Je suis atterré de voir les noms ayant signé une telle tribune qui part du principe que les personnes autistes ne sont pas capables de se connaître elles-mêmes et que d'autres savent mieux qu'elles ce qui leur faut.
Cette tribune a été publiée dans le Point et reprend tous les arguments transphobes qui circulent partout. A titre d'exemple, les bloqueurs de puberté ça concerne en tout et pour tout en France depuis 2013 26 mineur.es. C'est une panique morale par des gens qui n'ont pas grand chose d'autre à faire (et qui savent quand et comment se faire de l'argent, voir les films de S* R* et l'argent qu'elle engrange à ce sujet avec ses théories du complot complètement irréalistes, tous les livres qui sortent à ce sujet, les émissions, etc etc).
Bref, très décevant et cela montre bien que ces personnes ne connaissent pas le sujet.
Y'a-t-il un lien entre autisme et dysphorie de genre?
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Jean
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Re: Y'a-t-il un lien entre autisme et dysphorie de genre?
Un autre
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: Y'a-t-il un lien entre autisme et dysphorie de genre?
Sur l'affirmation "l’incongruence de genre apparaissant dans l’enfance se résout souvent naturellement à l'âge adulte" (manifeste p.1 / Argumentaire p.5)
https://docs.google.com/document/d/1F_a ... xhaYM/edit
https://docs.google.com/document/d/1F_a ... xhaYM/edit
Critique des études les plus récentes ici : https://twitter.com/Bunker_D_/status/15 ... 9596779523
(Basiquement : tous les enfants interrogés ne sont pas forcément trans + les critères pour déduire la disparition de la dysphorie ne sont pas suffisants)
Sur l'étude de Singh : https://twitter.com/Bunker_D_/status/15 ... 3423225857
Et le mieux dans le pire, celles des années 70 et 80 : https://twitter.com/Bunker_D_/status/15 ... 9796379649
père autiste d'une fille autiste "Asperger" de 41 ans
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Re: Y'a-t-il un lien entre autisme et dysphorie de genre?
De premières lignes directrices (2016)
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Carapa
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Re: Y'a-t-il un lien entre autisme et dysphorie de genre?
Sans prendre position sur le fond, je trouve qu'il y a un côté "100% des gagnants auront tenté leur chance" dans cet argument...Jean a écrit : ↑lundi 20 février 2023 à 15:56 Un commentaire d'un médecinsigner un manifeste disant que l'incongruence de genre apparue dans l'enfance se résout à l'âge adulte n'est pas acceptable car c'est faux. Tous les transgenres rencontrés dans le cadre de mon travail en AMP(préservation de la fertilité par autoconservation de spermatozoïdes avant traitement antiandrogenes) pensaient être femmes depuis l'enfance.
Diagnostiqué SA (septembre 2016).
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Re: Y'a-t-il un lien entre autisme et dysphorie de genre?
lemonde.fr
Sur les transidentités, la nécessité d’un débat apaisé
Solène Cordier
Alors que les plus jeunes interrogent davantage les rapports de genre que leurs aînés, les données manquent pour contrer les discours idéologiques.
Ces dernières années, dans de nombreux pays d’Europe et du monde, se pose la question de la place à accorder aux personnes transgenres, qui viennent bousculer la construction binaire de nos sociétés. Faut-il consacrer le droit à l’« autodétermination de genre », qui permet de se voir reconnaître homme ou femme sans diagnostic médical ? Quelles modalités mettre en place pour modifier l’état civil ? Selon quels principes autoriser ou non l’accès aux droits reproductifs, à la filiation, après un changement de genre ? Ces débats cristallisent des tensions très fortes, comme on a pu le voir en Espagne, où le vote, le 16 février, d’une loi permettant de changer librement de genre dès l’âge de 16 ans, sur simple déclaration, a provoqué la colère d’une partie du mouvement féministe.
En France, c’est un autre sujet qui fait polémique depuis plusieurs mois : celui de l’accompagnement des mineurs en questionnement de genre, et en particulier leur prise en charge médicale. Certains intellectuels s’élèvent régulièrement contre une « dérive » supposée en la matière. Dernier épisode en date : la publication, sur le site de la Caisse d’allocations familiales (CAF), d’une page intitulée « Mon enfant est transgenre, comment bien l’accompagner ? » a provoqué l’envoi d’une lettre ouverte au ministre de la santé, titrée « La CAF doit cesser de promouvoir l’idéologie trans ! », publiée le 16 février dans Le Figaro.
Parmi les 80 signataires se trouvent des personnalités comme la philosophe Elisabeth Badinter ou le gynécologue René Frydman, ainsi que les psychanalystes Caroline Eliacheff et Céline Masson, cofondatrice de l’Observatoire de la petite sirène. Ces deux dernières mènent l’offensive sur ce sujet qui les préoccupe, comme en témoigne leur ouvrage La Fabrique de l’enfant transgenre (éd. de L’Observatoire, 2022). Elles formulent notamment « l’hypothèse, corroborée par d’autres auteurs, que la transidentité (le besoin de vivre dans un genre différent du “sexe assigné à la naissance”) relève d’une subculture idéologique contagieuse via les réseaux sociaux, se rapprochant par maints aspects de l’emprise sectaire ». Accusées de transphobie, elles ont été empêchées par des militants de présenter leur livre lors de conférences à Lille et à Bruxelles.
Les deux autrices affirment que, « aujourd’hui, il suffit de vouloir changer de sexe avec le blanc-seing du corps médical afin de le pouvoir ». Alertant sur les risques liés au changement de genre des enfants, et contre les dommages « irréversibles » de certains traitements, elles interrogent : « Allons-nous assister au premier grand scandale médical et éthique du XXIe siècle avec les traitements dispensés aux mineurs qui souhaitent changer de sexe ? »
Bonnes pratiques internationales
Qu’en est-il réellement ? Suffit-il de se rendre chez un médecin avec un discours stéréotypé pour se voir prescrire des bloqueurs de puberté ou des hormones ? Cette affirmation est contredite par des chercheurs et par des médecins au contact de personnes transgenres. L’anthropologue Laurence Hérault, spécialiste du genre, déplore « un fantasme sur la prise en charge médicale des jeunes trans », s’inscrivant dans « une vieille antienne des anti-LGBT qui, sous couvert de protection de la jeunesse, véhicule en fait un discours de haine ». Un discours qui, comme en 2013 lors des débats sur l’ouverture du mariage aux personnes de même sexe, cacherait une « volonté de protéger un ordre social et familial traditionnel ».
De quoi parle-t-on ? La sociologue du genre Gabrielle Richard, qui intervient dans les établissements scolaires, eux-mêmes en prise aux demandes récentes d’élèves de se faire prénommer ou genrer dans le sexe opposé, appelle à « garder en tête les chiffres fiables dont on dispose, à l’échelle internationale ». Pour les données récentes, la chercheuse indique ainsi qu’au Canada, où le recensement des personnes transgenres et non binaires est effectué, 0,33 % des 15 ans et plus se définissaient comme tels en 2022 – 0,79 % sur la tranche des 15-24 ans.
Ces situations se révèlent davantage aujourd’hui qu’hier. Mais les données manquent en France. Selon un rapport remis en janvier 2022 au ministère de la santé, la Caisse nationale d’assurance-maladie comptabilisait 294 bénéficiaires du dispositif de l’affection longue durée pour transidentité chez les moins de 18 ans en 2020, contre 8 en 2013. Soit une augmentation de l’ordre de 3 675 % de la prise en charge par la Sécurité sociale des soins médicaux liés à la transition. Ces chiffres ne rendent probablement compte « que très partiellement [du] nombre réel de mineurs suivis », soulignent les auteurs.
De l’avis des professionnels de santé, on assiste incontestablement à une augmentation des demandes de diagnostic de dysphorie de genre chez les mineurs. Les consultations spécialisées – il en existe une dizaine en milieu hospitalier – se disent aujourd’hui saturées, avec des listes d’attente de dix-huit mois pour un premier rendez-vous. Mais tous les patients ne sont pas en demande de traitement. Et, surtout, les médecins qui les reçoivent s’appuient sur les recommandations de bonnes pratiques de la littérature scientifique internationale. Il est extrêmement rare que des opérations chirurgicales soient décidées sur des mineurs, et ces situations sont nécessairement abordées lors de réunions pluridisciplinaires qui rassemblent des médecins, des endocrinologues, des psychiatres, ainsi que des associations de personnes concernées.
S’il est indéniable que les jeunes générations questionnent davantage leur rapport au genre, en se jouant des codes du masculin et du féminin, parler d’« épidémie de transgenres », comme on l’entend parfois, est préjudiciable. Face à ces situations, certes minoritaires et encore inhabituelles, un débat de société apaisé est au contraire nécessaire pour éviter la stigmatisation de populations souvent vulnérables.
Solène Cordier
Sur les transidentités, la nécessité d’un débat apaisé
Solène Cordier
Alors que les plus jeunes interrogent davantage les rapports de genre que leurs aînés, les données manquent pour contrer les discours idéologiques.
Ces dernières années, dans de nombreux pays d’Europe et du monde, se pose la question de la place à accorder aux personnes transgenres, qui viennent bousculer la construction binaire de nos sociétés. Faut-il consacrer le droit à l’« autodétermination de genre », qui permet de se voir reconnaître homme ou femme sans diagnostic médical ? Quelles modalités mettre en place pour modifier l’état civil ? Selon quels principes autoriser ou non l’accès aux droits reproductifs, à la filiation, après un changement de genre ? Ces débats cristallisent des tensions très fortes, comme on a pu le voir en Espagne, où le vote, le 16 février, d’une loi permettant de changer librement de genre dès l’âge de 16 ans, sur simple déclaration, a provoqué la colère d’une partie du mouvement féministe.
En France, c’est un autre sujet qui fait polémique depuis plusieurs mois : celui de l’accompagnement des mineurs en questionnement de genre, et en particulier leur prise en charge médicale. Certains intellectuels s’élèvent régulièrement contre une « dérive » supposée en la matière. Dernier épisode en date : la publication, sur le site de la Caisse d’allocations familiales (CAF), d’une page intitulée « Mon enfant est transgenre, comment bien l’accompagner ? » a provoqué l’envoi d’une lettre ouverte au ministre de la santé, titrée « La CAF doit cesser de promouvoir l’idéologie trans ! », publiée le 16 février dans Le Figaro.
Parmi les 80 signataires se trouvent des personnalités comme la philosophe Elisabeth Badinter ou le gynécologue René Frydman, ainsi que les psychanalystes Caroline Eliacheff et Céline Masson, cofondatrice de l’Observatoire de la petite sirène. Ces deux dernières mènent l’offensive sur ce sujet qui les préoccupe, comme en témoigne leur ouvrage La Fabrique de l’enfant transgenre (éd. de L’Observatoire, 2022). Elles formulent notamment « l’hypothèse, corroborée par d’autres auteurs, que la transidentité (le besoin de vivre dans un genre différent du “sexe assigné à la naissance”) relève d’une subculture idéologique contagieuse via les réseaux sociaux, se rapprochant par maints aspects de l’emprise sectaire ». Accusées de transphobie, elles ont été empêchées par des militants de présenter leur livre lors de conférences à Lille et à Bruxelles.
Les deux autrices affirment que, « aujourd’hui, il suffit de vouloir changer de sexe avec le blanc-seing du corps médical afin de le pouvoir ». Alertant sur les risques liés au changement de genre des enfants, et contre les dommages « irréversibles » de certains traitements, elles interrogent : « Allons-nous assister au premier grand scandale médical et éthique du XXIe siècle avec les traitements dispensés aux mineurs qui souhaitent changer de sexe ? »
Bonnes pratiques internationales
Qu’en est-il réellement ? Suffit-il de se rendre chez un médecin avec un discours stéréotypé pour se voir prescrire des bloqueurs de puberté ou des hormones ? Cette affirmation est contredite par des chercheurs et par des médecins au contact de personnes transgenres. L’anthropologue Laurence Hérault, spécialiste du genre, déplore « un fantasme sur la prise en charge médicale des jeunes trans », s’inscrivant dans « une vieille antienne des anti-LGBT qui, sous couvert de protection de la jeunesse, véhicule en fait un discours de haine ». Un discours qui, comme en 2013 lors des débats sur l’ouverture du mariage aux personnes de même sexe, cacherait une « volonté de protéger un ordre social et familial traditionnel ».
De quoi parle-t-on ? La sociologue du genre Gabrielle Richard, qui intervient dans les établissements scolaires, eux-mêmes en prise aux demandes récentes d’élèves de se faire prénommer ou genrer dans le sexe opposé, appelle à « garder en tête les chiffres fiables dont on dispose, à l’échelle internationale ». Pour les données récentes, la chercheuse indique ainsi qu’au Canada, où le recensement des personnes transgenres et non binaires est effectué, 0,33 % des 15 ans et plus se définissaient comme tels en 2022 – 0,79 % sur la tranche des 15-24 ans.
Ces situations se révèlent davantage aujourd’hui qu’hier. Mais les données manquent en France. Selon un rapport remis en janvier 2022 au ministère de la santé, la Caisse nationale d’assurance-maladie comptabilisait 294 bénéficiaires du dispositif de l’affection longue durée pour transidentité chez les moins de 18 ans en 2020, contre 8 en 2013. Soit une augmentation de l’ordre de 3 675 % de la prise en charge par la Sécurité sociale des soins médicaux liés à la transition. Ces chiffres ne rendent probablement compte « que très partiellement [du] nombre réel de mineurs suivis », soulignent les auteurs.
De l’avis des professionnels de santé, on assiste incontestablement à une augmentation des demandes de diagnostic de dysphorie de genre chez les mineurs. Les consultations spécialisées – il en existe une dizaine en milieu hospitalier – se disent aujourd’hui saturées, avec des listes d’attente de dix-huit mois pour un premier rendez-vous. Mais tous les patients ne sont pas en demande de traitement. Et, surtout, les médecins qui les reçoivent s’appuient sur les recommandations de bonnes pratiques de la littérature scientifique internationale. Il est extrêmement rare que des opérations chirurgicales soient décidées sur des mineurs, et ces situations sont nécessairement abordées lors de réunions pluridisciplinaires qui rassemblent des médecins, des endocrinologues, des psychiatres, ainsi que des associations de personnes concernées.
S’il est indéniable que les jeunes générations questionnent davantage leur rapport au genre, en se jouant des codes du masculin et du féminin, parler d’« épidémie de transgenres », comme on l’entend parfois, est préjudiciable. Face à ces situations, certes minoritaires et encore inhabituelles, un débat de société apaisé est au contraire nécessaire pour éviter la stigmatisation de populations souvent vulnérables.
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Re: Y'a-t-il un lien entre autisme et dysphorie de genre?
La dysphorie de genre chez les jeunes est en hausse, tout comme les désaccords
Un article du "British Medical Journal" fait le point sur les débats dans différents pays sur l'accompagnement des mineurs présentant une dysphorie de genre, Un article d'actualité.
https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... desaccords
Un article du "British Medical Journal" fait le point sur les débats dans différents pays sur l'accompagnement des mineurs présentant une dysphorie de genre, Un article d'actualité.
https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... desaccords
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Re: Y'a-t-il un lien entre autisme et dysphorie de genre?
Des thérapeutes tentent de convaincre les enfants qu'ils ne sont pas réellement transgenres
La thérapie exploratoire du genre gagne en popularité, en particulier dans les États qui s'efforcent déjà d'interdire les soins de confirmation du genre pour les jeunes transgenres.
slate.com Traduction de "How Therapists Are Trying to Convince Children That They’re Not Actually Trans" - Helen Santoro – 2 mai 2023
https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... ransgenres
La thérapie exploratoire du genre gagne en popularité, en particulier dans les États qui s'efforcent déjà d'interdire les soins de confirmation du genre pour les jeunes transgenres.
slate.com Traduction de "How Therapists Are Trying to Convince Children That They’re Not Actually Trans" - Helen Santoro – 2 mai 2023
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Re: Y'a-t-il un lien entre autisme et dysphorie de genre?
https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... de-menaces
La prise en charge de l'affirmation du genre doit être acceptée et ne doit pas faire l'objet de messages au vitriol et de menaces à la bombe
En tant que pédiatre et parent d'un fils transgenre, Carole Allen est de plus en plus alarmée par le degré de haine qui entoure, aux États-Unis, la prestation de soins, tenant compte de l'appartenance sexuelle, aux enfants et aux adolescents
statnews.com Traduction de "Gender-affirming care should be embraced, not met with vitriol and bomb threats" - 23 septembre 2022 - Carole Allen
La prise en charge de l'affirmation du genre doit être acceptée et ne doit pas faire l'objet de messages au vitriol et de menaces à la bombe
En tant que pédiatre et parent d'un fils transgenre, Carole Allen est de plus en plus alarmée par le degré de haine qui entoure, aux États-Unis, la prestation de soins, tenant compte de l'appartenance sexuelle, aux enfants et aux adolescents
statnews.com Traduction de "Gender-affirming care should be embraced, not met with vitriol and bomb threats" - 23 septembre 2022 - Carole Allen
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Re: Y'a-t-il un lien entre autisme et dysphorie de genre?
Persistance de l'identité de genre transgenre chez les enfants et les adolescents
Les études faisant état d'une stabilité accrue de l'identité de genre après la puberté, de taux élevés de poursuite du traitement et de faibles niveaux de regret après l'arrêt du traitement suggèrent que le regret après avoir commencé à prendre des hormones d'affirmation du genre est un événement relativement rare
publications.aap.org Traduction de "Persistence of Transgender Gender Identity Among Children and Adolescents" -Roberts, Christina - Commentaire | 13 juillet 2022 https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... dolescents
Les études faisant état d'une stabilité accrue de l'identité de genre après la puberté, de taux élevés de poursuite du traitement et de faibles niveaux de regret après l'arrêt du traitement suggèrent que le regret après avoir commencé à prendre des hormones d'affirmation du genre est un événement relativement rare
publications.aap.org Traduction de "Persistence of Transgender Gender Identity Among Children and Adolescents" -Roberts, Christina - Commentaire | 13 juillet 2022 https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... dolescents
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Re: Y'a-t-il un lien entre autisme et dysphorie de genre?
Besoins et soutien liés à la détransition : Une enquête transversale en ligne
Un article - contestable - sur la "détransition", quand une personne transgenre modifie, au moins temporairement, son objectif initial de transition.
https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... e-en-ligne
Un article - contestable - sur la "détransition", quand une personne transgenre modifie, au moins temporairement, son objectif initial de transition.
https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... e-en-ligne
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Re: Y'a-t-il un lien entre autisme et dysphorie de genre?
Détransition, retransition et ce que tout le monde oublie
Un article publié dans The Atlantic exhorte les gens à prendre les détransitionneurs au sérieux, mais le fait en perpétuant des clichés non fondés sur des preuves qui nuisent à la fois aux détransitionneurs et aux personnes transgenres.
sciencebasedmedicine.org Traducion de "Detransition, Retransition, and What Everyone Gets Wrong | Science-Based Medicine" -AJ Eckert le 14 mai 2023 https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... nde-oublie
Un article publié dans The Atlantic exhorte les gens à prendre les détransitionneurs au sérieux, mais le fait en perpétuant des clichés non fondés sur des preuves qui nuisent à la fois aux détransitionneurs et aux personnes transgenres.
sciencebasedmedicine.org Traducion de "Detransition, Retransition, and What Everyone Gets Wrong | Science-Based Medicine" -AJ Eckert le 14 mai 2023 https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... nde-oublie
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Re: Y'a-t-il un lien entre autisme et dysphorie de genre?
Les erreurs du New York Times sur les bloqueurs de puberté pour les jeunes transgenres | Science-Based Medicine
Une critique détaillée d'un article "équilibré" du New-York Times sur les bloqueurs de puberté pour les mineurs transgenres.
sciencebasedmedicine.org Traduction de "What the New York Times gets wrong about puberty blockers for transgender youth | Science-Based Medicine" 4 décembre 2022
https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... ransgenres
Une critique détaillée d'un article "équilibré" du New-York Times sur les bloqueurs de puberté pour les mineurs transgenres.
sciencebasedmedicine.org Traduction de "What the New York Times gets wrong about puberty blockers for transgender youth | Science-Based Medicine" 4 décembre 2022
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Re: Y'a-t-il un lien entre autisme et dysphorie de genre?
Trouble du spectre autistique et dysphorie de genre associés chez les adolescents
6 sur 1000 adolescents ont une dysphorie de genre, 11 pour 1000 des adolescents autistes.
publications.aap.org Traduction de "Co-occurring Autism Spectrum Disorder and Gender Dysphoria in Adolescents" -Pediatrics https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... dolescents
6 sur 1000 adolescents ont une dysphorie de genre, 11 pour 1000 des adolescents autistes.
publications.aap.org Traduction de "Co-occurring Autism Spectrum Disorder and Gender Dysphoria in Adolescents" -Pediatrics https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... dolescents
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Re: Y'a-t-il un lien entre autisme et dysphorie de genre?
Détransition, désistance et désinformation : un guide pour comprendre le débat sur les enfants trans
Source: https://juliaserano.medium.com/detransi ... 3b7342946e
Autrice: Julia Serano Traducteurice: MaddyKitty Publié initialement: 3 août 2016
https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... formation-
Julia Serano : Détransition, désistance et désinformation (2)
Suite de "Détransition, désistance et désinformation : un guide pour comprendre le débat sur les enfants trans"
https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... ormation-2
Source: https://juliaserano.medium.com/detransi ... 3b7342946e
Autrice: Julia Serano Traducteurice: MaddyKitty Publié initialement: 3 août 2016
https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... formation-
Julia Serano : Détransition, désistance et désinformation (2)
Suite de "Détransition, désistance et désinformation : un guide pour comprendre le débat sur les enfants trans"
https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... ormation-2
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Re: Y'a-t-il un lien entre autisme et dysphorie de genre?
Des soins adaptés à l'autisme et à la diversité des genres
Commentaire de la recherche qui établit que 3 fois plus de jeunes autistes sont transgenres.
Traduction de "Affirming Care for Autism and Gender Diversity" - Pediatrics
https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... des-genres
Autisme et transgenre : Premières directives cliniques pour le trouble du spectre de l’autisme co-survenant et la dysphorie de genre ou l’incongruence chez les adolescents (2016)
John F. Strang,Haleyme,Lauren Kenworthy,annelou L. C. de Vries,Edgardo menvielle,Scott Leibowitz, Show All
https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... -cliniques
Commentaire de la recherche qui établit que 3 fois plus de jeunes autistes sont transgenres.
Traduction de "Affirming Care for Autism and Gender Diversity" - Pediatrics
https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... des-genres
Autisme et transgenre : Premières directives cliniques pour le trouble du spectre de l’autisme co-survenant et la dysphorie de genre ou l’incongruence chez les adolescents (2016)
John F. Strang,Haleyme,Lauren Kenworthy,annelou L. C. de Vries,Edgardo menvielle,Scott Leibowitz, Show All
https://blogs.mediapart.fr/jean-vincot/ ... -cliniques
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