Ô rage, ô désespoir, ô vieillesse ennemie !
N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?
Après chépu.
TSA, diagnostic établi à mes 33 ans par le CRA de ma région. "Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
ET ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers
que pour voir un jour flétrir tant de lauriers.
Je crois que c'est un truc du genre la suite. Mais ça m'a jamais vraiment parlé comme citation comme rien ne me parle en général.
Diagnostic d'autisme chez un psychiatre. PQI (Petit QI ).
"ne pèche plus, il pourrait t'arriver quelque chose de pire" Jésus
Bubu a écrit : ↑dimanche 9 juillet 2023 à 18:08
Ô rage, ô désespoir, ô vieillesse ennemie !
N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?
Après chépu.
Me reste plus que la croûte j'ai perdu la mie nan c'est pas ça ?
Non c'est pas ça. Mais ça rime.
Ça vient du Cid de Corneille. C'est l'histoire d'un cul contrarié comme les créait Molière.
On a évolué depuis, maintenant on a les Feux de l'Amour et Arabesque à la télé.
Modifié en dernier par Bubu le dimanche 9 juillet 2023 à 21:08, modifié 3 fois.
TSA, diagnostic établi à mes 33 ans par le CRA de ma région. "Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
Bubu a écrit : ↑dimanche 9 juillet 2023 à 18:49
Non c'est pas ça. Mais ça rime.
Ça vient du Cid de Molière. Une histoire de cul comme les créait Molière.
Rhoooo Bubu... Le Cid de Molière, vraiment ? Corneille doit se retourner dans sa tombe.
lulamae a écrit : ↑dimanche 9 juillet 2023 à 19:24
Bubu a écrit : ↑dimanche 9 juillet 2023 à 18:49
Non c'est pas ça. Mais ça rime.
Ça vient du Cid de Molière. Une histoire de cul comme les créait Molière.
Rhoooo Bubu... Le Cid de Molière, vraiment ? Corneille doit se retourner dans sa tombe.
Merci pour la correction. Le Cid de Corneille pardon.
Je ne corrige pas mon erreur dans les messages précédents, pour plus de lisibilité.
TSA, diagnostic établi à mes 33 ans par le CRA de ma région. "Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
C'est sûr que Molière était plutôt marrant en fait. Même si ses œuvres avaient parfois un côté tragique. La longue tirade en question n'aurait pas pu apparaître chez Jean Baptiste Poquelin. Trop déprimante .
Diagnostic d'autisme chez un psychiatre. PQI (Petit QI ).
"ne pèche plus, il pourrait t'arriver quelque chose de pire" Jésus
seul a écrit : ↑dimanche 9 juillet 2023 à 22:07
C'est sûr que Molière était plutôt marrant en fait. Même si ses œuvres avaient parfois un côté tragique. La longue tirade en question n'aurait pas pu apparaître chez Jean Baptiste Poquelin. Trop déprimante .
Jean Baptiste Poquelin c'est le vrai nom de Molière il me semble c'est ça ? désolée ma mémoire me fait défaut parfois (souvent) c'est pour m'y retrouver
seul a écrit : ↑dimanche 9 juillet 2023 à 22:07
C'est sûr que Molière était plutôt marrant en fait. Même si ses œuvres avaient parfois un côté tragique. La longue tirade en question n'aurait pas pu apparaître chez Jean Baptiste Poquelin. Trop déprimante .
Jean Baptiste Poquelin c'est le vrai nom de Molière il me semble c'est ça ? désolée ma mémoire me fait défaut parfois (souvent) c'est pour m'y retrouver
Oui il s'est choisi un pseudo bizarre ensuite .
Diagnostic d'autisme chez un psychiatre. PQI (Petit QI ).
"ne pèche plus, il pourrait t'arriver quelque chose de pire" Jésus
Ayant relu Le Pays où l'on n'arrive jamais d'André Dhôtel, en voici une citation :
Ainsi l’on remet toujours naïvement l’heure de la séparation, comme nous l’avons maintes fois observé et comme nous le dirons encore. La séparation apparaît tellement fatale qu’il est doux de gagner quelques heures et n’importe quelle histoire, si vous y songez bien, n’est jamais qu’une histoire de gens qui s’entretiennent, se querellent ou se saluent longuement pour prolonger leur réunion sur une terre où tout semble passager et où tout s’enfuit au fond du temps. (page 199)
lulamae a écrit : ↑vendredi 14 juillet 2023 à 11:52
Ayant relu Le Pays où l'on n'arrive jamais d'André Dhôtel, en voici une citation :
Ainsi l’on remet toujours naïvement l’heure de la séparation, comme nous l’avons maintes fois observé et comme nous le dirons encore. La séparation apparaît tellement fatale qu’il est doux de gagner quelques heures et n’importe quelle histoire, si vous y songez bien, n’est jamais qu’une histoire de gens qui s’entretiennent, se querellent ou se saluent longuement pour prolonger leur réunion sur une terre où tout semble passager et où tout s’enfuit au fond du temps. (page 199)
J’avais totalement adoré cet ouvrage. Il m’a habitée longtemps. Tu me donnes envie de le relire. Merci.
hazufel a écrit : ↑vendredi 14 juillet 2023 à 12:02
lulamae a écrit : ↑vendredi 14 juillet 2023 à 11:52
Ayant relu Le Pays où l'on n'arrive jamais d'André Dhôtel, en voici une citation :
Ainsi l’on remet toujours naïvement l’heure de la séparation, comme nous l’avons maintes fois observé et comme nous le dirons encore. La séparation apparaît tellement fatale qu’il est doux de gagner quelques heures et n’importe quelle histoire, si vous y songez bien, n’est jamais qu’une histoire de gens qui s’entretiennent, se querellent ou se saluent longuement pour prolonger leur réunion sur une terre où tout semble passager et où tout s’enfuit au fond du temps. (page 199)
J’avais totalement adoré cet ouvrage. Il m’a habitée longtemps. Tu me donnes envie de le relire. Merci.
Moi aussi, figure-toi, il m'a vraiment formée, comme Le Grand Meaulnes.
Tu aimeras peut-être le texte de cette autrice qui s'est également lancée dans la relecture (Christine Montalbetti, je ne la connaissais pas) :
lulamae a écrit : ↑vendredi 14 juillet 2023 à 12:14
hazufel a écrit : ↑vendredi 14 juillet 2023 à 12:02
lulamae a écrit : ↑vendredi 14 juillet 2023 à 11:52
Ayant relu Le Pays où l'on n'arrive jamais d'André Dhôtel, en voici une citation :
Ainsi l’on remet toujours naïvement l’heure de la séparation, comme nous l’avons maintes fois observé et comme nous le dirons encore. La séparation apparaît tellement fatale qu’il est doux de gagner quelques heures et n’importe quelle histoire, si vous y songez bien, n’est jamais qu’une histoire de gens qui s’entretiennent, se querellent ou se saluent longuement pour prolonger leur réunion sur une terre où tout semble passager et où tout s’enfuit au fond du temps. (page 199)
J’avais totalement adoré cet ouvrage. Il m’a habitée longtemps. Tu me donnes envie de le relire. Merci.
Moi aussi, figure-toi, il m'a vraiment formée, comme Le Grand Meaulnes.
Tu aimeras peut-être le texte de cette autrice qui s'est également lancée dans la relecture (Christine Montalbetti, je ne la connaissais pas) :
Oh ! Le Grand Meaulnes ! J'ai aussi adoré ce roman! Je l'ai lu au lycée.
Pour une fois que notre prof nous assommait pas avec du Zola ...
TSA, diagnostic établi à mes 33 ans par le CRA de ma région. "Ce syndrome est caractérisé chez ce patient par l’absence de détérioration intellectuelle, un syndrome dysexécutif, un déficit d'attention"
lulamae a écrit : ↑vendredi 14 juillet 2023 à 12:14
hazufel a écrit : ↑vendredi 14 juillet 2023 à 12:02
J’avais totalement adoré cet ouvrage. Il m’a habitée longtemps. Tu me donnes envie de le relire. Merci.
Moi aussi, figure-toi, il m'a vraiment formée, comme Le Grand Meaulnes.
Tu aimeras peut-être le texte de cette autrice qui s'est également lancée dans la relecture (Christine Montalbetti, je ne la connaissais pas) :
Oh ! Le Grand Meaulnes ! J'ai aussi adoré ce roman! Je l'ai lu au lycée.
Pour une fois que notre prof nous assommait pas avec du Zola ...
Je l'ai lu aussi au lycée, cela doit être mon préféré entre tous, mais il y a quand même aussi La Nuit des temps de Barjavel, que je vais sans doute relire cet été aussi.