Quand je bossais chez Lidl (via agefiph... donc pas fiable comme site/aux offres! Je leur ai dit mais ils m'ont répondu qu'ils ne vérifient pas leurs offres et si les employeurs sont vraiment bienveillants ou pas, etc.), la responsable, dans l'oreillette (car on avait des oreillettes où j'étais), n'arrêtait pas de se moquer de moi, être puante et tout le temps sur mon dos. Et tous les salariés pouvaient entendre et sur-enchérir (que les clients à ne pas entendre ce qu'on échangeait, ou, du moins, avec qui).aspi_rateur a écrit : ↑lundi 19 février 2024 à 20:53Merci, il me reste l'option de l'arrêt de travail pour gagner du temps... Et pour l'après je ferai attention à ce que je dirais au médecin du travail, car je n'ai pas l'intention de perdre ma place dans cette entreprise. Car si ça arrive je vais vraiment galèrer pour pouvoir travailler en milieu ordinaire...ikh a écrit : ↑lundi 19 février 2024 à 20:14À la question de la médecine du travail: « vous sentez vous capable de demander de l'aide en cas de besoin ? », j'aurais dû répondre « non » si j'avais été tout à fait honnête ...aspi_rateur a écrit : ↑lundi 19 février 2024 à 14:39 Finalement, je ne sais pas si je survivrai... C'est vraiment dur, les pensées suicidaires m'envahissent de nouveau, à cause du travail (ennui, mise à l'écart, moqueries...). Heureusement que je peux l'exprimer ici car je n'ai pas de rdv psy dans les prochains jours.
Elle a utilisé un autre nom, auto quelque chose que je n'ai pas retenu sur le coup. N'importe quoi pour affaiblir le sens des mots (des maux ?).
Compassion, camarade.
Je n'en pouvais plus.
Je suis allée aux urgences et j'ai demandé à voir un psy, que je faisais des cauchemars la nuit, que je n'en pouvais plus, que j'allais pêter un câble, que j'appréhendais vraiment trop d'aller au travail, à avoir un peu noté (les écrits comptent juridiquement, surtout si on a mis par écrit qui, quel jour et quelle heure. Pour info) ce qui m'avait été dit exactement, et que, bien que sous anti-dépresseur, sous bêta-bloquant, ça n'allait pas. On m'a fait attendre puis j'ai vu un psychiatre. Il m'a prescrit je ne sais plus quel médicament qui fait un peu dormir mais qui détend super, et il m'a mise en arrêt maladie pendant un bon moment... et j'ai juste eu à retourner aux urgences et ça a été prolongé...
Et oui, j'ai testé la médecine du travail en leur donnant TOUTES les infos (compte-rendus d'arthrose hanches, genoux, poignets, pied, ostéopénie, syndrome du canal carpien (EMG), nerf filial HS post plâtre (EMG), compte-rendu fractures bi-malléolaires et radius distal de juillet 23, névrose d'angoisse, etc., médicaments), il a refusé une reconversion ou au moins indiquer que déconseillé le port de charge... et comme j'insistais sur mes douleurs, fourmillement, etc. il a dit que j'avais vraiment un problème de logorrhée et devais consulter un psy. Je lui ai demandé en quoi un psy pouvait solutionner des douleurs liées au port de charge et à de l'arthrose ++. Lui à me dire qu'il saurait juger... Alors à lui demander si, en fait, les personnes âgées devraient travailler et que leurs difficultés étaient purement psychiques. Il m'a répondu que c'était possible et que effectivement, on devrait peut-être envisager d'en sortir de retraite!!! Et il m'a collé un "nécessite des soins médicaux"... ce qui, sans être une inaptitude, m'a fait perdre l'agence d'intérim...
Donc, oui, mieux vaut ne rien leur dire... Conseil pour ceux qui ne les ont pas encore rencontrés... Faites leur un beau sourire et "non je ne prends aucun médicament" "je fais du sport" "le travail, c'est comme pour tous, des jours avec et des jours sans" "nice to see you..."