Méthodes de prise en charge
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Re: Méthodes de prise en charge
Je suis d'accord avec toi Voile de Chine, je ne pense pas que la genetique est la cause majeur, mais une sorte de terrain de predisposition.
Je pense que le facteur "environnement" est largement en cause. Mais attention, ca peut etre un environnement "genetique"
Je pense sincerement que la nourriture (sans parler gluten et casein) sont largement en cause, mais peuvent l'etre de facon genetique.
A mon age, mes parents ont fait la deuxieme guerre mondiale, je pense qu'en Angleterre (surtout dans le nord) on avait une nourriture saine, mais comme partout une manque de certains vitamines et autres necessités pour que le corps et cerveau se developpe "normalement"
En etant jeune, tous les produits frais etaient FRAIS!! Le lait livré tous les matins, etait imbuvable le lendemain (mais sans le moindre additif) le beurre (1/2 sel bien sur ) se gardait a peine une semaine, en fait sans le moindre additif.
Donc si nos parents/grandparents ont eu une periode guerre (le cas de quasiment tout le monde) ou la nourriture ou la regime alimentaire etait deficient, leurs corps se sont ajusté et cet ajustement est donné en heritage a leurs enfants, qui a la suite deviennent une generation de la nourriture avec des additives a la pelle qui a du changer radicalement l'empreinte nutritif du corps (et donc du cerveau)
Je pense egalement que le croissance magistrale de nombre de personnes atteint d'autisme dans toutes ses formes est largement du a l'effet de la nourriture "de synthes" qu'on nous propose.
Sans parler de certains produits bien connues, censé etre illegal mais avec les grands marques derriere eux sont toujours sur le marché...je parle surtout d'un faux sucre utilisé dans un certain boisson "light" et d'un certain fast food qui mets un additif dans la nourriture pour qu'on a toujours une sensation de faim aprés et donc on reprends!!
Je pense que le facteur "environnement" est largement en cause. Mais attention, ca peut etre un environnement "genetique"
Je pense sincerement que la nourriture (sans parler gluten et casein) sont largement en cause, mais peuvent l'etre de facon genetique.
A mon age, mes parents ont fait la deuxieme guerre mondiale, je pense qu'en Angleterre (surtout dans le nord) on avait une nourriture saine, mais comme partout une manque de certains vitamines et autres necessités pour que le corps et cerveau se developpe "normalement"
En etant jeune, tous les produits frais etaient FRAIS!! Le lait livré tous les matins, etait imbuvable le lendemain (mais sans le moindre additif) le beurre (1/2 sel bien sur ) se gardait a peine une semaine, en fait sans le moindre additif.
Donc si nos parents/grandparents ont eu une periode guerre (le cas de quasiment tout le monde) ou la nourriture ou la regime alimentaire etait deficient, leurs corps se sont ajusté et cet ajustement est donné en heritage a leurs enfants, qui a la suite deviennent une generation de la nourriture avec des additives a la pelle qui a du changer radicalement l'empreinte nutritif du corps (et donc du cerveau)
Je pense egalement que le croissance magistrale de nombre de personnes atteint d'autisme dans toutes ses formes est largement du a l'effet de la nourriture "de synthes" qu'on nous propose.
Sans parler de certains produits bien connues, censé etre illegal mais avec les grands marques derriere eux sont toujours sur le marché...je parle surtout d'un faux sucre utilisé dans un certain boisson "light" et d'un certain fast food qui mets un additif dans la nourriture pour qu'on a toujours une sensation de faim aprés et donc on reprends!!
Suzanne, la vieille qui blatere, maman de Loic 29 ans
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Re: Méthodes de prise en charge
Voir le point de vue de L. Mottron publié dans ce numéro de "Pour la Science" : http://forum.asperansa.org/viewtopic.php?p=53470#p53470
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Re: Méthodes de prise en charge
c'est pas bète ce que tu dit la,dans ma fratire il y a deux cas de maladie auto-immun(et peut être plus)donc une prédisposition génétique à ce type de problème est fortement suspectémaho a écrit :Je suis d'accord avec toi Voile de Chine, je ne pense pas que la genetique est la cause majeur, mais une sorte de terrain de predisposition.
Je pense que le facteur "environnement" est largement en cause. Mais attention, ca peut etre un environnement "genetique"
Je pense sincerement que la nourriture (sans parler gluten et casein) sont largement en cause, mais peuvent l'etre de facon genetique.
A mon age, mes parents ont fait la deuxieme guerre mondiale, je pense qu'en Angleterre (surtout dans le nord) on avait une nourriture saine, mais comme partout une manque de certains vitamines et autres necessités pour que le corps et cerveau se developpe "normalement"
En etant jeune, tous les produits frais etaient FRAIS!! Le lait livré tous les matins, etait imbuvable le lendemain (mais sans le moindre additif) le beurre (1/2 sel bien sur ) se gardait a peine une semaine, en fait sans le moindre additif.
Donc si nos parents/grandparents ont eu une periode guerre (le cas de quasiment tout le monde) ou la nourriture ou la regime alimentaire etait deficient, leurs corps se sont ajusté et cet ajustement est donné en heritage a leurs enfants, qui a la suite deviennent une generation de la nourriture avec des additives a la pelle qui a du changer radicalement l'empreinte nutritif du corps (et donc du cerveau)
Je pense egalement que le croissance magistrale de nombre de personnes atteint d'autisme dans toutes ses formes est largement du a l'effet de la nourriture "de synthes" qu'on nous propose.
Sans parler de certains produits bien connues, censé etre illegal mais avec les grands marques derriere eux sont toujours sur le marché...je parle surtout d'un faux sucre utilisé dans un certain boisson "light" et d'un certain fast food qui mets un additif dans la nourriture pour qu'on a toujours une sensation de faim aprés et donc on reprends!!
et l'ntolérance au gluten est une maladie auto-immun
Neuro-atypique (TSA) diagnostiquée à 21 ans, plusieurs soupçon de TSA dans la familles, un cousin diagnostiqué et 2 cousines en attentes de diagnostique.
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Re: Méthodes de prise en charge
Il y a des recherches en cours sur la fréquence des maladies auto-immunes dans l'entourage des personnes autistes.voile de chine a écrit :c'est pas bète ce que tu dit la,dans ma fratire il y a deux cas de maladie auto-immun(et peut être plus)donc une prédisposition génétique à ce type de problème est fortement suspecté
et l'ntolérance au gluten est une maladie auto-immun
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Re: Méthodes de prise en charge
Résumé du dossier sur Autisme Information Science
http://autisme-info.blogspot.com/2011/0 ... ur-la.html
Lien vers site spécialisé : http://www.johnweisnagelmd.com/quackwatchfrancais.html
http://autisme-info.blogspot.com/2011/0 ... ur-la.html
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Re: Méthodes de prise en charge
Andanson J, Pourre F, Maffre T, Raynaud JP. [Social skills training groups for children and adolescents with Asperger syndrome : A review.]. Arch Pediatr ;2011 (Mar 31)
Les groupes de formation aux compétences sociales pour les enfants et les adolescents avec syndrome d'Asperger : une revue
Traduction Asperansa
HISTORIQUE: D'abord décrit en 1944 par Hans Asperger, le syndrome d'Asperger (AS) est maintenant pris en compte dans les classifications diagnostiques comme l'un des troubles envahissants du développement (TED) ou des troubles du spectre autistique (TSA). Les principaux symptômes du SA sont une déficience grave dans les interactions sociales et la communication, et des intérêts restreints, sans retard important dans le développement cognitif et du langage. Sa prévalence n'est pas clairement établie, mais peut être autour de 0,26 pour 1000. Les symptômes de l'autisme de haut niveau (AHN), qui n'est pas une catégorie officielle de diagnostic, sont assez similaires. Les enfants et adolescents avec SA ou AHN pour la plupart ont un déficit de compétences sociales, en relation avec un manque de compréhension des règles qui régissent les interactions sociales. Ce déficit conduit souvent à l'isolement social et au rejet par les pairs, qui peuvent altérer leur qualité de vie. Leur manque d'habiletés sociales peut aussi avoir des effets sur la réussite à l'école ou au travail, l'intégration parmi les pairs et la santé mentale.
Selon les directives récentes de l'autorité nationale française pour la santé (Haute Autorité de santé, HAS) sur les besoins particuliers des personnes présentant un TED, les professionnels doivent développer des interventions fondées sur des preuves, mettant l'accent sur les interactions sociales et la participation, telle que décrite par la classification internationale du fonctionnement, du handicap et de la santé (ICF): la participation sociale et professionnelle ainsi que la participation à des activités de loisirs, clubs et sociétés, etc
OBJECTIFS: Examiner les études qui témoignent de la valeur de ces groupes de compétences sociales, passer en revue les méthodes et programmes élaborés dans ces groupes, et mettre en évidence les principes généraux de fonctionnement à adopter et combiner.
Méthodes: Les recherches systématiques sur les bases de données électroniques, les revues et les listes de référence ont identifié 12 études publiées depuis 1984, impliquant des interventions par groupe de compétences sociales , conduites par des psychothérapeutes qui ont été formés aux thérapies cognitivo-comportementales (TCC), pour les enfants et adolescents de 6 à 18 ans avec un diagnostic de SA ou d'AHN.
RÉSULTATS: Selon ces 12 études, ces interventions sont utiles et efficaces de façon significative. L'adaptation de leur contenu et de leurs moyens pédagogiques à la façon dont les enfants et les adolescents avec SA fonctionnent est nécessaire pour faciliter l'apprentissage et réduire l'anxiété. En ce qui concerne le cadre de ces groupes, la plupart de ces études insistent sur l'importance de travailler avec un petit nombre de participants et de créer un environnement favorable, prévisible et structuré (même le déroulement des sessions doit lui-même être structuré). Le contenu des programmes devrait allier un enseignement didactique et des exercices d'entraînement, qui devraient être diversifiés et adaptés aux objectifs. Les techniques généralement appliquées dans les TCC (jeux de rôle, modélisation, stratégies de résolution de problèmes, etc), doivent être complétées par des stratégies connues pour être appropriées pour les enfants et les adolescents atteints de TSA, tels que les scénarios sociaux.
CONCLUSIONS: Bien que de nouvelles études sont nécessaires pour juger de la généralisation et de l'efficacité à long terme de telles approches, cette étude confirme les avantages des principales méthodes des groupes de compétences sociales pour les enfants et les adolescents avec SA. Elle ouvre des perspectives de développement de nouveaux programmes de groupes d'habiletés sociales, intégrant des approches, des dimensions et des objectifs différents, en travaillant sur une base de long terme.
Les groupes de formation aux compétences sociales pour les enfants et les adolescents avec syndrome d'Asperger : une revue
Traduction Asperansa
HISTORIQUE: D'abord décrit en 1944 par Hans Asperger, le syndrome d'Asperger (AS) est maintenant pris en compte dans les classifications diagnostiques comme l'un des troubles envahissants du développement (TED) ou des troubles du spectre autistique (TSA). Les principaux symptômes du SA sont une déficience grave dans les interactions sociales et la communication, et des intérêts restreints, sans retard important dans le développement cognitif et du langage. Sa prévalence n'est pas clairement établie, mais peut être autour de 0,26 pour 1000. Les symptômes de l'autisme de haut niveau (AHN), qui n'est pas une catégorie officielle de diagnostic, sont assez similaires. Les enfants et adolescents avec SA ou AHN pour la plupart ont un déficit de compétences sociales, en relation avec un manque de compréhension des règles qui régissent les interactions sociales. Ce déficit conduit souvent à l'isolement social et au rejet par les pairs, qui peuvent altérer leur qualité de vie. Leur manque d'habiletés sociales peut aussi avoir des effets sur la réussite à l'école ou au travail, l'intégration parmi les pairs et la santé mentale.
Selon les directives récentes de l'autorité nationale française pour la santé (Haute Autorité de santé, HAS) sur les besoins particuliers des personnes présentant un TED, les professionnels doivent développer des interventions fondées sur des preuves, mettant l'accent sur les interactions sociales et la participation, telle que décrite par la classification internationale du fonctionnement, du handicap et de la santé (ICF): la participation sociale et professionnelle ainsi que la participation à des activités de loisirs, clubs et sociétés, etc
OBJECTIFS: Examiner les études qui témoignent de la valeur de ces groupes de compétences sociales, passer en revue les méthodes et programmes élaborés dans ces groupes, et mettre en évidence les principes généraux de fonctionnement à adopter et combiner.
Méthodes: Les recherches systématiques sur les bases de données électroniques, les revues et les listes de référence ont identifié 12 études publiées depuis 1984, impliquant des interventions par groupe de compétences sociales , conduites par des psychothérapeutes qui ont été formés aux thérapies cognitivo-comportementales (TCC), pour les enfants et adolescents de 6 à 18 ans avec un diagnostic de SA ou d'AHN.
RÉSULTATS: Selon ces 12 études, ces interventions sont utiles et efficaces de façon significative. L'adaptation de leur contenu et de leurs moyens pédagogiques à la façon dont les enfants et les adolescents avec SA fonctionnent est nécessaire pour faciliter l'apprentissage et réduire l'anxiété. En ce qui concerne le cadre de ces groupes, la plupart de ces études insistent sur l'importance de travailler avec un petit nombre de participants et de créer un environnement favorable, prévisible et structuré (même le déroulement des sessions doit lui-même être structuré). Le contenu des programmes devrait allier un enseignement didactique et des exercices d'entraînement, qui devraient être diversifiés et adaptés aux objectifs. Les techniques généralement appliquées dans les TCC (jeux de rôle, modélisation, stratégies de résolution de problèmes, etc), doivent être complétées par des stratégies connues pour être appropriées pour les enfants et les adolescents atteints de TSA, tels que les scénarios sociaux.
CONCLUSIONS: Bien que de nouvelles études sont nécessaires pour juger de la généralisation et de l'efficacité à long terme de telles approches, cette étude confirme les avantages des principales méthodes des groupes de compétences sociales pour les enfants et les adolescents avec SA. Elle ouvre des perspectives de développement de nouveaux programmes de groupes d'habiletés sociales, intégrant des approches, des dimensions et des objectifs différents, en travaillant sur une base de long terme.
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Re: Méthodes de prise en charge
Même étude : http://www.em-consulte.com/article/285506
J. Andanson a, F. Pourre a, T. Maffre a, b, J.-P. Raynaud a, , c
a Service universitaire de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, CHU de Toulouse, hôpital La-Grave, TSA 60033, 31059 Toulouse cedex 9, France
b Centre ressources autisme Midi-Pyrénées, hôpital La-Grave, TSA 60033, 31059 Toulouse, cedex 9, France
c Inserm U1027, université Paul-Sabatier, Toulouse, France
Invalidant sur le plan social, le syndrome d’Asperger (SA) fait partie des troubles envahissants du développement (TED). Sa prévalence serait d’environ 0,26 pour 1000. Les enfants et adolescents avec SA présentent une altération sévère et prolongée des interactions sociales. La Haute autorité de santé (HAS) a indiqué récemment que des programmes portant sur les interactions sociales sont opportuns chez les personnes avec TED. Cette revue de littérature a pour objectifs de recenser les travaux évaluant l’intérêt des groupes d’entraînement aux habiletés sociales (GEHS) menés auprès d’enfants et d’adolescents avec SA par des thérapeutes formés, d’analyser leurs modalités d’intervention et d’en dégager des principes généraux pour faciliter le développement de ces interventions. La méthodologie a consisté à examiner les études sur ce thème, s’appuyant sur une méthodologie standardisée et publiées depuis 1984 dans des revues indexées dans Medline. D’après les résultats des 12 études retenues, ces méthodes apparaissent bénéfiques et significativement efficaces. Il se dégage quelques grands principes : nécessité d’adapter ces modalités aux spécificités de fonctionnement de ces jeunes ; petit nombre de participants ; cadre bienveillant, prévisible et structuré ; contenu des séances alliant enseignement didactique et exercices d’entraînement, variables en fonction des objectifs fixés. Bien que de nouvelles études soient nécessaires afin d’évaluer la généralisation des acquis et leur pérennité dans le temps, cette revue confirme l’intérêt des GEHS pour ces jeunes, de plus en plus intégrés et sollicités socialement. Elle dégage également des pistes pour la mise en place des GEHS les plus appropriés.
J. Andanson a, F. Pourre a, T. Maffre a, b, J.-P. Raynaud a, , c
a Service universitaire de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, CHU de Toulouse, hôpital La-Grave, TSA 60033, 31059 Toulouse cedex 9, France
b Centre ressources autisme Midi-Pyrénées, hôpital La-Grave, TSA 60033, 31059 Toulouse, cedex 9, France
c Inserm U1027, université Paul-Sabatier, Toulouse, France
Invalidant sur le plan social, le syndrome d’Asperger (SA) fait partie des troubles envahissants du développement (TED). Sa prévalence serait d’environ 0,26 pour 1000. Les enfants et adolescents avec SA présentent une altération sévère et prolongée des interactions sociales. La Haute autorité de santé (HAS) a indiqué récemment que des programmes portant sur les interactions sociales sont opportuns chez les personnes avec TED. Cette revue de littérature a pour objectifs de recenser les travaux évaluant l’intérêt des groupes d’entraînement aux habiletés sociales (GEHS) menés auprès d’enfants et d’adolescents avec SA par des thérapeutes formés, d’analyser leurs modalités d’intervention et d’en dégager des principes généraux pour faciliter le développement de ces interventions. La méthodologie a consisté à examiner les études sur ce thème, s’appuyant sur une méthodologie standardisée et publiées depuis 1984 dans des revues indexées dans Medline. D’après les résultats des 12 études retenues, ces méthodes apparaissent bénéfiques et significativement efficaces. Il se dégage quelques grands principes : nécessité d’adapter ces modalités aux spécificités de fonctionnement de ces jeunes ; petit nombre de participants ; cadre bienveillant, prévisible et structuré ; contenu des séances alliant enseignement didactique et exercices d’entraînement, variables en fonction des objectifs fixés. Bien que de nouvelles études soient nécessaires afin d’évaluer la généralisation des acquis et leur pérennité dans le temps, cette revue confirme l’intérêt des GEHS pour ces jeunes, de plus en plus intégrés et sollicités socialement. Elle dégage également des pistes pour la mise en place des GEHS les plus appropriés.
- Plan : Introduction
Des interactions sociales singulières
Les groupes d’entraînement aux habiletés sociales
Objectifs et méthode
Résultats (-)- Méthodes d’évaluation utilisées dans les études recensées
Principes généraux
Contenu des séances d’entraînement
Mise en pratique : exercices d’entraînement
Conclusion - Méthodes d’évaluation utilisées dans les études recensées
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Re: Méthodes de prise en charge
Texte de l'article (6 pages) sur le site d'Autisme Basse-NormandieJean a écrit :Résumé du dossier sur Autisme Information Science
http://autisme-info.blogspot.com/2011/0 ... ur-la.html
Lien vers site spécialisé : http://www.johnweisnagelmd.com/quackwatchfrancais.html
http://www.autisme-basse-normandie.org/ ... atans3.pdf
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Re: Méthodes de prise en charge
Revue de la littérature des traitements de l’autisme aux Etats-Unis : document en anglais
Le Département de Santé des Etats-Unis vient de publier une revue systématique de la littérature sur les traitements de l’autisme chez les enfants de 2 à 12 ans (publications de 2000 à 2010).
http://www.autisme42.org/spip.php?article1710
Ci-dessous une traduction des conclusions (pp.125-127) : le rapport complet est disponible (900 pages). J'ai rajouté entre crochets les noms commerciaux en France des médicaments.
Les traitements pour enfants avec autisme
La littérature concernant les traitements pour les enfants avec troubles du spectre autistique est de qualité très variable et dans la plupart des domaines spécifiques limitée et non concluante. Quelques conclusions peuvent être tirées, toutefois.
Dans la littérature comportementale, certains éléments de preuve étayent une intervention précoce et intensive comportementale et développementale, ce qui inclut deux études randomisées d’approches intensives (c’est-à-dire interventions prévues pour plus de 30 heures par semaine) et globales (c’est-à-dire faisant face à de nombreux domaines de fonctionnement). Il s'agit d’une approche axée sur UCLA / Lovaas et une approche EDSM [Early Start Denver Model] centrée sur le développement. Les deux approches ont démontré des améliorations supérieures des performances cognitives, des compétences linguistiques et de comportement adaptatif par rapport aux traitements définis éclectiques dans des sous-groupes d'enfants, bien que la force de la preuve (la confiance dans l'estimation) est faible dans l’attente d’une réplication des études disponibles.
Tous les enfants recevant ces interventions ne montrent pas des gains rapides, avec des données suggérant que de nombreux enfants continuent d'afficher des zones importantes de faiblesse et que des sous-groupes peuvent représenter une majorité d’évolution au sein de certains échantillons. Il semble probable sur la base des preuves préliminaires que des sous-groupes d'enfants se prêtent davantage à beaucoup des interventions disponibles. Ceux-ci pourraient éventuellement inclure des groupes déterminés en fonction du QI initial, du langage et des aptitudes verbales aussi bien que par la sévérité des TSA, mais il peut aussi y avoir des différences de compétences sous-jacentes qui peuvent mieux rendre compte de la variabilité. Les données actuelles sont insuffisantes, cependant, pour bien identifier et cibler les enfants les plus susceptibles de bénéficier d'interventions spécifiques.
Aucune étude ne compare directement les effets de différentes approches de traitement (par exemple, il n'y a pas de comparaisons directes de l'UCLA / Lovaas et de l’ESDM) et il y a peu de preuves de l'efficacité pratique ou de la faisabilité au-delà des études de recherche, tant de questions demeurent quant à savoir si les conclusions indiquées seraient observées sur une plus grande échelle au sein des communautés. En outre, les études réalisées ont utilisé de petits échantillons, les méthodes de traitement radicalement différentes, la durée et la mesure des résultats différents. Néanmoins, des améliorations se produisent dans certains aspects du langage, de la capacité cognitive, du comportement adaptatif, des comportements difficiles et le niveau de scolarité de certains enfants potentiellement amélioré.
Alors que certains articles précédents ont suggéré qu'il pourrait être contraire à l'éthique de mener des études randomisées d’interventions intensives précoces en présence d'éléments de preuve d’un avantage, la faible robustesse de ces données montrent que des essais plus rigoureux ou des études prospectives de cohorte mieux conduites sont nécessaires.
La robustesse de la preuve est insuffisante pour les effets de l’entraînement aux compétences sociales pour les enfants plus âgés et pour les approches basées sur le jeu et l'interaction pour les plus jeunes enfants. La thérapie comportementale cognitive pour des états associés tels que l'anxiété a également une robustesse insuffisante des preuves à l'appui des résultats positifs.
Il y a une robustesse insuffisante des preuves des améliorations dans les résultats cognitifs avec les interventions éducatives, y compris l'intervention TEACCH, ainsi que pour les approches larges souvent fondées sur les principes de l'ABA.
Peu de médicaments montrent un bénéfice pour des comportements répétitifs ou des symptômes associés, avec la preuve la plus claire favorisant la rispéridone [Risperdal] et l'aripiprazole [Abilify], tous les deux étudiés dans des ECR et ayant fourni la preuve d’une amélioration dans les comportements problèmes et répétitifs. Des effets secondaires importants, toutefois, indiquent clairement que même si ces médicaments sont efficaces, la prudence s'impose quant à leur utilisation chez les patients sans déficience grave ou risque de blessure.
Quelques autres interventions médicales semblent prometteuses pour la recherche future, y compris les IRS [inhibiteur de recapture de la sérotonine, antidépresseurs] , le méthylphénidate [Ritaline], les acides gras oméga 3, et la mélatonine. D’autres ne sont manifestement pas efficaces et ne méritent pas d’étude plus approfondie, comme la sécrétine.
Les preuves étaient insuffisantes en ce moment pour appuyer l'utilisation de l'intégration sensorielle ou auditive, insuffisante pour les interventions parole et langage [ ?], et insuffisante pour des approches complémentaires et médicales alternatives.
Fait important, la littérature manque de comparaison des interventions médicales avec des interventions comportementales et des combinaisons des deux, bien que la plupart des enfants subissent de multiples traitements concomitants. Cette approche s'est avérée cruciale dans les études des troubles obsessionnels compulsifs, la dépression et l'anxiété, mais peu d'études de taille suffisante ont considéré l'association d’un traitement avec la rispéridone et une thérapie comportementale, et ces études manquaient d’une branche qui étudierait un traitement comportement tout seul, en plus de manquer d’un groupe de contrôle placebo.
En somme, certaines thérapies pour les TSA sont prometteuses et méritent une étude supplémentaire. Continuer d'améliorer la rigueur méthodologique est nécessaire, comme sont nécessaires des études plus larges, potentiellement multi-sites, d'interventions existantes dans lesquelles les enfants sont bien caractérisés, à la fois sur les plans phénotypiques et génotypiques.
A noter que l'intervention dite UCLA/Lovaas est celle qui est généralement appelée ABA en France. Quand il s'agit d'ABA dans ce rapport, il s'agit de toutes les techniques basées sur l'analyse appliquée du comportement.
Sur l'ESDM, voir les articles traduits plus haut.
Le Département de Santé des Etats-Unis vient de publier une revue systématique de la littérature sur les traitements de l’autisme chez les enfants de 2 à 12 ans (publications de 2000 à 2010).
http://www.autisme42.org/spip.php?article1710
Ci-dessous une traduction des conclusions (pp.125-127) : le rapport complet est disponible (900 pages). J'ai rajouté entre crochets les noms commerciaux en France des médicaments.
Les traitements pour enfants avec autisme
La littérature concernant les traitements pour les enfants avec troubles du spectre autistique est de qualité très variable et dans la plupart des domaines spécifiques limitée et non concluante. Quelques conclusions peuvent être tirées, toutefois.
Dans la littérature comportementale, certains éléments de preuve étayent une intervention précoce et intensive comportementale et développementale, ce qui inclut deux études randomisées d’approches intensives (c’est-à-dire interventions prévues pour plus de 30 heures par semaine) et globales (c’est-à-dire faisant face à de nombreux domaines de fonctionnement). Il s'agit d’une approche axée sur UCLA / Lovaas et une approche EDSM [Early Start Denver Model] centrée sur le développement. Les deux approches ont démontré des améliorations supérieures des performances cognitives, des compétences linguistiques et de comportement adaptatif par rapport aux traitements définis éclectiques dans des sous-groupes d'enfants, bien que la force de la preuve (la confiance dans l'estimation) est faible dans l’attente d’une réplication des études disponibles.
Tous les enfants recevant ces interventions ne montrent pas des gains rapides, avec des données suggérant que de nombreux enfants continuent d'afficher des zones importantes de faiblesse et que des sous-groupes peuvent représenter une majorité d’évolution au sein de certains échantillons. Il semble probable sur la base des preuves préliminaires que des sous-groupes d'enfants se prêtent davantage à beaucoup des interventions disponibles. Ceux-ci pourraient éventuellement inclure des groupes déterminés en fonction du QI initial, du langage et des aptitudes verbales aussi bien que par la sévérité des TSA, mais il peut aussi y avoir des différences de compétences sous-jacentes qui peuvent mieux rendre compte de la variabilité. Les données actuelles sont insuffisantes, cependant, pour bien identifier et cibler les enfants les plus susceptibles de bénéficier d'interventions spécifiques.
Aucune étude ne compare directement les effets de différentes approches de traitement (par exemple, il n'y a pas de comparaisons directes de l'UCLA / Lovaas et de l’ESDM) et il y a peu de preuves de l'efficacité pratique ou de la faisabilité au-delà des études de recherche, tant de questions demeurent quant à savoir si les conclusions indiquées seraient observées sur une plus grande échelle au sein des communautés. En outre, les études réalisées ont utilisé de petits échantillons, les méthodes de traitement radicalement différentes, la durée et la mesure des résultats différents. Néanmoins, des améliorations se produisent dans certains aspects du langage, de la capacité cognitive, du comportement adaptatif, des comportements difficiles et le niveau de scolarité de certains enfants potentiellement amélioré.
Alors que certains articles précédents ont suggéré qu'il pourrait être contraire à l'éthique de mener des études randomisées d’interventions intensives précoces en présence d'éléments de preuve d’un avantage, la faible robustesse de ces données montrent que des essais plus rigoureux ou des études prospectives de cohorte mieux conduites sont nécessaires.
La robustesse de la preuve est insuffisante pour les effets de l’entraînement aux compétences sociales pour les enfants plus âgés et pour les approches basées sur le jeu et l'interaction pour les plus jeunes enfants. La thérapie comportementale cognitive pour des états associés tels que l'anxiété a également une robustesse insuffisante des preuves à l'appui des résultats positifs.
Il y a une robustesse insuffisante des preuves des améliorations dans les résultats cognitifs avec les interventions éducatives, y compris l'intervention TEACCH, ainsi que pour les approches larges souvent fondées sur les principes de l'ABA.
Peu de médicaments montrent un bénéfice pour des comportements répétitifs ou des symptômes associés, avec la preuve la plus claire favorisant la rispéridone [Risperdal] et l'aripiprazole [Abilify], tous les deux étudiés dans des ECR et ayant fourni la preuve d’une amélioration dans les comportements problèmes et répétitifs. Des effets secondaires importants, toutefois, indiquent clairement que même si ces médicaments sont efficaces, la prudence s'impose quant à leur utilisation chez les patients sans déficience grave ou risque de blessure.
Quelques autres interventions médicales semblent prometteuses pour la recherche future, y compris les IRS [inhibiteur de recapture de la sérotonine, antidépresseurs] , le méthylphénidate [Ritaline], les acides gras oméga 3, et la mélatonine. D’autres ne sont manifestement pas efficaces et ne méritent pas d’étude plus approfondie, comme la sécrétine.
Les preuves étaient insuffisantes en ce moment pour appuyer l'utilisation de l'intégration sensorielle ou auditive, insuffisante pour les interventions parole et langage [ ?], et insuffisante pour des approches complémentaires et médicales alternatives.
Fait important, la littérature manque de comparaison des interventions médicales avec des interventions comportementales et des combinaisons des deux, bien que la plupart des enfants subissent de multiples traitements concomitants. Cette approche s'est avérée cruciale dans les études des troubles obsessionnels compulsifs, la dépression et l'anxiété, mais peu d'études de taille suffisante ont considéré l'association d’un traitement avec la rispéridone et une thérapie comportementale, et ces études manquaient d’une branche qui étudierait un traitement comportement tout seul, en plus de manquer d’un groupe de contrôle placebo.
En somme, certaines thérapies pour les TSA sont prometteuses et méritent une étude supplémentaire. Continuer d'améliorer la rigueur méthodologique est nécessaire, comme sont nécessaires des études plus larges, potentiellement multi-sites, d'interventions existantes dans lesquelles les enfants sont bien caractérisés, à la fois sur les plans phénotypiques et génotypiques.
A noter que l'intervention dite UCLA/Lovaas est celle qui est généralement appelée ABA en France. Quand il s'agit d'ABA dans ce rapport, il s'agit de toutes les techniques basées sur l'analyse appliquée du comportement.
Sur l'ESDM, voir les articles traduits plus haut.
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Re: Méthodes de prise en charge
Il y a des recherches en cours sur la fréquence des maladies auto-immunes dans l'entourage des personnes autistes.
Jean, aurais-tu des infos, liens, articles sur ce sujet là ?
Ou sur l'impact/conséquences des maladies auto-immunes sur un TED ou autres problèmes de transmission neuro, neuro-musculaire ou dans ce spectre ?
Merci
Maman de 4 enfants atypiques, dont 2 ont un diagnostique de Syndrome d'Asperger.
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Re: Méthodes de prise en charge
Je te transfère çà en MP, dès que j'ai trouvé.
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Re: Méthodes de prise en charge
merci beaucoup !
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Re: Méthodes de prise en charge
Validation des programmes préscolaires pour les enfants autistes
http://autisme-info.blogspot.com/2011/0 ... s-for.html
Assessing implementation of comprehensive treatment models for young children with ASD: Reliability and validity of two measures
http://autisme-info.blogspot.com/2011/0 ... s-for.html
Assessing implementation of comprehensive treatment models for young children with ASD: Reliability and validity of two measures
Article intégral (en anglais) :Les chercheurs ont examiné deux programmes complets pour les enfants autistes d'âge préscolaire: le programme TEACCH Treatment and Education of Autistic and Communication Handicapped Children ( Traitement et Education des enfants autistes ou souffrant de handicaps de communication apparentés) ainsi que le LEAP Learning Experiences and Alternative Programs for Preschoolers and Their Parents ( Expériences d'apprentissage et programmes alternatifs pour les enfants d'âge préscolaire et leurs parents ). Les deux modèles ont été choisis parce qu'ils sont bien établies et largement utilisés dans les systèmes scolaires publics aux États-Unis.
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Re: Méthodes de prise en charge
Les résultats d'enfants avec autisme deux ans après la fin des interventions comportementales intensives précoces
H Kovshoff, RP Hastings, Remington B. - Université de Southampton, Hampshire, Royaume-Uni.
Résumé
Les preuves apportées par des méta-analyses récentes ou par des témoignages suggèrent que l'intervention comportementale intensive précoce (ICIP) peut améliorer les chances de vie des enfants d'âge préscolaire atteints d'autisme. Malheureusement, il existe peu de données indiquant si les premiers gains obtenus sont maintenus après la fin de l'intervention.
(...)
Les différences entre les groupes en faveur de l'intervention se sont sensiblement diluées dans cette période mais les différences varient considérablement entre les sous-groupes selon que les interventions reçues ont été supervisées par l'Université ou mises en place par les parents, favorisant ainsi ces dernières.
Ces groupes diffèrent en fonction de leurs caractéristiques de base et l'intensité des interventions. Les résultats suggèrent fortement la nécessité d'une meilleure caractérisation de ces enfants qui pourraient bénéficier de davantage de programmes actifs de maintenance des acquisitions.
Résumé intégral : http://autisme-info.blogspot.com/2011/0 ... -with.html
Source
Il s'agit d'ICIP (intervention comportementale intensive précoce - EIBI en anglais).
H Kovshoff, RP Hastings, Remington B. - Université de Southampton, Hampshire, Royaume-Uni.
Résumé
Les preuves apportées par des méta-analyses récentes ou par des témoignages suggèrent que l'intervention comportementale intensive précoce (ICIP) peut améliorer les chances de vie des enfants d'âge préscolaire atteints d'autisme. Malheureusement, il existe peu de données indiquant si les premiers gains obtenus sont maintenus après la fin de l'intervention.
(...)
Les différences entre les groupes en faveur de l'intervention se sont sensiblement diluées dans cette période mais les différences varient considérablement entre les sous-groupes selon que les interventions reçues ont été supervisées par l'Université ou mises en place par les parents, favorisant ainsi ces dernières.
Ces groupes diffèrent en fonction de leurs caractéristiques de base et l'intensité des interventions. Les résultats suggèrent fortement la nécessité d'une meilleure caractérisation de ces enfants qui pourraient bénéficier de davantage de programmes actifs de maintenance des acquisitions.
Résumé intégral : http://autisme-info.blogspot.com/2011/0 ... -with.html
Source
Il s'agit d'ICIP (intervention comportementale intensive précoce - EIBI en anglais).
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Re: Méthodes de prise en charge
Mesurer les changements de compétences dans les interactions sociales chez de jeunes enfants atteints d'autisme.
AB Cunningham.
Source
Département de psychologie, Université de Californie, San Diego, 9500 Gilman Drive, MC 0109, La Jolla, San Diego, CA, 92093-0109, États-Unis, abcunnin@ucsd.edu.
Résumé
Concevoir des traitements efficaces pour améliorer les comportements sociaux au début de l'autisme est un axe de recherche prioritaire. Une des difficultés pour tirer des conclusions sur les traitements optimaux pour les enfants atteints d'autisme est l'utilisation de moyens de mesures très variés dans la littérature concernant le traitement.
Suite sur :
http://autisme-info.blogspot.com/2011/0 ... ction.html
Source (résumé anglais) http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21638109
AB Cunningham.
Source
Département de psychologie, Université de Californie, San Diego, 9500 Gilman Drive, MC 0109, La Jolla, San Diego, CA, 92093-0109, États-Unis, abcunnin@ucsd.edu.
Résumé
Concevoir des traitements efficaces pour améliorer les comportements sociaux au début de l'autisme est un axe de recherche prioritaire. Une des difficultés pour tirer des conclusions sur les traitements optimaux pour les enfants atteints d'autisme est l'utilisation de moyens de mesures très variés dans la littérature concernant le traitement.
Suite sur :
http://autisme-info.blogspot.com/2011/0 ... ction.html
Source (résumé anglais) http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21638109
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans