reconversion professionnelle

[squirell]

Bonjour
Je ressens actuellement un malaise profond par rapport à mon activité pro (prof de piano en conservatoire): remise en question par rapport à des élèves qui arrêtent le piano (dont 2 qui m'ont envoyé des sms pas très agréables pour me le dire), je veux faire les choses bien mais du coup je suis en état de stress constant, j'ai des idées de projets mais la communication avec les parents, avec les collègues me démotive d'avance, j'ai l'impression que mon métier a de moins en moins de sens (entre certains qui se comportent comme des consommateurs, des parents aussi qui forcent leur enfants à faire de la musique de manière intensive, devoir recommencer chaque année avec de nouveaux élèves suite aux arrêts alors que j'ai besoin de temps pour m'adapter aux autres. et j'ai l'impression que ma manière d'être avec les autres personnes pose problème pour le métier que j'exerce, bien que j'ai l'impression d'avoir un bon contact avec certains. (mais quand je vois mes collègues avec leurs élèves par exemple je me rends bien compte que je n'ai pas la même relation avec les miens). dans ma pédagogie je sais que si je ne fais pas attention je tombe vite dans un truc trop intello et justement l'élève qui m'a envoyé un sms me disait qu'elle comprenait que j'avais besoin d'un cadre mais qu'elle était là avant tout pour son plaisir. Et du coup je sens que je me force à faire des choses qui ne sont pas naturelles pour moi, à essayer de m'adapter constamment à chaque élève, à chaque situation, que j'y arrive parfois mais au prix d'efforts considérables, ce qui induit donc beaucoup de stress. Et que parfois je craque et je suis beaucoup moins patiente avec un élève.
je ne suis pas diagnostiquée autiste (j'ai essayé de contacter des psychiatres en libéral mais jusque là ils m'ont tous répondu qu'ils ne prenaient plus de nouveaux patients, cela m'a un peu découragée), mais il est évident que j'ai des difficultés dans les relations sociales (je vis seule, et n'ai plus aucune relation sociale à part avec mes collègues quand je suis au travail, et j'ai coupé les ponts avec ma famille).
je m'adresse donc à vous pour savoir si vous auriez des idées de métiers qui seraient compatibles avec cela, qui par exemple en tant qu'autiste si vous l'êtes n'induisent pas trop de stress pour vous. je ne cherche pas forcément un métier passion, surtout un métier induisant moins de stress quitte à m'investir dans des activités après le travail. sachant que j'ai fait des études en musicologie, au conservatoire puis pôle supérieur de musique tout de suite après mon bac et ensuite j'ai travaillé en tant que prof de piano, c'est donc tout ce que je sais faire, et j'aurai 34 ans au mois de novembre. N'ayant en plus personne pour m'aider à subvenir à mes besoins, je ne pourrai pas assumer un temps de formation trop long (je peux utiliser la période des vacances d'été si je tiens le choc jusque là et j'imagine que j'aurai le droit à quelque chose de pôle emploi ensuite mais ça sera pas énorme et en plus n'ayant pas un très gros salaire j'ai du mal à mettre de l'argent de côté
merci par avance si vous avez des pistes à me suggérer

[lucius]

Vous pourriez voir avec des cours en alternance, en formation continue ou à distance. Par contre quoi faire? Vu vos difficultés, je ne pense pas que passer le concours pour la direction d'un conservatoire soit adapté.

Vous pourriez faire un bilan mais encore faut-il connaître une personne connaissant le monde de la musique pour faire un bilan. Sinon, ce conseiller pourrait vous donner de mauvaises pistes. Comme vous avez des idées de projets, un conseiller pourrait voir si c'est envisageable dans votre situation.

[squirell]

merci pour votre réponse
je précise que mon but est pas forcément de trouver un emploi dans le domaine de la musique

[lucius]

Oui mais comme votre CV parlera de votre parcours, un conseiller vous proposera souvent un truc pas trop éloigné pour vous reconvertir. Sauf si il vous propose la sophrologie (il paraît que c'est saturé comme secteur). Plus cela sera éloigné, plus vous aurez sans doute besoin de suivre des formations adaptées au nouveau métier (mais ce n'est pas une certitude).

[Kumi_44]

Pour te répondre pour l'instant, je cherche encore !
Étant dans une formation proposant une élaboration du projet professionnel, après presque 1 an, c'est encore flou malheureusement.
Je cherchais comme toi un métier compatible avec mes particularités pas forcément passionnant mais me permettant de faire des activités à côté.

Je ne suis pas professionnelle en musique mais je comprend ce problème social. Il ne faudrait pas que ça te mette à mal niveau santé. Et surtout de garder cette passion !
Pour ma part, je suis une grande passionnée de science et voulant faire de la recherche. Malheureusement pour pas mal de raisons, j'ai dû arrêter.
Aujourd'hui, je repense revenir à ma passion mais sans passer par les institutions ni le social aussi dur qu'il soit.

De plus pour le côté musical, je voudrais justement en tant qu'adulte m'inscrire au conservatoire de ma ville pour faire de la technique vocale (chanter fait parti de mes intérêts spécifiques).

Allier travail et passion est une réelle question. Certains y arrivent avec un bon environnement. Et d'autres galèrent. Je me la pose encore aujourd'hui puisqu'après un stage "entre deux", je n'arrive pas complètement à ignorer ce besoin de sens dans le monde professionnel.

Je te souhaite bon courage pour la suite !

[squirell]

merci pour ta réponse.
oui allier travail et passion c'est difficile ; c'est bête mais j'en arrive à me dire que je préfèrerais peut être un travail "alimentaire" ne pas trop m'y investir émotionnellement et m'investir dans des activités à côté (théâtre, apprendre un autre instrument, yoga...). mais vu ma façon d'être peut être que même avec un travail qui ne me passionne pas je chercherai à faire les choses parfaitement, jusqu'à m'en rendre malade, je ne me rends pas compte.
et puis la difficulté que j'ai aussi c'est que je ne me verrai pas travailler dans un entrepôt Amazon par exemple, car ça ne correspond pas à mes valeurs (aspect social et environnemental) même si j'imagine que c'est le type d'emploi qui peut être accessible avec un temps de formation pas trop long.
et à l'inverse faire un métier qui ait un impact positif pour l'environnement pourrait être quelque chose qui me tente par exemple mais en dehors du fait que je n'ai pas de connaissances la dedans je pense que comme c'est quelque chose qui me tient à coeur je pourrai facilement trop m'investir de nouveau et m'en rendre malade

[Spes]

Bonjour,
Je me retrouve dans tes questionnements, je suis en plein dedans suite à un burn-out.
J'ai essayé quelque chose que je te conseille : faire des rendez-vous avec un conseiller en évolution professionnelle, c'est gratuit (et confidentiel, ton employeur ne sera pas au courant) Comme j'ai un bac+5 j'ai contacté l'APEC, mais il y a d'autres organismes qui le font.
Après quelques échanges, le conseiller a rapidement constaté, voyant mon "stress social", : "vous avez besoin de travailler avec des gens qui fonctionnent comme vous".
Pour éviter de refaire trop de formation il m'a conseillée de rester dans le domaine de ma formation initiale. Il est aussi très important que ton futur travail respecte tes valeurs sinon tu risques de ne pas tenir (bore-out ou burn-out à long terme). Le conseiller t'aidera à interroger tes valeurs.
Après le mieux c'est de faire un bilan de compétences. Tu peux le faire en même temps que de travailler, donc pas de perte de revenus, et il y a différentes options pour le financer, par exemple ton CPF (compte personnel de formation). Au bout de 5 ans passés à travailler normalement il y a assez pour payer un bilan, sinon d'autres options peuvent être explorées pour le financer.
Bon courage pour tout ça.

Et sinon côté diagnostic TSA il est beaucoup plus simple d'avoir rendez-vous chez un psychologue qu'un psychiatre. Il y a des psychologues formés au TSA. J'ai fait un pré-diagnostic chez une psychologue, ça permet d'y voir plus clair pour commencer.

[Escherischieuse]

Bonjour
Je ressens actuellement un malaise profond par rapport à mon activité pro (prof de piano en conservatoire): remise en question par rapport à des élèves qui arrêtent le piano (dont 2 qui m'ont envoyé des sms pas très agréables pour me le dire), je veux faire les choses bien mais du coup je suis en état de stress constant, j'ai des idées de projets mais la communication avec les parents, avec les collègues me démotive d'avance, j'ai l'impression que mon métier a de moins en moins de sens (entre certains qui se comportent comme des consommateurs, des parents aussi qui forcent leur enfants à faire de la musique de manière intensive, devoir recommencer chaque année avec de nouveaux élèves suite aux arrêts alors que j'ai besoin de temps pour m'adapter aux autres. et j'ai l'impression que ma manière d'être avec les autres personnes pose problème pour le métier que j'exerce, bien que j'ai l'impression d'avoir un bon contact avec certains. (mais quand je vois mes collègues avec leurs élèves par exemple je me rends bien compte que je n'ai pas la même relation avec les miens). dans ma pédagogie je sais que si je ne fais pas attention je tombe vite dans un truc trop intello et justement l'élève qui m'a envoyé un sms me disait qu'elle comprenait que j'avais besoin d'un cadre mais qu'elle était là avant tout pour son plaisir. Et du coup je sens que je me force à faire des choses qui ne sont pas naturelles pour moi, à essayer de m'adapter constamment à chaque élève, à chaque situation, que j'y arrive parfois mais au prix d'efforts considérables, ce qui induit donc beaucoup de stress. Et que parfois je craque et je suis beaucoup moins patiente avec un élève.
je ne suis pas diagnostiquée autiste (j'ai essayé de contacter des psychiatres en libéral mais jusque là ils m'ont tous répondu qu'ils ne prenaient plus de nouveaux patients, cela m'a un peu découragée), mais il est évident que j'ai des difficultés dans les relations sociales (je vis seule, et n'ai plus aucune relation sociale à part avec mes collègues quand je suis au travail, et j'ai coupé les ponts avec ma famille).
je m'adresse donc à vous pour savoir si vous auriez des idées de métiers qui seraient compatibles avec cela, qui par exemple en tant qu'autiste si vous l'êtes n'induisent pas trop de stress pour vous. je ne cherche pas forcément un métier passion, surtout un métier induisant moins de stress quitte à m'investir dans des activités après le travail. sachant que j'ai fait des études en musicologie, au conservatoire puis pôle supérieur de musique tout de suite après mon bac et ensuite j'ai travaillé en tant que prof de piano, c'est donc tout ce que je sais faire, et j'aurai 34 ans au mois de novembre. N'ayant en plus personne pour m'aider à subvenir à mes besoins, je ne pourrai pas assumer un temps de formation trop long (je peux utiliser la période des vacances d'été si je tiens le choc jusque là et j'imagine que j'aurai le droit à quelque chose de pôle emploi ensuite mais ça sera pas énorme et en plus n'ayant pas un très gros salaire j'ai du mal à mettre de l'argent de côté
merci par avance si vous avez des pistes à me suggérer

Perso, j'ai demandé à un ancien psy qui va prendre sa retraite et ne prend plus personne une liste de psy qu'il pense bien... J'ai commencé à les contacter un à un. Une m'en a donné un autre mais qui ne prend plus. Un de sa liste m'a donné le nom d'un autre confrère qui accepte de me voir.

Je ne sais si tu sais... Depuis que Muriel Penicaud a été ministre du travail, elle a fait mettre des psychologues à pôle emploi/france travail.
Même si tu n'es pas au chômage, je pense que tu peux demander à voir ce ou cette psychologue ("regards croisés" comme prestation). Certes, tu n'auras pas ton bilan autistique, mais peut-être par contre une aide pour ton orientation professionnelle.
https://www.francetravail.fr/region/gua ... ation.html
Expliques ta situation et tentes ta chance!

Et, autrefois, le psy que j'ai connu (décédé depuis, malheureusement), m'avait dit être et le psy de pôle emploi et celui de la MDPH.
Et il m'avait fait passer des tas de tests... Mais il est mort avant d'obtenir ce qu'il voulait: il voulait me faire atterrir dans un CRP et me faire former au numérique. (Du coups, là, on me remet dans les mains d'une psy de France Travail... et on verra...)

Mais tentes... voir insistes... (des fois, c'est nécessaire) et n'hésites pas à leur demander qui voir... s'ils refusent de.

[lucius]

C'est vrai que l'on envoie beaucoup d'handicapés se renseigner auprès de la fagerh pour trouver des formations qualifiantes ou diplômantes dans des centres. Sauf que la plupart des formations sont assez inintéressantes dés que l'on a au moins bac+2.

[Escherischieuse]

en attendant elles sont peut-être parfois + sûrs que celles d'Openclassroom, par exemple, où on est livré à la communauté pas tjrs bienveillante...
Et sinon, si on propose les CRP, ça n'interdit pas d'utiliser son CPF ou de demander de financer le CNAM ou autre.
Et, malheureusement, l'université, malheureusement, ce sont pour ceux qui ont les moyens et/ou jeunes et qui ont été acceptés (ce qui n'a pas forcément avoir avec leurs capacités intellectuelles) et, ce que handicapés ou non handicapés!

[Escherischieuse]

Moi je serais bien contente si je pouvais avoir le CRP!!! Car j'ai un bac + 2 en agroalimentaire mais pas dans l'informatique... et on ne m'a proposé que des formations en ligne plutôt pourries et en accéléré et que à un niveau bac +3 alors que je n'ai pas les bases informatiques... et les ets ne veulent pas me prendre en alternance pour une formation de bac à bac +2.
Par contre, ils prennent + aisément en alternance quelqu'un qui veut faire une licence en alternance.

[lucius]

en attendant elles sont peut-être parfois + sûrs que celles d'Openclassroom, par exemple, où on est livré à la communauté pas tjrs bienveillante...
Et sinon, si on propose les CRP, ça n'interdit pas d'utiliser son CPF ou de demander de financer le CNAM ou autre.
Et, malheureusement, l'université, malheureusement, ce sont pour ceux qui ont les moyens et/ou jeunes et qui ont été acceptés (ce qui n'a pas forcément avoir avec leurs capacités intellectuelles) et, ce que handicapés ou non handicapés!

Le CNAM je connais bien mais il faut bien anticiper tous les UE car certains sont à distance, en journée ou dans une autre région.

Et Openclassroom, j'ai des connaissances qui ont voulu voir. Ils ont été très très déçus question qualité/prix. Trop cher et pas la qualité des cours qu'ils avaient espéré.

Avant à l'université on pouvait suivre des cours du soir. Mais ils y ont mis fin il y a longtemps. D'autres vont a l'AFPA et au Greta mais c'est la roulette russe. Il.y a des centres à éviter.

[Escherischieuse]

en attendant elles sont peut-être parfois + sûrs que celles d'Openclassroom, par exemple, où on est livré à la communauté pas tjrs bienveillante...
Et sinon, si on propose les CRP, ça n'interdit pas d'utiliser son CPF ou de demander de financer le CNAM ou autre.
Et, malheureusement, l'université, malheureusement, ce sont pour ceux qui ont les moyens et/ou jeunes et qui ont été acceptés (ce qui n'a pas forcément avoir avec leurs capacités intellectuelles) et, ce que handicapés ou non handicapés!

Le CNAM je connais bien mais il faut bien anticiper tous les UE car certains sont à distance, en journée ou dans une autre région.

Et Openclassroom, j'ai des connaissances qui ont voulu voir. Ils ont été très très déçus question qualité/prix. Trop cher et pas la qualité des cours qu'ils avaient espéré.

Avant à l'université on pouvait suivre des cours du soir. Mais ils y ont mis fin il y a longtemps. D'autres vont a l'AFPA et au Greta mais c'est la roulette russe. Il.y a des centres à éviter.

Je ne conseille pas Openclassroom. Y'a un certain nombre de pervers et de pirates, je pense, dans ceux qui dirigent, leurs profs et potentiellement même leurs "mentors". (Mais profs, c'est sûr, vu ce que j'avais lu dans certains cours, qui, comme par hasard, ont disparu de mon ordi quand piraté et à la même période où comme par hasard ils ont modifié leurs cours et enlevé ce qui y était franchement pervers, vicieux comme suggestions).

[Escherischieuse]

en attendant elles sont peut-être parfois + sûrs que celles d'Openclassroom, par exemple, où on est livré à la communauté pas tjrs bienveillante...
Et sinon, si on propose les CRP, ça n'interdit pas d'utiliser son CPF ou de demander de financer le CNAM ou autre.
Et, malheureusement, l'université, malheureusement, ce sont pour ceux qui ont les moyens et/ou jeunes et qui ont été acceptés (ce qui n'a pas forcément avoir avec leurs capacités intellectuelles) et, ce que handicapés ou non handicapés!

Le CNAM je connais bien mais il faut bien anticiper tous les UE car certains sont à distance, en journée ou dans une autre région.

Et Openclassroom, j'ai des connaissances qui ont voulu voir. Ils ont été très très déçus question qualité/prix. Trop cher et pas la qualité des cours qu'ils avaient espéré.

Avant à l'université on pouvait suivre des cours du soir. Mais ils y ont mis fin il y a longtemps. D'autres vont a l'AFPA et au Greta mais c'est la roulette russe. Il.y a des centres à éviter.

Si tu es suffisamment intelligent ET surtout capable de t'obliger à travailler de façon régulière: les livres... Moi, pour le numérique/informatique, j'en ai trouvé un mais c'est + de 300 pages... Ecrit par des professeurs du CNAM et de l'université. Apparemment à vraiment suivre le programme de l'université... Mais il faut réussir à retenir... et comment savoir ce qui est essentiel quand on y connait rien?

[lucius]

en attendant elles sont peut-être parfois + sûrs que celles d'Openclassroom, par exemple, où on est livré à la communauté pas tjrs bienveillante...
Et sinon, si on propose les CRP, ça n'interdit pas d'utiliser son CPF ou de demander de financer le CNAM ou autre.
Et, malheureusement, l'université, malheureusement, ce sont pour ceux qui ont les moyens et/ou jeunes et qui ont été acceptés (ce qui n'a pas forcément avoir avec leurs capacités intellectuelles) et, ce que handicapés ou non handicapés!

Le CNAM je connais bien mais il faut bien anticiper tous les UE car certains sont à distance, en journée ou dans une autre région.

Et Openclassroom, j'ai des connaissances qui ont voulu voir. Ils ont été très très déçus question qualité/prix. Trop cher et pas la qualité des cours qu'ils avaient espéré.

Avant à l'université on pouvait suivre des cours du soir. Mais ils y ont mis fin il y a longtemps. D'autres vont a l'AFPA et au Greta mais c'est la roulette russe. Il.y a des centres à éviter.

Si tu es suffisamment intelligent ET surtout capable de t'obliger à travailler de façon régulière: les livres... Moi, pour le numérique/informatique, j'en ai trouvé un mais c'est + de 300 pages... Ecrit par des professeurs du CNAM et de l'université. Apparemment à vraiment suivre le programme de l'université... Mais il faut réussir à retenir... et comment savoir ce qui est essentiel quand on y connait rien?

Je suis d'accord mais souvent les livres sont mal expliqués ou rédigés pour un lecteur connaissant le sujet. Beaucoup trop de livres sont plus des précis ou des encyclopédies que des livres de cours. En plus apprendre dans un livre sans mise en pratique sur le terrain ou bien une formation allant à un stage de 3 jours de cours, cela ne vaut rien pour un employeur. On peut étudier 6 mois avec les livres seul mais pour l'employeur cela ne vaut rien.

Être autodidacte et ne pas avoir fait ses preuves, cela ne vaut rien pour un employeur. Ils préféreront embaucher un type qui a fait 3 jours de formation sur une techno qu'un type qui a.appris durant 6 mois chez lui des technologies. Je le vois sans cesse.