir comment se débarrasser des monceaux de cadavres qu'elle a faits, une fois la bataille passée." Marx