[Index Littérature] Que lisez-vous ?

[Corarêva]

Bonjour, je suis en manque de bons romans, peu importe l'époque, pas policier, horreur, thriller surtout.

J'aime que l'écriture soit littéraire / poétique, disons vraiment une belle souplesse de phrase, une bonne intrigue aussi. Mais en ce moment, je ne trouve pas.

J'avais beaucoup aimé Le Clou de Zhang Yueran et Le temps où nous chantions ( sublime pour moi) de Richard Powers .

[Noura]

Bonjour, je suis en manque de bons romans, peu importe l'époque, pas policier, horreur, thriller surtout.

J'aime que l'écriture soit littéraire / poétique, disons vraiment une belle souplesse de phrase, une bonne intrigue aussi. Mais en ce moment, je ne trouve pas.

J'avais beaucoup aimé Le Clou de Zhang Yueran et Le temps où nous chantions ( sublime pour moi) de Richard Powers .

Je te conseille les romans d'Agnès Ledig, ni policier, ni horreur, ni thriller, avec une belle plume (mais pas particulièrement littéraire ou poétique) et une histoire attachante. D'autres romans que j'ai bien aimé : Patricia de Geneviève Damas et la conversation amoureuse de Alice Ferney. Il y a aussi Les déracinés de Catherine Bardon, magnifique roman et la saga La traversée des temps d'Eric Emmanuel Schmitt.

J'attends de voir les propositions d'autres personnes car j'aime le même genre de romans.

[Corarêva]

Merci, je n'ai pas trop aimé la conversation amoureuse d'Alice Ferney mais j'ai adoré Grâce et dénuement et je n'accroche pas avec la plume trop légère pour moi d'Eric Emmanuel Schmitt, je ne connais pas les autres, je vais regarder. Merci !

[Noura]

Merci, je n'ai pas trop aimé la conversation amoureuse d'Alice Ferney mais j'ai adoré Grâce et dénuement et je n'accroche pas avec la plume trop légère pour moi d'Eric Emmanuel Schmitt, je ne connais pas les autres, je vais regarder. Merci !

Je suis allée lire le résumé de Grâce et dénuement ; il me plaît. Il sera l'un des prochains romans que je lirai.

[Lilas]

J'aime que l'écriture soit littéraire / poétique

Un livre que j'ai adoré c'est Océan mer, d'Alessandro Baricco.

[Corarêva]

Je suis allée lire le résumé de Grâce et dénuement ; il me plaît. Il sera l'un des prochains romans que je lirai.

C'est rare mais j'avais pleuré, idem dans avec les Raisins de la Colère de Steinbeck, j'avais 14 ans et je me rappelle pleurer dans mon lit.


Lila : "Un livre que j'ai adoré c'est Océan mer, d'Alessandro Baricco."

Réservé en bibliothèque merci !

[vaecerise]

Bonjour, je suis en manque de bons romans, peu importe l'époque, pas policier, horreur, thriller surtout.

J'aime que l'écriture soit littéraire / poétique, disons vraiment une belle souplesse de phrase, une bonne intrigue aussi. Mais en ce moment, je ne trouve pas.

J'avais beaucoup aimé Le Clou de Zhang Yueran et Le temps où nous chantions ( sublime pour moi) de Richard Powers .

Je te conseille les romans d'Agnès Ledig, ni policier, ni horreur, ni thriller, avec une belle plume (mais pas particulièrement littéraire ou poétique) et une histoire attachante. D'autres romans que j'ai bien aimé : Patricia de Geneviève Damas et la conversation amoureuse de Alice Ferney. Il y a aussi Les déracinés de Catherine Bardon, magnifique roman et la saga La traversée des temps d'Eric Emmanuel Schmitt.

J'attends de voir les propositions d'autres personnes car j'aime le même genre de romans.

[hazufel]

Je viens de commencer Les Amazones, Quand les femmes étaient les égales des hommes (VIIIe siècle av. J.-C. – Ier siècle apr. J.-C.), Adrienne Mayor

Depuis l' Iliade (VIIIe siècle av. J.-C.) jusqu'à Pompée et ses expéditions militaires en Orient (Ier siècle av. J.-C.), en passant par Alexandre le Grand, les mythiques Amazones ont toujours fasciné les Grecs, puis les Romains : des guerrières qui rivalisaient avec les héros grecs par leur courage et leurs prouesses militaires, mais qui ressemblaient aussi aux Barbares – la légende disait qu'elles se coupaient le sein gauche pour tirer à l'arc et qu'elles se débarrassaient de leurs enfants mâles.
Mais les Amazones sont-elles seulement un mythe, un fantasme terrifiant inventé par les Grecs et les Romains ? Que peuvent-elles nous apprendre sur la réalité des civilisations avec lesquelles les Grecs étaient en relations commerciales ou guerrières ?
Dans ce livre qui fera date, Adrienne Mayor révèle que les Amazones trouvent leur origine dans la réalité historique et met à bas le mythe selon lequel il n'y aurait jamais eu de femmes guerrières. Les découvertes archéologiques faites dans ces immenses étendues où nomadisaient les Scythes – et donc les Amazones décrites par Hérodote – ont permis d'identifier sans doute possible les restes de guerrières mortes au combat. On a longtemps cru qu'un squelette accompagné d'armes était celui d'un homme. Les analyses modernes (en particulier génétiques) montrent que c'est faux dans un nombre considérable de cas !
Il n'y a jamais eu de guerrières se mutilant la poitrine ou tuant leurs fils, mais il y a eu des tribus scythes où les femmes combattaient à l'égal des hommes. Adrienne Mayor se lance à leur poursuite et nous invite à un fabuleux voyage historique jusqu'aux confins de la Chine.

[user6539]

Je viens de commencer Les Amazones, Quand les femmes étaient les égales des hommes (VIIIe siècle av. J.-C. – Ier siècle apr. J.-C.), Adrienne Mayor

Depuis l' Iliade (VIIIe siècle av. J.-C.) jusqu'à Pompée et ses expéditions militaires en Orient (Ier siècle av. J.-C.), en passant par Alexandre le Grand, les mythiques Amazones ont toujours fasciné les Grecs, puis les Romains : des guerrières qui rivalisaient avec les héros grecs par leur courage et leurs prouesses militaires, mais qui ressemblaient aussi aux Barbares – la légende disait qu'elles se coupaient le sein gauche pour tirer à l'arc et qu'elles se débarrassaient de leurs enfants mâles.
Mais les Amazones sont-elles seulement un mythe, un fantasme terrifiant inventé par les Grecs et les Romains ? Que peuvent-elles nous apprendre sur la réalité des civilisations avec lesquelles les Grecs étaient en relations commerciales ou guerrières ?
Dans ce livre qui fera date, Adrienne Mayor révèle que les Amazones trouvent leur origine dans la réalité historique et met à bas le mythe selon lequel il n'y aurait jamais eu de femmes guerrières. Les découvertes archéologiques faites dans ces immenses étendues où nomadisaient les Scythes – et donc les Amazones décrites par Hérodote – ont permis d'identifier sans doute possible les restes de guerrières mortes au combat. On a longtemps cru qu'un squelette accompagné d'armes était celui d'un homme. Les analyses modernes (en particulier génétiques) montrent que c'est faux dans un nombre considérable de cas !
Il n'y a jamais eu de guerrières se mutilant la poitrine ou tuant leurs fils, mais il y a eu des tribus scythes où les femmes combattaient à l'égal des hommes. Adrienne Mayor se lance à leur poursuite et nous invite à un fabuleux voyage historique jusqu'aux confins de la Chine.

Nous avons, Il me semble, visionné le même documentaire. ^^

Amazones, femmes guerrières de l'Antiquité sur France 5, dispo jusqu’au 21.06

Et en complément :

[Fift]

Ah oui tiens, je l'ai vu aussi .


Je ne sais plus si je l'avais mentionné ici, mais j'ai commencé il y a quelques semaines les Frères Karamazov. Ayant été un grand amateur de Dostoïevski, ma femme me l'avait offert en Pléïade il y a une quinzaine d'années, mais je n'avais jamais pris le temps de le lire.
C'est un vrai plaisir tactile, cette édition, mais le souci est que je ne peux décemment pas trimbaler le bouquin dans mon sac ou ma poche, le lire dans le métro etc. Du coup, c'est uniquement à la maison. Donc je n'avance pas vite ...

Et cette fichue habitude des Russes d'appeler leurs personnages par 3 noms différents (les prénoms, le nom de famille, le surnom), c'est pénible .

[Ostara]

Enquête sur les plantes magiques de Michèle Bilimoff

[Mizunotama]

Je viens de finir de lire Madame Bovary. Autant j'ai plutôt bien apprécié le style d'écriture de Flaubert (malgré certaines tournures de phrases, mots ou expressions qui datent un peu), par contre, difficile d'éprouver de l'empathie pour le moindre personnage principal.

Je les trouve soit antipathiques (Emma Bovary qui a tendance à rejeter toute la faute sur les autres tout en se ruinant seule, le pharmacien Homais qui est au mieux un "péteux", au pire un arriviste prêt à tout pour arriver à ses fins), soit effacés, et donc dur de ressentir quelque chose pour eux (Charles Bovary dont c'est plus ou moins le principe du personnage, Léon qui a l'air de subir).

Je me demande si Rodolphe n'est pas le personnage que j'ai préfère, ou au moins envers qui j'arrive à éprouver (au moins parmi les personnages principaux) : c'est le seul qui a l'air d’être franc et honnête avec lui-même, malgré et même dans sa lâcheté.

[hazufel]

Rip
Mort de Paul Auster

Auteur de plus d’une trentaine de livres à l’écriture sophistiquée, dont la “Trilogie new-yorkaise”, il avait fait de la fragilité des hommes le cœur de son œuvre.

@Mizunotama, j’ai eu du mal également lors de ma première lecture à m’attacher aux personnages principaux. Emma Bovary pouvait m’agacer sincèrement à certains moments, même si elle pouvait m’éclairer infiniment à d’autres.
Le souvenir qu’il me reste est la narration d’une époque, des ressentis à travers elle, dans une langue magnifique.

[Curiouser]

Rip
Mort de Paul Auster

Auteur de plus d’une trentaine de livres à l’écriture sophistiquée, dont la “Trilogie new-yorkaise”, il avait fait de la fragilité des hommes le cœur de son œuvre.

Oh !

Je l'avais découvert avec Le Livre des illusions (quand j'avais 16-17 ans, il me semble). J'avais beaucoup aimé. Puis, quelques années après, à la faveur d'une relecture de ce roman, j'ai enchaîné avec sa Trilogie new-yorkaise, en français, puis en anglais, ainsi que d'autres romans (Mr Vertigo, Moon Palace...) Bref, j'ai eu une phase de lecture "austerienne" assez poussée autour de mes vingt-deux ans (j'avais d'ailleurs fait un petit travail pour un séminaire d'anglais au sujet de sa trilogie new-yorkaise quand j'étais en master)... Et puis, après une lecture assez décevante de Brooklyn Follies, j'avais laissé cet auteur de côté...

Merci d'avoir relayé cette triste nouvelle, en tout cas.

[Talegan]

J'ai récemment découvert une petite librairie, Le Rêve du papillon, également siège d'une maison d'édition, 7, rue des Fossés-Saint-Jacques à Paris (75005)

Ce sont les cultures aborigènes qui m'y ont attiré, et j'y ai trouvé un lieu accueillant, cordial, qui propose par ailleurs un choix d'ouvrages sur des cultures orientales (Japon…) - ainsi qu'un rayon neuro-atypie !
Tout à mon échange avec le maître des lieux sur les Aborigènes, je ne l'ai pas (encore) exploré…


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