[Index Humour] Juste pour rire !!! ^^ (En images !)

[ikh]

Soit la vitre a été fabriquée en Chine, soit la mouche a été fabriquée en Allemagne.

[Tugdual]

Je trouve le menu pour enfants assez bien vu...

[ikh]

Postule à un emploi, n'est pas retenu.



Motif invoqué: manque de koalafications.

[ikh]

[ikh]

[ikh]

[ikh]

[ikh]

Pareil. Trop souvent.

[Thomise]

Pareil. Trop souvent.

I often think too...

[ikh]

[ikh]

[ikh]

[ikh]

[ikh]

Les grands sont bizarres parce que: tout le monde demande « comment ça va ? » et il faut toujours répondre « bien », même si on n'est pas bien. Ça m'a pris des années pour comprendre et accepter que ce n'était pas une véritable question mais une simple en-tête au protocole de communication inter-humains.

J'ai toujours du mal avec cela. J'arrive parfois à retourner la question sans y répondre. Personne ne me l'a jamais reproché. On ne veut pas entendre mes démoralisantes lamentations sur le pitoyable état de mon moral; pas plus que l'indicible bonheur que je peux ressentir de par certains aspects de ma vie.

Un collègue me disait que chez lui on demandait « labès ? ». Il m'a dit que ça voulait peu ou prou dire « ça va », et qu'on devait répondre « labès », même si ça n'allait pas. Je n'ai pas eu le moindre problème pour commencer nos échanges de la sorte. Les règles avaient été clairement explicitées et l'ignorance de la langue ne me permettait pas de prendre les mots au premier degré.

Parce que sinon, mes réponses peuvent être ... comment dire:

Sur le conseil de mon avocat, je refuse de répondre à cette question.
 Je me contre tamponne de la réponse, je conseille de faire de même.
 Étymologiquement beaucoup mieux maintenant que t'es là.
 Et bien, ma foi; du repas du caméléon: je mange l'air, bourré de promesses.

[Thomise]

Les grands sont bizarres parce que: tout le monde demande « comment ça va ? » et il faut toujours répondre « bien », même si on n'est pas bien. Ça m'a pris des années pour comprendre et accepter que ce n'était pas une véritable question mais une simple en-tête au protocole de communication inter-humains.

J'ai toujours du mal avec cela. J'arrive parfois à retourner la question sans y répondre. Personne ne me l'a jamais reproché. On ne veut pas entendre mes démoralisantes lamentations sur le pitoyable état de mon moral; pas plus que l'indicible bonheur que je peux ressentir de par certains aspects de ma vie.

Un collègue me disait que chez lui on demandait « labès ? ». Il m'a dit que ça voulait peu ou prou dire « ça va », et qu'on devait répondre « labès », même si ça n'allait pas. Je n'ai pas eu le moindre problème pour commencer nos échanges de la sorte. Les règles avaient été clairement explicitées et l'ignorance de la langue ne me permettait pas de prendre les mots au premier degré.

Parce que sinon, mes réponses peuvent être ... comment dire:

Sur le conseil de mon avocat, je refuse de répondre à cette question.
 Je me contre tamponne de la réponse, je conseille de faire de même.
 Étymologiquement beaucoup mieux maintenant que t'es là.
 Et bien, ma foi; du repas du caméléon: je mange l'air, bourré de promesses.

Je suis toujours rassurée de lire ça, car j'ai trop souvent eu l'impression d'être la seule à ne pas comprendre cette règle implicite.
Pire encore, ça me mets encore souvent en colère (émotion que j'intériorise et ne montre pas parce que je sais que ça ne serait pas convenable et admissible) que les gens puissent poser une question : « comment ça va ? », en en ayant rien à fiche de la réponse, voire en préférant pour réponse un mensonge : "ça va" même si on ne va pas bien...
Bref, même ma psy sait qu'il ne faut pas me poser cette question alors même que je sais que pour elle la question a du sens. Je crois que je suis devenue "allergique" à cette question .
D'ici à ce que je ne devienne pas bientôt "allergique" aux gens (conventionnellement hypocrites donc) et aux codes sociaux il n'y a pas grand chose...