Avez-vous déja "soûlé" les autres avec certains domaines ?

[freeshost]

Je n'ai pas besoin saouler les autres.

Cela dit, je leur propose parfois une bonne bouteille de bière ou de vin.

[Ostara]

Je n'ai pas besoin saouler les autres.

Cela dit, je leur propose parfois une bonne bouteille de bière ou de vin.

Moi pour que tu me soûle bien alors,j'veut un rosé au melon s'il te plaît

[Fluxus]

Je n'ai pas besoin saouler les autres.

Cela dit, je leur propose parfois une bonne bouteille de bière ou de vin.

Ou une coupe colonel !

[seul]

Je suis très passionné mais j'arrive en général à me contenir dans ma parole, ne pas faire de trop long discours, surtout si je vois que la personne n'est pas intéressé. Niveau harcèlement à la fac j'ai pratiquement rien vécu contrairement au lycée et au collège.

[freeshost]

Je n'ai pas besoin saouler les autres.

Cela dit, je leur propose parfois une bonne bouteille de bière ou de vin.

Moi pour que tu me soûle bien alors,j'veut un rosé au melon s'il te plaît

Okay, je te sers du rosé dans ton demi-melon ?

Et un sorbet colonel pour Fluxus.

[MrMétaphysique]

Parfois, mais le plus souvent, je garde mes intérêts pour moi et je ne les partage que lorsque j’en ai particulièrement envie avec une personne précise. Je ne dévoile pas mon trésor à n’importe qui. Je ne ressens pas le besoin de le partager. Je le vis et il me comble de joie. Je sais d’expérience qu’on juge mes intérêts, soit parce que trop sérieux, soit parce qu’ils ne changent pas.

Ce avec quoi je saoule, en revanche, c’est plutôt la santé, ou ce qu’une personne pourrait faire pour améliorer quelque chose si j’en ai connaissance. Généralement, je me répète et je ne lâche pas ma proie. C’est difficile pour moi d’accepter le tabagisme, l’alcoolisme ou le gaspillage d’argent par exemple.

[Deoxys]

Oh oui, je me souviens même d'une fois où mon amie de collège m'a dit (à l'époque où j'avais des amis une grosse fixette sur un personnage de fiction) : "tu parles que [du personnage] et tu saoules tout le monde avec !"

Après, il doit y avoir aussi des fois où j'ai saoulé sans m'en rendre compte...
Genre par exemple, lors de ma dernière séance de thérapie de groupe, pendant la phase de pré-séance où l'on discute autour d'une collation, je me suis greffée à la discussion car ça parlait d'animaux. Dès ce moment-là, j'ai été en roue libre sur ce thème, la discussion ne tournait qu'autour de ça, et il a fallu passer à la séance pour que je réussisse à m'arrêter.
Et le truc c'est que je suis incapable de savoir si c'était saoulant ou pas pour les autres.

D'autres fois, c'est plus évident (en famille notamment, où là on est cash). Mon pôpa m'a d'ailleurs offert un mug "CHIEUSE À TEMPS COMPLET", avec une petite couronne pour accentuer mon statut de chieuse.

[Zebrizebra666]

Moi, je saoule avec la politique, à vouloir toujours aider x, y ou z, à ne pas supporter l'injustice, l'hypocrisie, etc., à avoir mal de voir souffrir, de voir faire du mal, etc.
Je saoule avec la sécurité.
Je saoule aussi avec les sciences.
Je saoule avec les animaux.
Je saoule à vouloir chercher où est la vérité.

Les magazines de femmes avec la mode, le maquillage, etc., ça ne m'intéresse absolument PAS.
L'art comme certains le conçoit: idem.
La cuisine: idem.
L'argent, gagner plein de fric: idem.
Faire les boutiques: idem (je déteste en + les séances d'habillage).
Je n'ai en général pas besoin de nouveaux vêtements et quand j'ai besoin, je sais précisément ce que je veux, et je trouve rarement en égrenant les magasins, en + du fait que ça me saoule. Sur internet, c'est + facile de retrouver précisément ce que j'aimerais.
Etc.

Par contre, on m'expliquerait le pourquoi du comment ma voiture broute, ben ça m'intéresserait.
De certaines nouveautés en sciences: idem.
Savoir le fin mot de certaines affaires: j'aimerais.
Un peu la politique, parce que ça joue sur nos vies: idem.

Et comme je suis une femme... Ben je n'avais aucun sujet de conversation aux pauses avec les femmes. A me faire sch... car, elles, chercher à savoir pourquoi la voiture... ou les sciences, etc. Et, moi, parler de mecs, de gosse, de cuisine, de mode: bof. A préférer encore bosser!

Coucou,

Je me reconnais un peu dans ce que tu dis, ça me gonfle ! Je fais exprès de me maquiller pour ne pas passer pour un individu de type Néandertal. Dans les magasins en période de solde, j'ai des bouffées de chaleur et je me sens oppressée. Dans les "moments conviviaux" je me force aussi car souvent je n'ai pas envie de parler, je n'ai aucun problème à rester dans le silence, cela me repose. Quand je me force à exercer les codes sociaux, je me sens dissonante, et ça sonne faux. Les gens viennent me voir et s'inquiètent de ma solitude, me proposent d'intégrer par exemple leur groupe. Je dis oui par politesse, pour ne pas être cataloguée. Mais ça me gonfle. Un jour j'ai dit en rigolant que je ne savais pas draguer, on m'a regardée comme si j'étais un ovni. Draguer c'est juste une somme de codes sociaux, du tralala. Tout ce qui necessite un "protocole social" me donne envie de fuir. Cette phrase de Brassens me résume bien: " le matin du 14 juillet, je reste dans mon lit douillet". J'ai des périodes où je trouve tout le monde stupide ou ridicule, je me moque beaucoup dans ma tête.

Les gens peuvent être saoulés quand je parle d'un sujet qui me passionne, car cela passe pour de la pedance. Parfois on m'a coupé la parole, où on me reproche tel centre d'intérêt plutôt que de passer tel moment en groupe.

[freeshost]

Il y a un monde entre les intérêts spécifiques, les discussions sérieuses et du pain et des jeux.

[Hydrean]

Non car je ne suis pas particulièrement bavard.
Après enfant, j'avais un ami pour parler des dinausaures, par exemple.

[ikh]

Non seulement je saoule, mais en plus je ne m'en rends pas compte; sauf quand on me le dit explicitement.
Exemple appris sur le tas: quand on donne une adresse avec comme numéro « 149 », ce n'est pas bien vu de s'étonner « c'est marrant, ce sont les carrés des trois premiers chiffres, comme les mensurations du monolithe de 2001 ! »

[Banjolo]

En gros oui voilà, comme on fait preuve d'une grande pédance nos cercles sociaux peuvent prendre ça pour de la soûlerie alors que ce ne l'est pas de première intention, pourtant on comprend que c'est pas facile de tout comprendre pour eux..

[Banjolo]

Je me rappelle en 4ème... J'avais été si barbant avec mes trains tellement que je connaissais tous les modèles de rames et certains en particulier que j'aimais énormément que je finissais par faire n'en avoir rien à cirer aux autres passé un moment... Et je m'en rappelle bien !

[Cerise]

Les trains ne m'ont jamais intéressée.

[ikh]

Mon fils a fait une « période trains », pendant laquelle il a emmagasiné des connaissances encyclopédiques sur le sujet. J'ai toujours trouvé particulièrement captivant les gens qui parlent de leur passion. Le discours a une précision et une ferveur qui me siéent.

Où l'on se rend compte que le défectif seoir a la même orthographe, conjugué au présent de la 3^ème personne du pluriel, que ce soit à l'indicatif ou au subjonctif. Moi je trouve ça notable, mais ça doit passer plusieurs hecto quintilliards de gibi parsecs au-dessus de la cafetière de la plupart des gens ...