La cocaïne, la confiance en soi et l'autisme asperger
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La cocaïne, la confiance en soi et l'autisme asperger
Bonjour, depuis le printemps 2021 suite à un rejet amoureux douloureux avant même que j'admette que j'avais des sentiments amoureux pour une femme que je considérais comme une amie et suite aux mesures sanitaires absurdes et liberticide etc, j'ai eu l'occasion avec des amies de prendre de la cocaïne pour me consoler de la situation (j'avais déja goûter avant pour le fun, mais sans plus). Au début, je n'en prenais que quelques fois. Avec l'arrivée d'une période très compliquée pour moi en été 2021 (punaises de lit, changement de logement, arrivé du passe sanitaire, tentation de toujours taper plus de traces avec une amie en situation compliquée pour elle-même et j'en passe), cela a intensifié ma prise de rail de Coke au file des mois qui passait. Maintenant, je prends presque toutes les semaines selon les occasions (seulement lors de soirées ou en compagnie d'amis). Et le pire, c'est que j'alterne de temps en temps qui il n'y en a pas en soirée avec du speed. Je ne dépense que très peu d'argent là-dedans (150€ juin - juillet), car je n'ai pas envie d'y mettre tout mon argent dans ce genre de chose, je vaux mieux que ça. J'ai le projet de devenir propriétaire dans les années qui viennent. Autre info, je fume de la beuh avec du tabac quotidiennement.
Là où je veux en venir, c'est que j'ai remarqué au-delà du fait des effets que cette drogue me procure dans sa montée (euphorie, confiance en soit, désinhibition, amour de tout) et sa décente (dépression, doutes, remise en question de soi, insomnie et grosse fatigue pendant un jour). Je remarque que même après chaque décente de Coke, je garde une amélioration de ma confiance en soi-même après plusieurs semaines une prise. Je remarque aussi, que je suis un peu plus fataliste et réaliste face au monde qui m’entoure. La plupart des conseils ou des méthodes pour avoir une meilleure estime de soi ne fonctionne pas très bien. Exercice de respiration, méditation, sophrologie, phrases positives intérieur, suivie avec une psychiatre et j'en passe ne fonctionne pas, car je ne suis pas de nature patiente dans le domaine du développement personnel vu que je veux tout de suite du résultat et que j'ai peur du changement et de mal faire. La seule chose que j'arrive à tenir, ce sont mes RDV chez une psychiatre. J'ai l'impression qu'en consommant de la cocaïne, j'éduque et j’habitue mon mental à avoir confiance en moi et à ne plus me dévaloriser. C'est un peu comme rouler avec un vélo à roulette quand on est gamin pour ensuite avoir plus d'assurance sur un vélo classique en termes d'équilibre.
L'une des seules alternatives à la Coke, c'est d'être en présence de certaines personnes qui m'apporte réconfort, de l'amour comme j'aime, de la confiance en soi et avec qui je m'y retrouve intellectuellement parlant, mais malheureusement elle sont rarement disponible.
Je sais que souvent la cocaïne est coupée avec d'autres substances, j'aimerais savoir quel est le produit ou la molécule qui m'aide à renforcer mon esprit sur le long terme. Je voudrais savoir afin de la prendre de temps en temps sans être obligé de prendre de la Coke. Mais je n'ai pas non plus envie de me shooter aux antidépresseurs ou aux anxiolytiques, je ne suis pas fou ou malade.
Je pense avoir tout dis, j'aimerais bien avoir votre avis sur le sujet, merci.
Là où je veux en venir, c'est que j'ai remarqué au-delà du fait des effets que cette drogue me procure dans sa montée (euphorie, confiance en soit, désinhibition, amour de tout) et sa décente (dépression, doutes, remise en question de soi, insomnie et grosse fatigue pendant un jour). Je remarque que même après chaque décente de Coke, je garde une amélioration de ma confiance en soi-même après plusieurs semaines une prise. Je remarque aussi, que je suis un peu plus fataliste et réaliste face au monde qui m’entoure. La plupart des conseils ou des méthodes pour avoir une meilleure estime de soi ne fonctionne pas très bien. Exercice de respiration, méditation, sophrologie, phrases positives intérieur, suivie avec une psychiatre et j'en passe ne fonctionne pas, car je ne suis pas de nature patiente dans le domaine du développement personnel vu que je veux tout de suite du résultat et que j'ai peur du changement et de mal faire. La seule chose que j'arrive à tenir, ce sont mes RDV chez une psychiatre. J'ai l'impression qu'en consommant de la cocaïne, j'éduque et j’habitue mon mental à avoir confiance en moi et à ne plus me dévaloriser. C'est un peu comme rouler avec un vélo à roulette quand on est gamin pour ensuite avoir plus d'assurance sur un vélo classique en termes d'équilibre.
L'une des seules alternatives à la Coke, c'est d'être en présence de certaines personnes qui m'apporte réconfort, de l'amour comme j'aime, de la confiance en soi et avec qui je m'y retrouve intellectuellement parlant, mais malheureusement elle sont rarement disponible.
Je sais que souvent la cocaïne est coupée avec d'autres substances, j'aimerais savoir quel est le produit ou la molécule qui m'aide à renforcer mon esprit sur le long terme. Je voudrais savoir afin de la prendre de temps en temps sans être obligé de prendre de la Coke. Mais je n'ai pas non plus envie de me shooter aux antidépresseurs ou aux anxiolytiques, je ne suis pas fou ou malade.
Je pense avoir tout dis, j'aimerais bien avoir votre avis sur le sujet, merci.
(TSA)
Ce n'est pas nous les neurodivergents qui sommes irrécupérable, mais nos oppresseurs...
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Re: La cocaïne, la confiance en soi et l'autisme asperger
Je comprends bien ta motivation mais purée, tu prends un énorme risque !
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Re: La cocaïne, la confiance en soi et l'autisme asperger
C'est une impression trompeuse, les témoignages de personnes qui se sont illusionnées sur l'usage de la cocaïne sont légion.Mouton divergent a écrit : ↑vendredi 29 juillet 2022 à 14:48 J'ai l'impression qu'en consommant de la cocaïne, j'éduque et j’habitue mon mental à avoir confiance en moi et à ne plus me dévaloriser. C'est un peu comme rouler avec un vélo à roulette quand on est gamin pour ensuite avoir plus d'assurance sur un vélo classique en termes d'équilibre.
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Re: La cocaïne, la confiance en soi et l'autisme asperger
On peut se demander si cette état de (sur)confiance et d'euphorie participe à la dépendance.
Et si ta confiance peut rester malgré l'arrêt de la cocaïne.
À l'instar de l'alcool ( ), la cocaïne a divers mauvais effets, malgré cette impression de confiance.
Sans cocaïne, tu peux maintenir plus de choses que juste tes rendez-vous avec la psychiatre. À quoi sert la confiance si elle ne te permet pas de faire tes activités du quotidien (cuisine, ménage, lessive, randonnées, intérêts restreints, etc.) ? Je pense plutôt que ce sont tes activités que tu fais pour toi-même qui te redonneront confiance.
Je me demande si ça te fait vraiment confiance quand tu dis devenir plus fataliste. Quand on est fataliste, on risque de ne faire plus confiance à personne, même pas à soi-même.
Parfois, tu vois des personnes qui ont pris de ces drogues (comme la cocaïne) et qui marchent ou restent assises ou couchées comme des loques, des zombies.
L'argent que tu dépenses en drogues, ça occupe quel pourcentage de ton budget ?
Bon, après, pas facile d'arrêter les drogues, surtout si on en consomme différentes régulièrement.
Et si ta confiance peut rester malgré l'arrêt de la cocaïne.
À l'instar de l'alcool ( ), la cocaïne a divers mauvais effets, malgré cette impression de confiance.
Sans cocaïne, tu peux maintenir plus de choses que juste tes rendez-vous avec la psychiatre. À quoi sert la confiance si elle ne te permet pas de faire tes activités du quotidien (cuisine, ménage, lessive, randonnées, intérêts restreints, etc.) ? Je pense plutôt que ce sont tes activités que tu fais pour toi-même qui te redonneront confiance.
Je me demande si ça te fait vraiment confiance quand tu dis devenir plus fataliste. Quand on est fataliste, on risque de ne faire plus confiance à personne, même pas à soi-même.
Parfois, tu vois des personnes qui ont pris de ces drogues (comme la cocaïne) et qui marchent ou restent assises ou couchées comme des loques, des zombies.
L'argent que tu dépenses en drogues, ça occupe quel pourcentage de ton budget ?
Bon, après, pas facile d'arrêter les drogues, surtout si on en consomme différentes régulièrement.
Pardon, humilité, humour, hasard, confiance, humanisme, partage, curiosité et diversité sont des gros piliers de la liberté et de la sérénité.
Diagnostiqué autiste en l'été 2014
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Re: La cocaïne, la confiance en soi et l'autisme asperger
Hello, je me reconnais un peu dans ce que tu décris. J'ai eu une période pendant laquelle je consommais des drogues dont de la coke (période durant laquelle j'étais très vulnérable psychologiquement et pendant laquelle j'avais une peur bleue de faire une soirée avec d'autres gens car manque de confiance etc...)
En fait j'ai l'impression que ce schéma de consommateur de coke se répète quasiment à chaque fois. Soit tu commence à en prendre pour avoir plus de confiance et d'énergie dans certaines activités perso puis cela glisse vers les sorties, soit c'est l'inverse, c'est à dire que tu commence à en prendre en soirée pour avoir plus de confiance et passer un moment plus fun et ça dérive sur le perso parce qu'alors chaque évènement, chaque sortie même juste aller boire un verre te paraît moins fun sans coke.
Je dirais comme les autres que ce sentiment d'avoir plus confiance en toi même quand tu n'en prend pas, il faut t'en méfier. C'est bien la redescente et l'augmentation des symptômes que l'on voulait supprimer (manque de confiance, parano, sensation de ne pas être dans le moule..) qui nous poussent à reconsommer, donc c'est sans fin, on ne règle pas le problème de fond, on crée un cercle vicieux qui creuse toujours plus le fossé entre ce que l'on projette d'être et ce qu'on pense être vraiment!
Bon, je ne vais pas te faire un serment sur la drogue car tout cela tu t'en doutes, mais méfie-toi quand même. Et pour la molécule, je n'en sais rien mais dans tous les cas ça reste de la drogue et la coke y participe. Ce que je veux dire, c'est que ce schéma bien-être puis mini dépression et puis impossible de ne pas en prendre en soirée je l'ai vécu aussi avec l'ecstasy et on sait que c'est bourré de différents produits super nocifs, faut pas chercher à trouver la molécule miracle qui va te désinhiber sur le long terme et faire que tu sera toujours bien car ça n'existe pas.
Par contre, les anxiolytiques ne sont pas pour le fous comme tu dis, ça peut parfaitement aider à un moment donné
Pour ce qui est de savoir si l'autisme accentue les effets de la drogue, je ne sais pas vraiment, mais je pense que toutes les personnes sensibles sont plus réceptives car les effets sont décuplés, parfois ils sont encore plus appréciables et spectaculaires que pour d'autres personnes alors c'est tellement facile de tomber dans l'addiction... Force à toi en tous cas, je sais que c'est pas facile.
En fait j'ai l'impression que ce schéma de consommateur de coke se répète quasiment à chaque fois. Soit tu commence à en prendre pour avoir plus de confiance et d'énergie dans certaines activités perso puis cela glisse vers les sorties, soit c'est l'inverse, c'est à dire que tu commence à en prendre en soirée pour avoir plus de confiance et passer un moment plus fun et ça dérive sur le perso parce qu'alors chaque évènement, chaque sortie même juste aller boire un verre te paraît moins fun sans coke.
Je dirais comme les autres que ce sentiment d'avoir plus confiance en toi même quand tu n'en prend pas, il faut t'en méfier. C'est bien la redescente et l'augmentation des symptômes que l'on voulait supprimer (manque de confiance, parano, sensation de ne pas être dans le moule..) qui nous poussent à reconsommer, donc c'est sans fin, on ne règle pas le problème de fond, on crée un cercle vicieux qui creuse toujours plus le fossé entre ce que l'on projette d'être et ce qu'on pense être vraiment!
Bon, je ne vais pas te faire un serment sur la drogue car tout cela tu t'en doutes, mais méfie-toi quand même. Et pour la molécule, je n'en sais rien mais dans tous les cas ça reste de la drogue et la coke y participe. Ce que je veux dire, c'est que ce schéma bien-être puis mini dépression et puis impossible de ne pas en prendre en soirée je l'ai vécu aussi avec l'ecstasy et on sait que c'est bourré de différents produits super nocifs, faut pas chercher à trouver la molécule miracle qui va te désinhiber sur le long terme et faire que tu sera toujours bien car ça n'existe pas.
Par contre, les anxiolytiques ne sont pas pour le fous comme tu dis, ça peut parfaitement aider à un moment donné
Pour ce qui est de savoir si l'autisme accentue les effets de la drogue, je ne sais pas vraiment, mais je pense que toutes les personnes sensibles sont plus réceptives car les effets sont décuplés, parfois ils sont encore plus appréciables et spectaculaires que pour d'autres personnes alors c'est tellement facile de tomber dans l'addiction... Force à toi en tous cas, je sais que c'est pas facile.
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Re: La cocaïne, la confiance en soi et l'autisme asperger
Merci pour vos réponses.freeshost a écrit : ↑samedi 30 juillet 2022 à 11:02 On peut se demander si cette état de (sur)confiance et d'euphorie participe à la dépendance.
Et si ta confiance peut rester malgré l'arrêt de la cocaïne.
À l'instar de l'alcool ( ), la cocaïne a divers mauvais effets, malgré cette impression de confiance.
Sans cocaïne, tu peux maintenir plus de choses que juste tes rendez-vous avec la psychiatre. À quoi sert la confiance si elle ne te permet pas de faire tes activités du quotidien (cuisine, ménage, lessive, randonnées, intérêts restreints, etc.) ? Je pense plutôt que ce sont tes activités que tu fais pour toi-même qui te redonneront confiance.
Je me demande si ça te fait vraiment confiance quand tu dis devenir plus fataliste. Quand on est fataliste, on risque de ne faire plus confiance à personne, même pas à soi-même.
Parfois, tu vois des personnes qui ont pris de ces drogues (comme la cocaïne) et qui marchent ou restent assises ou couchées comme des loques, des zombies.
L'argent que tu dépenses en drogues, ça occupe quel pourcentage de ton budget ?
Bon, après, pas facile d'arrêter les drogues, surtout si on en consomme différentes régulièrement.
Pour te répondre, sans cocaïne je maintient mes RDV chez la psychiatre, mes activités etc de la vie quotidienne, voire je n'ai plus peur de faire certaines choses jusqu'à présent.
C'est vrai que depuis que j'en prends, je fais moins confiance en l'amour et aux gens, car ces dernières années ont été compliqué avec certaines de mes relation amicales. Une ancienne amie, elle aussi autiste asperger qui m'a bien manipulé et qui me l'a avoué un soir en bas de chez moi. Je t'es manipulé pour te faire mal mais pour ton bien. Elle voulait me conditionner à sa façon d'être. Et comme dit plus haut suite à un râteau avec une femme en printemps 2021. En prenant de la cocaïne, je reconstruit ma carapace autours de mon cœur pour ne plus souffrir à l'avenir.
Mon budget par mois ça doit être 60€ et encore je n'en achète pas tous les mois.
(TSA)
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Re: La cocaïne, la confiance en soi et l'autisme asperger
J'en ai consommé pendant quelques jours en grande quantité il y a fort longtemps. Elle était parfaitement pure. Et bien je n'ai pas du tout aimé l'effet. Je suis naturellement en hypervigilance presqu'en continu. Je n'ai pas besoin d'une substance qui en rajoute.
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Re: La cocaïne, la confiance en soi et l'autisme asperger
Il existe d'autres façons de ressentir du plaisir et d'augmenter la confiance en soi que la cocaïne et le suivi psychiatrique.
Par exemple, faire une activité artistique qui permet de s'exprimer devant un public : théâtre, chant, …
Par exemple, faire une activité artistique qui permet de s'exprimer devant un public : théâtre, chant, …
Diagnostiquée TSA sévérité 1 / syndrome d'Asperger par le CRA de Brest en 2017
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Re: La cocaïne, la confiance en soi et l'autisme asperger
Oui tu as raison.Tugdual a écrit : ↑samedi 30 juillet 2022 à 10:04C'est une impression trompeuse, les témoignages de personnes qui se sont illusionnées sur l'usage de la cocaïne sont légion.Mouton divergent a écrit : ↑vendredi 29 juillet 2022 à 14:48 J'ai l'impression qu'en consommant de la cocaïne, j'éduque et j’habitue mon mental à avoir confiance en moi et à ne plus me dévaloriser. C'est un peu comme rouler avec un vélo à roulette quand on est gamin pour ensuite avoir plus d'assurance sur un vélo classique en termes d'équilibre.
Sur le moment ça fait du bien mais c'est complètement l'inverse !
En plus de tomber dans une possible dépendance, ça dégrade encore plus la santé !
Tout comme l'alcool, ce n'est pas LA solution à nos problèmes !
Moué... J'adore écouter de la musique. Quand j'en écoute ça n’enlève pas pour autant le manque d'amour féminin que je peux éprouver depuis la fin de mon adolescence.FloretteRanou a écrit : ↑mardi 16 août 2022 à 14:46 Il existe d'autres façons de ressentir du plaisir et d'augmenter la confiance en soi que la cocaïne et le suivi psychiatrique.
Par exemple, faire une activité artistique qui permet de s'exprimer devant un public : théâtre, chant, …
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Re: La cocaïne, la confiance en soi et l'autisme asperger
C'est toujours important de le dire. C'est flippant de voir à quel point l'héroine et la cocaine se sont répandues et de voir l'augmentation du thc dans le cannabis.En plus de tomber dans une possible dépendance, ça dégrade encore plus la santé !
Tout comme l'alcool, ce n'est pas LA solution à nos problèmes !
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Re: La cocaïne, la confiance en soi et l'autisme asperger
Bonjour mouton divergent, où est ce que tu en es ? As tu arrêté ?Mouton divergent a écrit : ↑mardi 2 août 2022 à 14:49Merci pour vos réponses.freeshost a écrit : ↑samedi 30 juillet 2022 à 11:02 On peut se demander si cette état de (sur)confiance et d'euphorie participe à la dépendance.
Et si ta confiance peut rester malgré l'arrêt de la cocaïne.
À l'instar de l'alcool ( ), la cocaïne a divers mauvais effets, malgré cette impression de confiance.
Sans cocaïne, tu peux maintenir plus de choses que juste tes rendez-vous avec la psychiatre. À quoi sert la confiance si elle ne te permet pas de faire tes activités du quotidien (cuisine, ménage, lessive, randonnées, intérêts restreints, etc.) ? Je pense plutôt que ce sont tes activités que tu fais pour toi-même qui te redonneront confiance.
Je me demande si ça te fait vraiment confiance quand tu dis devenir plus fataliste. Quand on est fataliste, on risque de ne faire plus confiance à personne, même pas à soi-même.
Parfois, tu vois des personnes qui ont pris de ces drogues (comme la cocaïne) et qui marchent ou restent assises ou couchées comme des loques, des zombies.
L'argent que tu dépenses en drogues, ça occupe quel pourcentage de ton budget ?
Bon, après, pas facile d'arrêter les drogues, surtout si on en consomme différentes régulièrement.
Pour te répondre, sans cocaïne je maintient mes RDV chez la psychiatre, mes activités etc de la vie quotidienne, voire je n'ai plus peur de faire certaines choses jusqu'à présent.
C'est vrai que depuis que j'en prends, je fais moins confiance en l'amour et aux gens, car ces dernières années ont été compliqué avec certaines de mes relation amicales. Une ancienne amie, elle aussi autiste asperger qui m'a bien manipulé et qui me l'a avoué un soir en bas de chez moi. Je t'es manipulé pour te faire mal mais pour ton bien. Elle voulait me conditionner à sa façon d'être. Et comme dit plus haut suite à un râteau avec une femme en printemps 2021. En prenant de la cocaïne, je reconstruit ma carapace autours de mon cœur pour ne plus souffrir à l'avenir.
Mon budget par mois ça doit être 60€ et encore je n'en achète pas tous les mois.
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Re: La cocaïne, la confiance en soi et l'autisme asperger
Alors: censuré.Modération (Tugdual) : ... prosélytisme pour la « calinothérapie »...
Modifié en dernier par piedsboueux le dimanche 19 mars 2023 à 13:30, modifié 3 fois.
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Re: La cocaïne, la confiance en soi et l'autisme asperger
Modération (Tugdual) :
Piedsboueux, nous t'avons déjà plusieurs fois demandé de ne pas faire de prosélytisme pour la « calinothérapie », que tu nous sers à toutes les sauces.
Cela n'est en rien une thérapie, Wikipedia a même supprimé la page la concernant, pour manque de sérieux.
Piedsboueux, nous t'avons déjà plusieurs fois demandé de ne pas faire de prosélytisme pour la « calinothérapie », que tu nous sers à toutes les sauces.
Cela n'est en rien une thérapie, Wikipedia a même supprimé la page la concernant, pour manque de sérieux.
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Re: La cocaïne, la confiance en soi et l'autisme asperger
haaaaaaaa la coke c'est génial , tu es dans la merde
quand j'en prenais , j'avais l’impression de ressentir le plaisir que ressentent les gens au contact des autres
comme beaucoup de personne ayant des troubles, j'ai eu une longue période de consommation de stupéfiant
pour moi la coke est la plus dangereuse ,j'ai arrête après une journée de conso frénétique et je ne suis pas passé loin de l'od
par chance , je n'ai jamais eu de conso de coke régulière , pour moi c'était le cannabis pour ses propriétés anxiolytiques , dés le réveil
meme si je regrette pas cette période, car c'est la que j'ai vu le plus de monde et fait le plus de choses,mine de rien la drogue ca socialise , tu te doute bien que c'est une fausse bonne solution, sur la durée elle ne crée que des problèmes et une fâcheuse tendance a aggraver les choses , notamment les problèmes psy
je ne vais pas te dire quoi faire , car tout cela tu le sais trés bien , mais encore une fois , ne pense pas que ca peux etre une solution pérenne,car elle te le fera payer a un moment ou un autre , alors demande toi si tu es prét a signer le chèque
rien qu'avec ma conso de cannabis , lourde il est vrai , j'ai payer cher
quand j'en prenais , j'avais l’impression de ressentir le plaisir que ressentent les gens au contact des autres
comme beaucoup de personne ayant des troubles, j'ai eu une longue période de consommation de stupéfiant
pour moi la coke est la plus dangereuse ,j'ai arrête après une journée de conso frénétique et je ne suis pas passé loin de l'od
par chance , je n'ai jamais eu de conso de coke régulière , pour moi c'était le cannabis pour ses propriétés anxiolytiques , dés le réveil
meme si je regrette pas cette période, car c'est la que j'ai vu le plus de monde et fait le plus de choses,mine de rien la drogue ca socialise , tu te doute bien que c'est une fausse bonne solution, sur la durée elle ne crée que des problèmes et une fâcheuse tendance a aggraver les choses , notamment les problèmes psy
je ne vais pas te dire quoi faire , car tout cela tu le sais trés bien , mais encore une fois , ne pense pas que ca peux etre une solution pérenne,car elle te le fera payer a un moment ou un autre , alors demande toi si tu es prét a signer le chèque
rien qu'avec ma conso de cannabis , lourde il est vrai , j'ai payer cher
tsa confirmé psychiatre libéral et comorbidités
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Re: La cocaïne, la confiance en soi et l'autisme asperger
Le fatalisme et "réalisme" par rapport au monde est plutôt, vu sous cet angle là, une démission de sa fonction d'être vivant qui se doit d'exiger un environnement déçent selon sa capacité à vivre et agir sur son milieu. Sans énergie, il se laisse vivre, et à l'extrême devient une loque qui répète "soit cool... man" et le bien être illusoire de la drogue supprime la souffrance de cet état de loque.
C'est joliment dit !
La phobie des piqures peut également aidé à passer à côté de cet erzats qu'est la drogue. Mais bon, l'alcool est aussi dévastateur et addictif. Un peu moins cher.
Un enfant diag en 2012